Golfe du Morbihan - Vannes agglo

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L'industrialisation de la Bretagne
Région traditionnellement agricole, la Bretagne débute son industrialisation en 1960. La priorité est dès lors mise sur l'électronique. Des industries automobiles et chimiques vont également s'implanter. Plus de 15 000 emplois vont être ainsi créés.

Par : INA

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En pays breton
Balades en Bretagne. À Brest, vues de la gare, du port et des bateaux qui déchargent le poisson. À Plougastel, une femme prend de l’eau au puits puis une famille est au battage à Kersini. À Daoulas, vues du calvaire et de l’église, de la porte du cimetière, et du porche de l’abbaye. Au Faou, déchargement d’un sablier sur les quais, panorama avant le bac de Térénez. À Crozon, vue d’une étale de marchande de gants, et la plage après Crozon. Dans la baie de Morgat, des bateaux partent pour les grottes de l’autel et les grottes du foyer. Vue des rochers avant la grotte de Sainte-Marine et la cheminée du diable. Un bateau amphibie passe. À Douarnenez, diverses scènes de débarquement du poisson. Vue de l’église de Notre-Dame de Confort et de son calvaire aux douze apôtres. Pancartes d’Audierne et de la Pointe du Raz. Une femme file de la laine. Vues des églises de Plouhinec et de Landulec. Promenade dans les rues de Quimper. Vue du lac près de Saint-Evarzec, le château de Kériolet, puis Concarneau et le port de Quimperlé. Départ en bâteau de la ville de Lorient en ruines pour Port-Louis. L’église de Plouhinec et la lande bretonne avant Étel, vue du port et de l’église d’Erdeven. Les alignements de Kerzerho, la presqu’île de Quiberon. Pancartes de Saint-Pierre Quiberon et Quiberon, le château, le port et la plage de Quiberon. À Carnac, promenade dans les alignements et défilé dans la ville. Vues du pont coupé à la Trinité sur Mer puis du clocher de Locmariaquer. À Port-Navalo, départ pour Vannes. Dans le bateau, vue du Golfe du Morbihan et de ses îles puis arrivée à Vannes : la Mairie, la cathédrale ainsi que les maisons dans les rues de la ville. Vue du moulin à vent entre Muzillac et la Roche Bernard puis promenade à Guérande. La porte de Saillé et les remparts. Vue de l’église de Redon, du canal et d’un moulin près de Malestroit. Vues du roc et de la chapelle Saint-André. Pancarte de la ville de Ploërmel et du collège Lamenais, puis l’église. À Taupont : vieux remparts, l’étang du Duc, l’église et la poste de Taupont, puis le curé. Vues de l’obélisque, du château et de l’église de Josselin ainsi que de vieilles maisons. Eglise de Noyal Pontivy, un calvaire, le barrage sur le canal avant Mur de Bretagne, un moulin sur le canal avant Mur de Bretagne, l’église de Saint-Gilles du Vieux Marché, l’église de Saint Mayeux. Entrée de Guingamp, promenade dans les rues. Divers points de vues sur l’île de Bréhat : la construction d’un bâtiment, la cale de Goaréva, la pointe de Guersido, le Port-Clos, la Potinière et les cabines de bains. Une paysanne sur un chemin. Scène de battages en famille dans un champ.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Voyage en Bretagne
Voyage en Morbihan et Finistère : Landevenec, pointe de Pen Hir, Tas de Pois, Camaret sur Mer, Menez Hom. Vues sur des vagues qui s’écrasent sur les rochers en bord de mer. Voix-off : « Ce film vous fera apprécier ou critiquer quelques vues de Bretagne ». Genêts en fleurs et fleurs violettes. Une femme tient un enfant par la main, de l’autre main, elle tient un bouquet de fleurs violettes. Des moutons broutent de l’herbe à côté de rochers. Un garçon sur une falaise. Rochers sur le littoral. Une jeune femme cueille des fleurs sur les rochers. Voix-off : « Voici St Gildas » (lieu précis à identifier). Dans l’eau : une méduse, des poissons, « Ces petits