Les documents du Pays d'Auray

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Bulletin paroissial de Locmariaquer et Crac'h - dé
décembre 1914. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Locmariaquer et Crac'h - dé
décembre 1915. 20ème siècle

Par : Gallica

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Festival de l'huître à la Trinité sur Mer
L'association l'Astroballe organise pour la première fois le festival de l'huître. Ce festival est la rencontre de l'ostréiculture et des arts. Les ostréiculteurs sont très heureux de cette manifestation de promotion de l'huître.

Par : INA

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Brech (Eglise) - Chapiteau
CHAPITEAU

Par : Dastum

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Atersadenn-Kaozeadenn gant Lucien Hervoche

Kaozeadenn gant Lucien Hervoche, blenier ha « saisonnier » war e leve e Brec’h : skol start, kreion war ar bizied, bzg, 2 skol, chikan, labour war feurm, mont da Bariz, sesonioù sukr, Belgiz, arc’hant mat e 4 miz, koñje Aljeri, fall, koll e yaouankiz, aon, boureviañ, atak, goude e servij.

Conversation avec Lucien Hervoche, chauffeur et saisonnier en retraite à Brec’h : école difficile, coups de crayon sur les doigts, breton, 2 écoles à Brec’h, conflits, ferme, saisons sucre, dur, Belges, 4 mois, argent, service Algérie, perdu sa jeunesse, peur, torture, attaque, vie après.

Par : Dastum

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Préparatifs de la course Transatlantique
Entraînement du favori Alain Colas et d'Eugène Riguidel, avant le départ de la course transatlantique 1972. Colas, ancien équipier d'Eric Tabarly, naviguera sur le trimaran Pen Duick IV avec lequel Tabarly avait débuté la transatlantique 1968.

Par : INA

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Ostensoir 1
Ostensoir entièrement doré.Ostensoir exécuté entre 1819 et 1838 par un orfèvre parisien qui n'a pas poinçonné l'ouvrage.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Marche sonnée

