Patrimoine de Lanester

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Bulletin paroissial de Lanester - septembre 1915
septembre 1915. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Lanester - janvier 1915
janvier 1915. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Lanester - juillet 1915
juillet 1915. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Lanester - novembre 1915
novembre 1915. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Lanester - mars 1915
mars 1915. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Lanester - juin 1915
juin 1915. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Lanester - février 1915
février 1915. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Lanester - août 1915
août 1915. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Lanester - octobre 1915
octobre 1915. 20ème siècle

Par : Gallica

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Complexe sportif de Locunel, rue de Locunel (Lane
Courts 1 et 2 : structure en charpente bois à treillis, avec bardage acier. Toiture bac acier Nervesco 1000 T laqué.Court 4 (SHON 648 m2) : couverture toile.Court 3 : mur parpaings enduit et peint surmonté d'un bardage métallique formant un damier coloré. Toiture bac métallique et bandes translucides.Outre des terrains de football et de rugby, le complexe sportif de Locunel comporte plusieurs salles couvertes dédiées au tennis, construites en trois temps entre 1984 et 2008. La première est l’œuvre de l'architecte nantais S. Libeau et de l'entreprise Étienne Martin de Sautron, spécialisée dans ce type d'ouvrages. Le permis de construire est délivré le 6 octobre 1981, le chantier s'ouvre le 18 avril 1983 et s'achève le 19 septembre 1984. Deux courts supplémentaires attenants sont construits dix ans plus tard par L. Thomas (PC 10 juin 1994, DOC 18 octobre 1994, DAT 9 janvier 1995). Enfin, en 2010, l'atelier Amoros d'architecture est chargé de couvrir le court n° 3. Ce dernier équipement est inauguré le 9 octobre 2010.
Auteur(s) du descriptif : Bonnet Philippe

Par : L'inventaire du patrimoine

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Complexe sportif Jean Zay, rue Pierre de Coubertin
Construit à proximité du lycée polyvalent Jean Macé, le complexe sportif Jean Zay s'est constitué en une trentaine d'années, entre 1969 et 2003. L'équipement le plus ancien est le gymnase Léo Lagrange, édifié en 1969 sur les plans de Yves Guillou. Le deuxième élément est la salle de gymnastique Pierre de Coubertin, conçue en 1978 par l'architecte nantais Maurice-Louis Thomas et inaugurée le 8 novembre 1980. La salle Jean Zay proprement dite a été construite en 1997 sur les plans d'Alain Le Masson & Christophe Le Moing : permis de construire délivré le 26 octobre 1995, ouverture du chantier le 2 mai 1996, inauguration le 13 juin 1997. Enfin, la salle P. de Coubertin a été agrandie d'une salle de gymnastique rythmique et sportive, réalisée par Jacques Arnoux (Déesse 23) et inaugurée le 11 juin 2003.
Auteur(s) du descriptif : Bonnet Philippe

Par : L'inventaire du patrimoine

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Moulin à marée du Plessis, puis minoterie, 8 rue d
Le cadastre de 1818 nous informe que le moulin se situait au milieu de la digue, comme la minoterie qui lui a succédé. Sur le dessin de 1830 on remarque une bâtisse qui semble être située juste derrière. Il s'agit probablement de la maison du meunier, d'autant plus que le moulin n'a pas de cheminée, mais son implantation est assez inhabituelle, celle-ci se trouvant généralement à côté dans le prolongement du moulin ou carrément à l'écart.Le dessin de 1830 nous informe que le moulin originel possédait deux roues extérieures verticales. Organisé selon un plan rectangulaire se rapprochant du carré, il ne semble pas avoir d'éperon pour empêcher l'enfoncement dans la vase mais présente seulement un fruit sur son mur aval. Le moulin est surmonté d'un toit à croupe en ardoise et comporte une lucarne, ce qui rappelle effectivement les vieux moulins d'abbaye comme le Moulin de Mol Kerjan à Trébabu, le Moulin du Lindin, le Moulin de Pen Castel. Sa façade aval et sa façade ouest comptent chacune un petit fenestron. Les anciennes photographies de la minoterie du Plessis permettent d'observer que la façade aval s'organisait symétriquement autour d'une partie centrale surmontée d'un fronton. Cette partie comptait trois travées et les parties sur les côtés en comptaient quatre. Avant de s'équiper d'un moteur la minoterie comptait deux roues latérales à large aubage.Aujourd'hui le soubassement du moulin en pierre de taille est encore présent. On distingue la section de la partie centrale, légèrement avancée, et les coursiers des roues se devinent encore : le coursier Ouest est muré tandis que le coursier Est est encore libre. Aujourd'hui la minoterie du Plessis a complètement disparu et un bâtiment de logements collectifs à été construit sur son emplacement. Seul son soubassement et des traces de remaniements dans la digue témoignent de son passé marémoteur. Avant d'être la minoterie dont il reste quelques images, il existait à cet emplacement un moulin de type artisanal. On lui prête des origines remontant au XIVe siècle, mais pour cette étude, la plus ancienne trace avérée date de 1782 et se trouve dans un aveu au Roi déposé par maître Joseph Le Fur, procureur du Seigneur de Kervilio du moulin à mer du Plessis Riou. Cet aveu a notamment été relevé dans l'inventaire sommaire des archives départementales antérieures à 1790 par l'archiviste M. Rosenzweig. Le moulin du Plessis dans sa dimension « artisanale» est visible sur la carte de Cassini réalisé entre 1750 et 1815 et un dessin aquarellé conservé aux archives du service de la défense de Lorient daté de 1830 permet de se figurer comment était le bâtiment.En 1912, un rapport des Ponts et Chaussées concernant les travaux à effectuer sur la digue, rapporte que le moulin appartient à M. Dupuis qui l'a acquis de M. Guilloteaux et qui était antérieurement la propriété « d'un sieur Jehanno » en 1829. Il est également écrit que « Les ouvrages d'art actuels de la digue, vannage, moteur, vannage des eaux d'entrée dans l'étang ont été construits en 1854 et 1867 lorsqu'on a remplacé les roues de l'ancien moulin par des turbines » (AD Morbihan. 4S 769). En 1933 la minoterie du Plessis est détruite partiellement par un incendie. Sa reconstruction est l'occasion de l'équiper d'un moteur électrique. Le bâtiment sera à nouveau endommagé durant la Seconde Guerre mondiale. Dans les années 1960 le bâtiment sera reconstruit pour créer une usine de confection puis à nouveau remanié pour accueillir des logements en 1968.
Auteur(s) du descriptif : Nadolski Claire

Par : L'inventaire du patrimoine

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Les loisirs des jeunes à Lanester
Les jeunes de la banlieue industrielle de Lanester ont créé un lieu de rencontre, le Club des jeunes/. Durant leur temps libre, ils s'y retrouvent et participent à des ateliers de théâtre, de cinéma, à des groupes de musique.

Par : INA

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