poissons que vous voyez sont des ?. Celles-ci à certaines époques viennent près des côtes par million ». Un arbre en fleurs roses (prunus). Clocher d’une église. Vue sur la mer avec au premier plan des genêts en fleurs. Voix-off : « Camping » : camping en pleine nature, des enfants jouent par terre. Une voiture stationnée avec le coffre et les portes ouvertes. Des voitures (Simca et Traction) sont stationnées dans une cour devant une maison. Voix-off : « La traversée en bac de Terenez qui remplace le pont détruit ». Une traction est stationnée sur un bac à quai. Voix-off : « Cimetière des bateaux de guerre ». Des navires militaires au cimetière de bateaux de Landévennec. Voix-off : « Que pensez-vous de cette ravissante petite église ? » Édifice religieux. Un champ de vaches donne sur la presqu’île de Rhuys. Une petite fille dans un champ sent des fleurs jaunes. Une vache broute des fleurs jaunes. Voix-off : « Avez-vous jamais vu la croissance d’une fougère, la voici ? » Des genêts bordent la côte bretonne. Voix-off : « Puis, la pointe de Pen Hir et les Tas de Pois ». Plan sur des rochers au milieu de la mer puis sur la falaise. Plongée sur une mer transparente avec des rochers dans le fond. Une petite fille avec un bouquet de fleurs à la main. Un crapaud tapis dans l’herbe puis sur un rocher. Des chenilles sur l’herbe. Voix-off : « Le port de Camaret ». Des marins debout sur le quai du port à côté d’un voilier. Un voilier (plaque d’immatriculation CM 2922) à quai. Des marins descendent une barque dans l’eau. Succession de plans sur diverses petites fleurs jaunes, blanches, violettes, bleues. Voix-off : « Le point le plus haut de Bretagne, le Menez Hom et la petite chapelle sainte Marie ». Un champ de genêts. Voix-off : « Notre Dame de Châteaulin ». Une église avec un clocher, des statues en pierre. Contre-plongée en contre jour sur une statue. Voix-off : « Les restes d’un vieux calvaire brisé par la Révolution ». Des statues en pierre, des monuments religieux. Voix-off : « La vallée du diable ». Vue sur la nature : des rochers dans une forêt et une rivière coule au milieu. Une petite fille grimpe sur un rocher. Une femme prend en photo deux hommes. Une femme tient un appareil photo à la main. Succession de plans sur une rivière et des fleurs. Une chaumière. Glaïeuls roses. Une araignée sur une toile. Voix-off : « La magnifique petite chapelle de (à identifier) ». Une chapelle : clocher, tour, rosace, porte d’entrée arrondie. Des guêpes sur des fruits. Voix-off : « Mais ne les laissons pas s’échapper, aussi un peu de fumée ». Scène d’apiculture : des hommes brûlent un torchon pour capturer les abeilles qui butinent sur l’arbre. Un homme monte sur une échelle pour les enfumer puis récupère le naissain les abeilles endormies sur une branche d’un arbre. Voix-off : « Et voilà la mise en rucher ». Coucher de soleil sur la mer.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Eglise paroissiale, ancienne église abbatiale Sain
L´église, ancienne abbatiale de Saint-Gildas de Rhuys est de plan en croix latine formée d´une nef de quatre travées bordée d´étroits collatéraux précédée d´une façade à tour clocher ornée de pilastres et fronton classiques. Toute cette partie précédant la croisée du transept est moderne puisque entièrement reconstruite à la fin du 17e siècle après la chute de la tour de croisée en 1668.L´édifice possède un transept à deux croisillons saillants, le croisillon nord est flanqué d´une absidiole. L´église se termine par un choeur à déambulatoire et trois chapelles rayonnantes.L´édifice roman devait posséder en façade une imposante tour-porche, en 1668 la Chronique de Rhuys décrit un porche à deux étages avec des piliers. Plus précisément, comme le souligne Geneviève Le Louarn, ce texte décrit : La nef avait au bas un porche à piliers