Les documents du Pays d'Auray

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La croix de la bataille d’Auray

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Dernier voyage de la locomotive à vapeur entre Ren
Dernier voyage d'une locomotive à vapeur sur le réseau de l'Ouest. Le train quitte la gare de Rennes à destination de la gare d'Auray dans le Morbihan. Tout au long de ce voyage à travers la campagne, les cheminots actionnent les machines.

Par : INA

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Bulletin paroissial de Locmariaquer et Crac'h - fé
février 1914. 20ème siècle

Par : Gallica

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Ensemble de 3 verrières : Naissance de la Vierge ;
Cet ensemble de trois verrières, est réalisé en 1893 dans les ateliers de L. Fournier, peintre-verrier à Tours, en témoignent les inscriptions peintes au registre inférieur. L'installation de ces verrières fait suite à la campagne de travaux qui renouvelle l'intérieur de l'église en 1892.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Tanguy Judith ; Guillot Sandrine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ferme, Kerbleï (Locoal-Mendon)
Ferme de type logis-étable à porte unique construite en pierre de taille de granite, surmontée d'un comble à surcroît à usage de grenier avec fenêtre passante. Un boulin est ménagé dans le comble.Ferme édifiée dans la seconde moitié du 16e siècle, redatée 1773 sur la fenêtre, probablement lors de l'élargissement de cette dernière. Le mur a été surélevé, le toit de chaume à pignon découvert a été remplacé par un toit en ardoise à pignon couvert. La fenêtre de comble passante a reçu un linteau et un pignon lors du changement de toiture. La ferme est incluse au centre d'un alignement comprenant : un second logis-étable à portes jumelées remanié, en léger retrait à l'ouest ; une troisième habitation à l'est entièrement reconstruite, une remise à porte charretière. La base du puits est ancienne, la superstructure date du 19e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Tanguy Judith

Par : L'inventaire du patrimoine

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Une gardienne de phare
En 1925, Melle Le Bail succède à sa soeur et devient la gardienne du phare du Créac'h dans le Morbihan. Depuis 38 ans, elle consacre sa vie à son phare. Outre son activité de gardienne, elle est conseillère municipale à Saint Philibert et ostréicultrice.

Par : INA

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Houat : L'eglise

Par : Dastum

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Calice 4
Calice à coupe assemblée par vis. Coupe en argent doré. Pied et tige en métal doré à décor gravé et poinçonné.Calice exécuté lors de la restauration des paroisses, peu après la Révolution.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Monument aux morts (tableau) de la 1ère guerre mon
Tableau comparable à un retable sculpté supportant quatre plaques de marbres : une horizontale gravée d'une dédicace, trois verticales gravées des noms de soldats morts pendant la guerre.Inscriptions à la peinture dorée.Fabriqué vers 1920.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Lotissement communal La Falaise, bourg (Etel)
Le lotissement est situé au sud de la commune, sur un terrain du littoral anciennement constitué de dunes. Avec un point haut au nord-est, la pente du terrain est orientée nord-est sud-ouest.Les voies ont été tracées suivant un quadrillage orthonormé, ainsi la rue de l'Océan est-elle perpendiculaire aux rues de la Barre, des Ecoles et des Dunes. En cours d'aménagement un réseau de voies piétonnes a été réservé pour distribuer quelques parcelles enclavées et les arrières des jardins de la rue des Ecoles et de la rue des Dunes.Rue des Dunes, côté impair à l'est, une seconde opération de lotissement, comportant une dizaine de lots est venu se placer en arrière d'une parcelle étroite non bâtie. Celle-ci (AH 98) a été aménagée en un espace ouvert engazonné planté d'une rangée d'arbres.Dans l'emprise du lotissement, les maisons ne sont pas de construction homogène.Celles de l'entre-deux-guerres bordant la rue de l'Océan et la partie nord-ouest de la rue des Dunes sont soit à pièce unique (n°5 rue de l'Océan) soit, et c'est le cas le plus fréquent, à deux pièces symétriques sous comble à surcroît. Beaucoup sont dénaturées par des rehaussements ou des extensions récentes.Les maisons des années 1950-1960 qui complètent les lots non construits jusqu'alors sont généralement partiellement mitoyennes tel cet ensemble de 5 maisons occupant les n°11 à 19 rue de l'Océan (AH 199-201, 206-207).Lotissement communal initié en 1922, dans un secteur de terres incultes près ou sur les dunes d'Etel, traditionnellement nommé La Falaise.Un plan d'un premier projet dressé par le géomètre Aupetel, et daté du 12 avril 1922 (AD56, 2O 55/3) représente l'emprise du lotissement, le tracé des voies nouvelles et le découpage des 89 lots. Ce projet ne correspond qu'en partie au réseau viaire actuel. La rue de la Barre adoptera par exemple, une orientation nord-sud régulière différente de celle dessinée en 1922. De plus tous les lots situés à l'ouest de cette même rue, ne seront pas vendus. Il s'agit aujourd'hui du camping municipal et des espaces réservés aux loisirs (école de voile).D'après la tradition orale, la maison la plus ancienne - actuel n° 18 rue de l'Océan - et qui correspond au lot J 1 du plan de 1922, est construite en 1923.Pendant la Seconde Guerre mondiale, l'armée allemande fait construire trois blockhaus dans la partie ouest du lotissement, entre la rue des Ecoles et la rue de la Barre. Ils sont aujourd'hui intégrés dans l'emprise des établissements scolaires construits après guerre.Initiées dans l'entre-deux-guerres, la vente des lots et leur construction, s'étiole et se prolonge jusqu'aux années 1960.Les maisons les plus anciennes sont des maisons de pêcheurs. On découvre toutefois quelques résidences secondaires des années 1930 tel le n°1 rue de l'Océan.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison, 57 rue Victor Hugo (Etel)
Maison construite à l'alignement de la voie. Appentis postérieur. Lucarne en pierre de taille et porte légèrement décalée.Façade désenduite.Maison construite vers 1910.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Bulletin paroissial de Quiberon - avril 1916
avril 1916. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Quiberon - octobre 1918
octobre 1918. 20ème siècle

