Le patrimoine de Landerneau

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Calvaire et Place Saint-Thomas : [carte postale]
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Réception du préfet - OC - habitat
Troupeau de moutons dans un champ. Façade de l'hôtel d'Angleterre (Roscoff – à vérifier). Visite de la Coopérative agricole d'insémination artificielle et d'amélioration du Finistère et des Côtes du Nord, centre de Plounévézel/Carhaix. Présentation de taureaux. Pot. Rochers et mer filmés depuis la pointe du Raz. Une vieille femme mène une vache attachée à une corde, calvaire (à identifier), troupeau de vaches dans le parc d'un château. Parking du mont Saint Michel et mer à marée basse filmés depuis le haut du mont. Un groupe de l'Office Central en visite au mont Saint Michel découvre de l'abbatiale et son cloître. Visite du Préfet : arrivée des motards et de la DS officielle dans la cour de l'Office Central, accueil par Jean-Louis Rolland, maire de Landerneau, le préfet coupe un ruban, inauguration d'un lotissement (à localiser), discours sur place, puis les gens se rendent à pied aux Capucins en passant par le patronage (actuel cinéma, rue de la Fontaine Blanche). Un peloton de gendarmes se tient au garde à vous. Discours du Préfet à l'intérieur d'un bâtiment de la salle des Capucins. Banderole dont une partie du texte est masquée, on arrive à lire « Trentenaire de la société de crédit.... immobilier ….1959 ». Discours officiels et banquet. Jean-Louis Rolland, maire à l’époque, en premier plan à droite. Jean Coat, photographe en bas des escaliers. Louis Lichou et Mr Uchard à droite. Mr Piquemal, qui s’est occupé de la reconstruction de Brest, avec ses cheveux gris. Manu Bannier serre la main. Ty Korn à Kerlouan. Cimetière de Guisseny (à vérifier). Fourcade à droite (à vérifier).

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Centrale laitière 1969 Beurre
Intérieur d'une laiterie : chaine avec machine qui colle des étiquettes Laïta sur de grandes barquettes de beurre destinées probablement aux collectivités.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Processions à Landerneau : (deux incidents en 1748
Relation de deux incidents lors de processions à Landerneau par l'abbé Antoine Favé

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Episodes et anecdotes : Landerneau et Morlaix au
Landerneau et Morlaix au XVIIIe siècle, épisodes et anecdotes

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Procession de la fête Dieu
Procession de la fête Dieu à Landerneau en 1925 ; cours de gymnastique à jeunes filles sur la plage avec un professeur ; Landerneau sous la neige ; Morgat les grottes ; course cycliste : le Circuit Atlantide 1925 ; famille dans le jardin à Quimper 1925 : jeux parents/enfants, partie de rigolade, mini saynètes par les adultes, couple d’amoureux dans les buissons, jeune femme puis jeune homme prenant la pose devant la caméra ; les Pyrénées : Cotteret, Gavarnie puis Lourdes ; Biarritz - Bayonne - Quimper (femme et son enfant dans la cour de la maison) ; "Lesneven/Landerneau" (match de football) ; arrivée de deux autobus sur la place du village (à identifier), descente des passagers ; match de football ; course automobile (Florio ?) ; parade militaire avec des avions et des bateaux (en rade de Brest ?). Sortie en autobus à Sizun.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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De Landerneau à Quimper
CARNET DE NOTES D'UN TOURISTE A TRAVERS LA BRETAGNE de René Arcy-Hennery 1928 - n&b - 5 épisodes de 10' chacun environ René Arcy-Hennery, opérateur professionnel, parcours la Bretagne en 1928, de Dinan à Quiberon. Il saisit un univers social préservé à peine changé par la guerre 14-18 mais qui sera effacé par les bouleversements économiques, structurels et industriels qui succéderont à la 2e guerre mondiale. À travers ses cartes postales animées : paysages bucoliques, lavandières, scènes quotidiennes ou de marché, il nous fait découvrir une Bretagne d'un autre siècle, de la fin du XIXe, du début du XXe.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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De 1948 à 1958 et défilés folkloriques
1948 : une procession dans les rues de Landerneau (prise de vues Pierre Caouissin). 1953 : collège Bon secours St Louis, dans les baraques rue Conseil à Brest. Les élèves de la classe Math-élem et leur professeur, l'abbé Marcel COZ. 1955 : mois de mars, images de Rennes, étudiants de l'Institut de chimie de l'Université de Rennes (IUCR). Parc du Thabor : un jeune enfant donne à manger aux animaux, il porte un kabig, place Pasteur devant la Faculté des sciences, restaurant universitaire de la rue de Fougères. 1957 : mois de mai, étudiants de l'école technique supérieure de chimie de l'ouest (ETSCO) à Angers. Défilés folkloriques. 1955 : Quimper rue Kéréon défilé des fêtes de Cornouaille. 1958 : idem (sous exposé). 1958 : Brest, festival des cornemuses, défilé rue de Siam (avec une très courte séquence de l'hélicoptère d'Albert LAMORISSE qui tournait "Voyage en ballon"), puis le même jour le défilé Triomphe des sonneurs, en haut de la rue Jean Jaurès.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Bréviaire de Landerneau
Manuscrit sur vélin, texte en deux colonnes, lettrines rouges, bleues, noires. Petit in 8° : 11,5 x 15 cm. Date approximative.