les uns sur les autres, faisant double étage, dont le bas servait d´entrée à l´église, le haut de défense pour conserver le monastère en temps de guerre. En 1958 Roger Grand évoquait des travaux de voirie effectués aux abords de l´église masquant du même coup les traces du narthex à deux étages qui précédait la façade du 18e siècle et dont les fondations se lisaient alors très nettement sur le sol. Ces éléments nous confortent donc dans l´existence à l´époque romane d´une nef plus longue car possédant plus à l´Ouest de la façade classique, un narthex de deux étages inspiré de l´architecture de Saint-Benoît-sur-Loire dont était issu Félix le moine restaurateur de Saint-Gildas. Marc Déceneux va plus loin encore dans l´essai de restitution de cette partie occidentale de l´édifice, se basant sur un procès-verbal dressé en 1678. De l´étude de ce document il conclut que l´église possédait un narthex de même largeur que la nef possédant deux travées couvertes de voûtes d´arêtes reposant sur des piles carrées, le tout surmonté d´un étage. Il précise que la façade de l´église était animée de trois arcs de décharge élevés sur la hauteur des deux niveaux. Les informations fournies par la Chronique et les relevés effectués sur les maçonneries, arrachements visibles au côté ouest du croisillon nord, laissent supposer qu´existaient à l´époque romane une nef et des collatéraux plus larges. Cette nef devait aussi être plus longue, Geneviève Le Louarn avance, d´après le procès-verbal de 1678, une longueur d´environ 29 mètres 20. Cette nef dont nul ne doute qu´elle possédait trois vaisseaux pose différentes questions quant à sa division et au type de support qui permettait la communication entre ces vaisseaux. D´après Xavier Barral la nef était séparée des bas-côtés par des piliers cruciformes portant des arcades. Il l'imagine divisée en quatre travées au-delà de celles du porche, avec un vaisseau central couvert en lambris et des bas-côtés voûtés d´arêtes. Roger Grand voyait ces collatéraux couverts en quart de cercle. Plus récemment Marc Déceneux, toujours à partir du procès-verbal de 1678 et des descriptions du 17e siècle, a considéré que la nef de l´église devait être charpentée, qu'elle possédait six travées ajoutées aux deux du narthex. Selon lui les supports devaient être de fortes colonnes rondes couronnées de chapiteaux sculptés. Comme Xavier Barral il imagine les bas-côtés voûtés d´arêtes.Le transept, malgré des restaurations entreprises au 19e siècle, présente des caractères de l´époque romane. La croisée était peut-être couverte d´une coupole surmontée d´une flèche en charpente, lors des restaurations des Mauristes fut installée une coupole sur pendentifs. La gravure du Monasticon Gallicanum de 1869 fait apparaître une tour carrée surmontée d´une flèche. Le bras nord du transept est aujourd´hui le mieux conservé de l´édifice. Le pignon du bras sud s´étant effondré en mars 1836, il a été entièrement reconstruit.Les murs extérieurs du transept sont construits en petits moellons de gneiss, disposés dans les parties hautes en opus spicatum. Aux angles le pignon est épaulé par des contreforts en grand appareil.A l´image du bras nord, les deux croisillons du transept étaient éclairés par quatre baies, deux à l'Est, une à l´Ouest et une au pignon (celle du bras nord a été modifiée au 18e siècle). On aperçoit à droite de la baie existant sur le mur occidental du transept Nord et au même niveau, des traces de claveaux disposés à la verticale, qui pourraient appartenir à une ancienne baie du même type. Le croisillon nord possède une chapelle orientée voûtée en cul-de-four, mais celle-ci est une restitution de 1885 effectuée selon les dispositions d´origine. Le croisillon sud était très probablement accolé à la salle capitulaire et devait également contenir