Par : Gallica

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Menhirs

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Château de Keravéon (Erdeven)
Situé au nord-est du bourg, le château de Keravéon et ses dépendances, sont implantés à toucher le village de Keroret, où se trouvaient ses principales métairies sous l'Ancien régime.C'est une imposante demeure seigneuriale protégée par une triple enceinte, mise en perspective par l'allée principale du parc : celle de la cour du logis, celle des communs et celle de l'enclos avec porte d'entrée majestueuse au sud.Le logis : il est situé au nord du parc, à l'est d'une cour cernée de douves (à l'ouest et au sud). Il présente une double façade aspectée à l'ouest et à l'est. Il est composé d'un corps principal à sept travées dont les trois du milieu sont réunies sous un fronton triangulaire, et de deux ailes double en profondeur, formant pavillons d'angle, dont celle au nord occupée par l'ancien donjon remanié. Côté est, les pièces en enfilades reflètent une disposition probablement imposée par le logis ancien dont on a conservé les refends. Côté ouest, deux niveaux de galeries confèrent à l'ensemble un faux plan double en profondeur. Au RDC, la galerie est dallée de pierres blanches et cabochons de schiste noir. L'ensemble est distribué par deux escaliers : la vis de la tour nord et un escalier en charpente, médiocre, dans l'aile sud, dans le jour duquel est aménagé un ascenseur pour l'hôtellerie (1972-1992).Les corniches et les lucarnes (disparues) de la façade ouest, celles des frontons, les oculi sont en pierre blanche. L'enduit côté est a disparu, celui de la façade ouest a été mal refait, faisant disparaître les bandeaux d'étage.Cette composition régulière sous toitures de long pan et noues sur les frontons de la partie centrale, reflète l'inspiration néoclassique du 1er quart du 19e siècle. A noter une cheminée de style néoclassique au RDC d'une salle à l'est de l'aile nord.Le donjon : Il est représenté sur le plan cadastral de 1811 et a été englobé dans les extensions nord du logis. A noter l'épaisseur des murs des premiers niveaux qui laisse transparaître l'ancienneté de cette construction. De plan rectangulaire, il présente 4 étages et un étage de comble sous le toit en pavillon brisé. Au sommet un lanterneau sert de belvédère d'où l'on peut embrasser le paysage alentour jusqu'à Lorient. A rapprocher des toitures de Kergonano en Baden. La tour d'escalier ajoutée dans l'angle sud-ouest avec le logis principal est coiffée d'un toit conique brisé, avec oculi et haut épi de faîtage en zinc. Elle est contemporaine de la reprise du donjon, le tout dans un style éclectique mais toutefois assez austère, qui reflète le travail des ingénieurs dans le premier quart du 19e siècle.L'enceinte de la basse cour du château : elle est conservée au sud et à l'ouest, où subsistent des douves en eau. Au sud, elle intègre une porte avec pont-levis (détruit) dont on distingue toujours une partie des dispositifs telle les trémies des potences relevant le pont.En encorbellement sur les angles sud-est et sud-ouest, deux échauguettes en pierre de taille sont percées de petites bouches à feu pour armes légères, et coiffées d'un dôme terminé d'une boule. Les armes de Talhouët et alliés (à vérifier) sont sculptées sur leurs parties basses vers l´extérieur, ainsi que sur les pilastres du parapet de l'enceinte.Le puits dans la cour à l'ouest du logis est de plan circulaire, en pierre de taille, avec substructures en fer forgé.La clôture du parc : prenant la forme générale mais irrégulière d'un quadrilatère, elle est constituée d'un haut mur de moellons, dont la partie sud, où se trouve le portail de l'entrée principale, est traité comme une enceinte fortifiée.Précédée et mise en perspective par des douves remplies d'eau, le portail est une porte monumentale en pierre de taille, flanquée de deux tourelles en moellons (ajout du 19e siècle). La porte charretière est surmontée d'un fronton cintré portant les armes de Keravéon en grande partie illisibles. Une poterne latérale existe à l'est de la tourelle orientale.A l'est du portail, une tour basse construite en moellons sert de plateforme pour la surveillance de la route vers Keroret.Les dépendances : les écuries sont bâties au sud du château, suivant un plan néoclassique en double arc de cercle de part et d'autre de l'allée centrale. Au sud, elles sont défendues par des fossés remplis