Par : Dastum

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Conserverie, puis caserne de douane, puis école pr
Ensemble de bâtiments occupant une grande parcelle formant îlot. Le bâtiment principal, aspecté au sud est aligné sur la rue face aux anciens quais. Les dépendances postérieures : anciennes salles de classe et préau, sont bâtis en retour, et, avec le bâtiment nord, ferment une grande cour intérieure.Le bâtiment principal, à l'origine une caserne de douanes, est de plan rectangulaire allongé. Il est composé d'un corps central à deux étages carrés et à trois travées régnant seulement sur deux niveaux. Les portes-fenêtres du premier étage ouvrent sur un balcon filant en dalles de granite reposant sur des consoles moulurées. Il semble avoir été aménagé postérieurement à la construction de la caserne, comme le suggèrent les pierres plus petites à la base des jambages des portes-fenêtres, peut-être à l'époque de Griffon. La porte d'entrée large à linteau à claveaux daterait également de ces remaniements. Le corps central est coiffé d'une toiture en pavillon à croupe.De part et d'autre les deux ailes latérales symétriques sont à un étage carré sous comble à surcroît, et à trois travées. Les souches de cheminées sont placées sur le gouttereau nord.L'architecture et la mise en oeuvre sont soignées : chaînes d'angle, bandeaux d'étage et corniches moulurées sont en pierres de taille de granite blond.Les cinq lucarnes en pierre de taille ainsi que la niche du 2e étage du pavillon central sont en granite gris. Leur forme à linteaux en accolade est de style néo-breton en vogue dans les années 1930.Dans la niche est placée sur un socle en granite gris, une statuette (sainte Anne ?), en faïence de type Quimper.Ancienne presses à sardines figurées sur le plan cadastral de 1811 et nommées comme telle (bâtiments nord) sur celui de 1851.A cette date elles appartiennent à la famille Rozier de Nantes. En 1875 les statistiques industrielles spécifient qu'il s'agit d'une usine de conserve de sardines à l'huile (AD56, 1Z 174).Entre temps, entre 1851 et 1857, une partie des espaces libres, face aux quais est louée par Rozier en plus d'une concession sur le DPM, à l'administration des Douanes, pour faire construire une extension des casernes existantes (AD56, S 218). Il s'agit de l'origine du long bâtiment sud de plan rectangulaire, utilisé comme caserne de douanes au moins jusqu'à la fin des années 1870.En 1894 les soeurs de la Charité Saint-Louis devenues propriétaires de l'ensemble des bâtiments, ouvrent trois classes pour filles.En 1902, l'établissement scolaire est fermé. Les bâtiments sont achetés par Griffon, négociant mareyeur à Etel qui s'y réserve une habitation est met en location le reste des locaux.En 1934 les soeurs de Kermaria achètent la propriété et ouvrent à nouveau, deux ans plus tard, une école pour filles dite école Sainte-Anne.L'enclos du jardin des soeurs situé de l'autre côté de la rue sur les anciens quais est encore visible sur une carte postale du début des années 1960 (Editions La Pie).Vendue dans les années 1990, l'ancienne école est réhabilitée en résidence à appartements.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison, 5 rue Amiral Ronarch (Etel)
Maison mitoyenne construite en léger retrait de l'alignement, sans possibilité de clôture antérieure.Jardin clos d'un haut mur latéral et postérieur.Maison de type années 1930, rez-de-chaussée surélevé sur cave, comble aménagé dans haut surcroît, éclairé d'un lucarne pignon couverte d'une demi-croupe. Enduit avec bandeaux, larmiers et décor sur linteaux. Soubassement en moellons apparents. Corniche et balcon en béton armé et ciment armé.Maison construite vers 1930.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ferme, Penester (Etel)
La ferme repérée est située à l'est d'un alignement de deux fermes.Le logis principal, dont la façade actuelle remaniée au 19e siècle est de type ternaire, présente les vestiges d'une double porte haute desservant également le grenier de la ferme voisine grâce à un escalier extérieur (détruit). Cette façade sud de qualité est en pierre de taille de moyen appareil.Au nord du logis, l'étable surmontée d'un grenier porte la date 1844. Ce bâtiment a subit quelques remaniement lors de la construction du logis-étable ouest : exhaussement du comble, disparition de l'escalier extérieur. La porte haute à large chanfrein est un remploi, peut-être du logis principal, et la fenêtre de l'étable est un remaniement récent.A l'ouest et réunissant les deux bâtiments précédant, un logis étable date de 1893. Il comporte une partie habitation au sud, ouvert d'une porte et d'une fenêtre, et une étable au nord, ouverte d'une porte et d'un simple jour. Ces deux parties sont séparées par un mur de refend intégrant un conduit de cheminée. L'ensemble est surmonté d'un haut surcroît servant de grenier ouvert d'une porte haute. L'ensemble de la façade est recouvert d'un enduit.Cette ferme fait partie d'un alignement ancien situé au centre du hameau de Penester. Sur la ferme située à l'ouest de cet alignement (AH 279), non repérée car très remaniée, un linteau de porte daté 1612 est un remploi d'une porte haute double, commune aux deux fermes d'origine.Comme le confirme les plans cadastraux de 1811 et 1850, la ferme repérée est composée d'un corps de bâtiment aspecté au sud, avec façade en pierre de taille d'origine ancienne (17e siècle ?) exhaussé d'un étage au 19e siècle. Au nord une étable est construite en 1844 (date portée). Perpendiculaire aux deux précédant et fermant la cour à l'ouest, un logis étable secondaire est construit en 1893 (date portée).
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Hôtel de voyageurs, puis restaurant et boutique, 2
Bâtiment à long développement construit à l'alignement de la voie, partiellement mitoyen. Passage cocher latéral donnant accès à la cour postérieure, intégré à la propriété voisine.Plan allongé, simple en profondeur, à doubles façades également décorée côté cour au sud.Façade principale à sept travées. Soubassement en pierre de taille de grand appareil. Façade enduite, décor de briques sur entourages des baies, losange ornemental dans la travée centrale, bandeaux d'étage et sous corniche également en briques.Comble surélevé en partie.Ancien hôtel auberge construit vers 1900-1910.Partiellement réhabilité en logements et boutiques dont un restaurant, dans la seconde moitié du 20e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Bulletin paroissial de Quiberon - février 1916
février 1916. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Quiberon - janvier 1916
janvier 1916. 20ème siècle