l´escalier menant aux dortoirs situés à l´étage du bâtiment oriental du monastère ; en l´état actuel des recherches et selon la documentation disponible il est délicat d´affirmer ou non l´existence d´une chapelle sur le bras sud du transept. Une disposition avec une seule chapelle au bras nord n´est pas à exclure, on en connaît des exemples dans d´autres édifices monastiques notamment à Landévennec. Les bras du transept n´étaient pas voûtés mais couverts probablement, comme la nef, d´une charpente lambrissée.Le choeur de l´ancienne abbatiale suscite de nombreuses controverses de la part des chercheurs. Ceux-ci ne parviennent pas à s´accorder sur la datation du chevet et sur les différentes étapes de construction de l´édifice.Le chevet a fait l´objet d´importants travaux de restauration au 19e siècle. Geneviève Le Louarn nous fournit la liste des éléments ayant subi des transformations. Les baies du chevet ont été agrandies, d´autres ont été percées ; les maçonneries ont toutes été reprises dans les parties supérieures y compris certains opus spicatum ; 45 modillons sur un ensemble de 47 ont été sculptés à neuf. A l´intérieur, les arcs-doubleaux et voûtes ont été refaits ainsi que la charpente et la couverture. Les fenêtres murées ont été maintenues telles quelles. En 1885, les quatre colonnes et les chapiteaux qui les couronnent au rond-point, ont été sculptés à neuf ; le niveau du choeur a été abaissé et les pierres tombales placées verticalement le long du choeur.Le chevet est de plan circulaire avec déambulatoire et trois chapelles rayonnantes. A l'extérieur, les travées droites du choeur et les chapelles sont épaulées par des contreforts plats en grand appareil qui créent un rythme dans l'animation murale avec l´alternance des baies. Ces baies sont simples, en arc plein-cintre, plusieurs ont été modifiées ou créées au 19e siècle.A l'intérieur le chevet comprend deux travées droites couvertes en berceau communiquant avec les bas-côtés par des arcades en plein-cintre à double rouleau appareillé qui reposent sur de gros piliers cruciformes. Ces piliers sont flanqués de demi-colonnes engagées recevant la retombée des arcades et la retombée des arcs doubleaux à simple rouleau du berceau central et de ceux qui scandent le déambulatoire en compartiments couverts de voûtes d´arêtes. Le déambulatoire qui s´inscrit dans le prolongement des collatéraux de la nef ouvre sur trois chapelles rayonnantes. Le rond-point est marqué par cinq arcades hautes et très surhaussées dont le double rouleau repose sur quatre colonnes à chapiteaux (refaits au 19e siècle). Au-dessus de ces arcades se trouve une série de sept arcades aveugles en plein-cintre à simple rouleau, placées sous la voûte en cul-de-four.Chaque travée du choeur est éclairée par une baie en plein-cintre à double archivolte, ébrasée vers l´intérieur.Les trois chapelles sont voûtées en cul-de-four. Chacune est éclairée par trois baies en plein-cintre. La chapelle centrale, dans l´axe de la nef, est précédée d´une travée droite couverte en berceau et éclairée par deux baies latérales.Ancienne abbaye de bénédictins.Bâtie sur la presqu´île de Rhuys, l´abbaye fait face à l´océan Atlantique. Aujourd´hui intégré au bourg, le monastère se trouvait à proximité d´une forêt importante qui couvrait toute la presqu´île au Moyen-Age.Les écrits anciens attribuent la fondation du premier monastère au 6e siècle. L´abbaye aurait alors été fondée par saint Gildas, moine originaire d´Ecosse, en 536. Les débuts du monastère nous sont en réalité connus par des faits historiques remontant aux invasions normandes du 10e siècle. En 919, face à ces invasions les moines de Saint-Gildas, comme tous ceux de Bretagne, fuient emportant avec eux les reliques et manuscrits. Les religieux de Saint-Gildas de Rhuys trouvent refuge dans le Berry