d'eau. Propriété de la commune, elles sont très remaniées.La ferme, au nord du château n'est pas repérée.La maison du gardien, comportant en façade ouest, des remplois d'une ferme du 16e siècle de Locoal-Mendon, est un pastiche des années 1930.Le colombier et l'orangerie font l'objet de sous dossiers.C'est à Pierre de Talhouët, issu d'un cadet de la maison de Pluherlin prénommé Guillaume, que l'on attribue la création de Keravéon en Erdeven, vers 1330-1350. Les Talhouët de Keravéon resteront maîtres des lieux jusqu'en 1761. Les Talhouët d'Erdeven avaient pour armoiries : un losange en bannière d'argent et de sable. Ce blason figure en plusieurs endroits dans l'église paroissiale et sur l'enceinte de la cour du château. Par voie de mariage la seigneurie et son domaine passent successivement aux mains des Cambout de Coislin, Adélaïde de Botderu, puis les Soussay (Danigo et Le Talec, 1971).Du logis médiéval on ne trouve plus traces à l'exception peut-être des parties basses du logis-tour rénové au 19e siècle.Il subsiste par contre les défenses sud de la basse cour : murs, porte à pont-levis, douves, parapets et échauguettes d'angles du 17e siècle, ensemble décrit en partie dans la déclaration de 1683 (documentation 5).Le logis du 18e siècle fut partiellement détruit à la Révolution. On reconnaît toutefois dans le portail d'entrée (ISMH, 1941) l'inspiration classique, ainsi que la remarquable orangerie récemment restaurée. Le colombier qui remonte à la même période (ISMH, 1945) est en ruines.C'est à l'époque d'Adélaïde de Cambout de Coislin, épouse de Victor de Botderu, comtesse de Botderu de Keravéon, que le château fut entièrement rénové. La comparaison des plans cadastraux anciens atteste de modifications importantes entre 1811 et 1845 : Intégration du bâtiment nord-ouest, actuel donjon, dans l'alignement d'un nouveau logis à l'est de la cour ; extension de celui-ci et construction de la galerie en façade ouest ; diminution de la largeur des douves sud ; destruction d'un corps de bâtiment ouest, laissant la place à un nouvel accès occidental à la cour ; construction des communs et écuries en arc de cercle au sud de l'enceinte du château ; construction des deux tourelles devant le portail 18e siècle, à l'entrée sud du parc ; nouveau tracé des jardins d'agréments dans l'enclos du parc. Plus précisément, entre 1822 et 1823, l'ancien donjon est complètement rénové aux frais de l'administration car cette tour sert d'amer aux navires qui croisent au large des côtes d'Erdeven (AD56, S 804). Elle figure encore sur les cartes marines du début du siècle suivant.Le rhabillage du donjon, sa surélévation, la construction d'une toiture en pavillon sommée d'un belvédère et la construction d'une tour d'escalier, sont l'oeuvre des ingénieurs des Ponts et Chaussées, dont Bondhore, ingénieur ordinaire et Kerano aîné, conducteur de travaux, qui suivent le chantier d'août 1822 à la fin avril 1823.Dans l'entre-deux-guerres, le comte de Soussay fit construire une maison de gardien à partir des vestiges d'une ferme (ou maison de prêtre) du 16e siècle, transférés depuis Kerdelame en Locoal-Mendon.Les communs ont été transformés en gîtes par la commune d'Erdeven, qui les a acquis à la fin des années 1970.Le château est inhabité depuis la fermeture de l'hôtellerie, en 1992.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Berthou Marie ; Toscer Catherine ; Pierre L. et M. ; Lauranceau Elise

Par : L'inventaire du patrimoine

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Les naturistes
En s'installant dans les dunes et sur les plages d'Erdeven, les naturistes provoquent la polémique. Certains agriculteurs et commerçants locaux songent à créer une milice, pour protéger leur village. Car la réputation de la région est en jeu...

Par : INA

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Fontaine envahie de végétation près du tumulus Sai

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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soldat en extérieur

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Alignements du Moulin

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Le Pardon de Sainte Anne d'Auray
Le 26 juillet, la paroisse de Sainte Anne d'Auray fête sa sainte patronne, Anne. Ce grand pardon rassemble de nombreux pèlerins, notamment des femmes qui viennent célébrer la mère de la Vierge Marie.

Par : INA

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