Par : Gallica

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Manoir De Kergaire (Erdeven)
Edifice occupant l'espace au nord d'une cour avec façade principale au sud. De plan rectangulaire allongé, le logis présente un refend montant sur toute la hauteur. A chaque niveau il divise l'espace en deux pièces de surface inégale communiquant ensemble par une porte percée côté sud du refend. L'élévation est à un étage carré et comble en léger surcroît. La toiture est à longs pans à pignons découverts. La position de l'escalier n'est pas reconnue et pose le problème de la distribution d'origine. Au rez-de-chaussée la salle, éclairée au sud par une fenêtre à coussièges, est chauffée par une grande cheminée aménagée dans le pignon est. Sa hotte est soutenue par des consoles à chanfreins en quart de rond, reposant sur des piédroits à larges chanfreins dont la partie supérieure est sculptée d'un prisme à bagues. La porte à droite de la cheminée est un percement réalisé à la hâte ; il communiquait avec une construction (en appentis ?), adossée au pignon et visible sur le cadastre de 1811. Dans le mur nord existe un petit placard mural. Les poutres (en partie déplacées) reposent sur des sablières soutenues par des consoles de pierre. La cuisine à l'ouest possédait une cheminée (bouchée) en partie encastrée dans le mur de refend avec placard mural à tablette, également encastré. Toutes les ouvertures ont été remaniées au début du 19e siècle.A l'étage la chambre (principale) se trouve au-dessus de la salle. Elle est éclairée au sud par une large fenêtre à coussièges et au nord par une autre plus étroite qui conserve sa traverse. La cheminée est à fins piedroits de section anguleuse. De chaque côté de la hotte, des consoles sculptées servant d'étagères sont partiellement conservées. La seconde pièce (chambre ?) est chauffée par une cheminée encastrée dans le pignon ouest. Toutes les ouvertures ont été remaniées au début du 19e siècle.Les combles à surcroît ne sont pas chauffés. Ils sont éclairés par une unique petite fenêtre en pignon est, qui conserve un volet intérieur ancien. La charpente à entraits retroussés est plus ancienne dans sa partie orientale. Les pannes en partie basse ont été surélevées, modifiant la pente du toit qui devait présenter un léger coyau.Les fenêtres d'origine de la façade sud (d'après photographies de 1979) et celle subsistant en façade nord étaient protégées par des grilles de défense, disparues.L'appentis postérieur de la fin du 19e siècle, conserve ses ouvertures et sa cheminée d'origine, à l'exception du portail est, aménagé vers 1900.Il subsiste au nord et à l'ouest de la parcelle ZE 69, une partie du mur d'enclos d'un ancien jardin.La ferme qui fermait la cour à l'est, est transformée en étable dans les années 1950. Sa façade principale était en partie orientée à l'est. Il en subsiste les vestiges d'un escalier extérieur et, en alignement, le mur d'une loge à charrette dont le linteau porte la date 1798. Dans le mur ouest de la ferme subsiste une porte à linteau cintré surbaissé orné d'un tore, qui ouvre sur la cour du manoir.La grange-cellier, au sud-est (ZE 20) est remaniée côté ouest.Le cellier-grange qui dépendait de la ferme est situé au sud, à proximité et à l'extérieur des vestiges du portail du manoir. Porte et porte haute se superposent en pignon nord. Elles sont à linteau cintré orné d'un mince chanfrein avec date portée de 1790.Mur ouest éventré en 2004, dans le cadre d'un projet d'extension.Manoir d'origine du 15e siècle. Aucune documentation trouvée lors de l'enquête.La partie ouest est reprise au 18e siècle puis au 19e siècle. Dates portées 1790 sur la porte de la grange cellier (ZE 20) et 1798 sur la porte charretière dépendance de la ferme (métairie noble) fermant l'enclos au sud-est.Réaménagement des planchers et ouvertures en 2000-2004.Le colombier représenté sur le plan cadastral de 1811 n'existe plus en 1845.Porche d'entrée démoli vers 1970.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Berthou Marie ; Toscer Catherine ; Pierre L. et M.

Par : L'inventaire du patrimoine

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Josiane la sémaphoriste
A la mort de son mari, Josiane a repris l'activité de son époux au sémaphore d'Etel. Elle a appris son métier en observant la nature, et, s'est petit à petit imposée auprès des marins, qui se laissent guider à travers la barre, réputée dangereuse.

Par : INA

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Les menhirs de Carnac
Le maire et le président du syndicat d'initiative de Carnac sont inquiets face au nombre toujours grandissant de visiteurs du site de mégalithes. Les menhirs touristes ne sont en effet pas toujours respectueux du lieu.

Par : INA

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Alignements du Ménec

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Enceinte du Ménec

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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enfant en costume de marin, un fusil à la main dev

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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2 soldats devant l’atelier du sabotier

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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