à l'abbaye de Déols.La fondation du nouveau monastère breton pose des problèmes quant à sa datation. D´après le Chronicon Ruyense sive S. Gildasii publié par Dom Lobineau et Dom Morice, en 1008 le duc de Bretagne et comte de Rennes Geoffroy Ier fait appel à l´abbé Gauzlin de Fleury, aujourd´hui Saint-Benoît sur Loire, pour lui venir en aide dans le rétablissement d´un monastère. Gauzlin confie à Félix, moine d´origine bretonne, la tâche de rétablir l´abbaye de Saint-Gildas dont l´église est consacrée par l´évêque de Vannes, Judicaël, le 30 septembre 1032. En 1125, l´abbé était Pierre Abélard, il a laissé plusieurs lettres dans lesquelles il dépeint la vie des moines. En 1118, un ouragan frappe l´abbaye sans que l´on sache quelles parties du monastère sont touchées. En 1182 l´évêque de Vannes Guéthenoc visite le monastère, puis en 1189 la duchesse Constance vient en pèlerinage à l´abbaye, elle octroie différents privilèges.Au cours des 13 et 14e siècles l´histoire de l´abbaye est marquée par des suppressions et confirmations de terres, de biens et revenus avec les ducs.La commende est instaurée en 1506. Dès lors une période de déclin et de ruines débute : en 1575 les bâtiments et l´église sont fortement endommagés, en 1580 l´abbé Jean de Quilfistre entame des restaurations sur le mur méridional de l´abbatiale, épaulant le mur nord par des contreforts. L'état de délabrement ne fait qu´empirer au fil des années. En 1649 le monastère est affilié à la congrégation de Saint-Maur, celle-ci entame alors une grande campagne de reconstruction. L´église perd son clocher en 1668. A la fin du siècle, la nef primitive est entièrement détruite. Les bâtiments conventuels, le cloître, le choeur et déambulatoire de l´église étaient achevés en 1678. En 1699, Olivier Delourme entame la restauration de la nef ainsi que celle de la tour occidentale achevée en 1705. En 1746, le logis abbatial est reconstruit.En 1772 le titre d´abbaye est supprimé et la mense du monastère unie à celle de l'évêque de Vannes. En 1759 il ne reste que cinq religieux, l´abbaye est vendue comme bien national en 1796 et en 1804 la commune obtient le droit de racheter l´église devenue alors paroissiale. En 1825 le monastère est acheté par Mme Molé de Champlâtreux qui y installe les religieuses de la congrégation de la Charité de Saint-Louis.L´église est classée Monument Historique en 1840, à ce titre les parties romanes de l´édifice sont restaurées entre 1883 et 1891 sur les plans de l´architecte Corroyer. Le chevet a été l'objet de nombreuses reprises dans les parties hautes des maçonneries et au niveau des modillons sculptés. A l'intérieur les arcs-doubleaux et les voûtes ont été refaits ainsi que les quatre colonnes du rond-point avec leurs chapiteaux sculptés à neuf en 1885. Au cours du 20e siècle d´autres travaux sont menés : dès 1964 l´abside est dégagée, à partir de 1970 on mène également des travaux de drainage, terrassement, pavage et restaurations des charpentes et couvertures.Il est aujourd´hui délicat de se faire une idée de l´organisation primitive du monastère. Cependant, un procès verbal daté de 1598 ainsi qu´une enquête menée par un conseiller au Parlement en 1625, permettent d´établir l´aspect général de la disposition des bâtiments conventuels du Moyen-Age. Ces deux documents cités par X. Barral I Altet ont été étudiés dans un mémoire de maîtrise d´histoire de l´art par D. Lecluse, L´église abbatiale de Saint-Gildas de Rhuis : les restaurations, en 1990-1991. Ils nous apprennent que l´église abbatiale était placée au Nord de l´ensemble monastique, mais ne fermait pas le quadrilatère du monastère puisqu´elle était bordée par un corps de bâtiment parallèle à sa nef, celui-ci abritait la salle conventuelle, une cuisine et le logis abbatial.
Auteur(s) du descriptif : Cros Mélanie

Par : L'inventaire du patrimoine

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Vannes
D'une image de ville tranquille, Vannes se transforme en ville dynamique. Sa proximité avec le Golfe du Morbihan attire une population souvent jeune, qui s'intéresse notamment à l'activité économique liée aux nouvelles technologies.

Par : INA

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Partie de l’enceinte Nord d’Er Lannic face à Port

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Bulletin paroissial de Vannes - paroisse de Saint
juillet 1915. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Vannes - paroisse de Saint
septembre 1915. 20ème siècle

Par : Gallica

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Rues ouvertes au 20e siècle (ville de Vannes)
Les chiffres des dossiers ouverts (42 représ, 5 sélectionnés) sont forcément lacunaires, car il n'a pas été établi de fiches sur les rues desservant les lotissements du milieu et de la 2e moitié du 20e siècle.Dossier collectif de voirie comprenant les rues, percements ou alignements liés aux programmes urbains du 20e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Colloque conte

Par : Dastum

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Présentation chez M. et Mme Gall

Par : Dastum

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L'élection présidentielle en Bretagne [Muet]
Les élections présidentielles se déroulent dans les différentes communes bretonnes et notamment à Vannes. De nombreuses femmes en coiffe, et vêtues du costume traditionnel, se sont déplacées pour voter.

Par : INA

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Dir Ha Tan [Le groupe vannetais Dir Ha Tan]
Gant o gitaroù ha binvioù-all ha doareoù da ganañ deuet eus ar folk song e ijin ar strollad Dir ha Tan ur sonerezh eus e mare, met sanket don e gwrizioù en hengoun. [Avec des guitares et d'autres instruments de la musique folk, les jeunes Morbihannais de Dir ha Tan inventent une musique ancrée dans la tradition, mais très contemporaine.]

Par : INA

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Grotte de Jean II à Vannes

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Le château d'Elven / Par J. Trévédy
Julien Trévédy corrige un article parisien paru sur la Tour d'Elven, château du XVème siècle.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Cathédrale de Vannes : visite archéologique de l'é

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Paimpont, Fougères, Saint-Malo et Vannes
Une chapelle et un manoir aux alentour de Paimpont. Une meute de chien de chasse à courre. Ballade en forêt de Brocéliande. Sur les rives de l'étang de l'abbaye de Paimpont. Fougères, vues prises du château : Saint-Léonard, remparts et tours, Saint-Sulpice, bonnes soeurs, reflet du château dans l'eau, remparts, vitraux . Saint-Malo : effets de vagues, barque, promenade (Dinard en arrière plan), Tour Solidor, bateaux, plage du Sillon, la ville intra-muros porte encore les cicatrices de guerre 39-45, remparts. Un moulin à vent en fonction. Vannes : entrée de la vieille ville, circulation (traction animale), de nombreuses femmes portant la coiffe (jour de marché), long plan sur lavoirs, femme portant la coiffe qui lave du linge, remparts, port et bateau de pêche, maisons à colombage et détails d'architecture, tels "Vannes et sa femme". Bains de mer et plongeons à partir de la cale, voile .

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Châteaux de Bretagne. 740, Tour du Connétable et R
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Enfants 1935
Enfants à la plage, jeux de plage notamment avec des petits voiliers en bois. Jeux, deux fillettes en voiture à pédales roulent à toute vitesse dans l'allée du jardin, l'une d'elles fait de la patinette tandis que sa soeur roule en voiture à pédales, elles font ensuite la course. Communion. Plage. A la recherche des oeufs de Pâques dans le jardin. Baptême. La grande soeur apprend à sa petite soeur à faire de la voiture à pédales. Sur le bord de la route, une automobile passe. Une petite fille et un chien. Ramassage des oeufs de Pâques.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Na me 'zimezay me pa ray plijadur din

Par : Dastum

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Costume de l'ILE-aux-MOINES : [carte postale]
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Expédition Gradlon
Trois amis décident de partir à la découverte de trois lieux sous marins mythiques à la pointe de la Bretagne. Tolente sur la côte nord près de l'Aber Warc'h, Porsliogan près de la pointe Saint-Mathieu, et Ys au large de la pointe du Van.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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