Bibliographie :

Bulletin et mémoires de la Société archéologique du département d'Ille et Vilaine, tome XXV, Rennes 1906, p. 141-144, n°55 : "Bréviaire de Landerneau du XVè siècle", par M. l'Abbé F. Duine.

François-Marie Duine, Inventaire liturgique de l'hagiographie bretonne, Paris, librairie ancienne Honoré Champion, 1922, 291 p. (La Bretagne et les pays celtiques, n° XVI) .
Extrait du Bulletin de la Société archéologique d'Ille-et-Vilaine, T. XLIX. Cf. p. 211 : CCXCIV, "Bréviaire manuscrit de Landerneau".

Bernard Merdrignac, « L'Espace et le Sacré dans les leçons de bréviaires de l'Ouest armoricain consacrées aux saints bretons (XVe-XVIe siècles) », dans Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, vol. 90, 1983, p. 273-293.

Dossier constitué par M. le Chanoine Peyron, aux archives de l'évêché à Quimper à la cote 2 Z 401 (partiellement numérisé).
Transcription de la partie "Propre des saints" du Bréviaire de Landerneau par M. le Chanoine Jean-François Falc'hun, Dirinon, 1987, aux archives de l'évêché à Quimper à la cote 83 Z 28 .

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Le Réveil-Matin : [carte postale]
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Observations des députés du pays de Léon et de la

Par : Gallica

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Notice historique sur la ville de Landerneau (2e é

Par : Gallica

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Press-lin de Tréflez (collections de la ville de L
Nature du meuble : cette "press-lin" comporte deux battants de portes séparés d'un très large montant dormant. La partie basse est un coffre.Bois employé : chêne. Patine naturelle d'origine.Techniques employées : menuiserie classique, moulures à coupes d'onglet et coupes mixtes, avec arasements à barbe rallongée.Répertoire des moulures : pour la coupe AB : un quart de rond, un carré, un listel, un glacis suivi d'une baguette, d'un glacis, une grande doucine, une gorge, un méplat, une petite baguette suivi d'un listel et d'un quart de rond. Pour la coupe CD : Un congé, un petit carré, un méplat, une baguette, un petit carré, un quart de rond constituent cette mouluration. Pour la coupe EF: Une plate bande en glacis, une gorge, un petit carré, suivi d'un boudin méplat, un grand méplat, une baguette, un listel, un carré, un quart de rond, une plate bande en glacis, un petit carré, un congé, un petit carré suivi d'un listel. Pour la coupe GH : Pour le pied, un chanfrein. Pour le petit montant : Un petit glacis, un petit carré, un grand congé suivi d'un petit carré, d'un boudin méplat, un listel suivi d'un méplat, un filet, un listel, un quart de rond. Sur le panneau: Une plate bande en glacis, un petit carré, un congé, un petit carré. La cimaise : Un listel, un petit carré, un bec de corbin, une grande doucine, un petit carré. Pour l'entablement : La corniche: Un quart de rond, un carré, un talon droit, un carré. La frise : Un quart de rond, un fond creux, un talon renversé, un fond creux, un quart de rond, une gorge, un fond creux, un quart de rond. Pour la moulure faisant office d'astragale de cet entablement: Un petit carré, un quart de rond, un carré, une doucine droite, un carré, un quart de rond.Décors sculptés : l'entablement qui supporte la corniche est décoré d'une frise de feuillages ainsi que de palmettes. L'entourage du dormant entre les portes ainsi que les panneaux du coffre ont également reçu un décor de palmettes. L'entourage des portes est décoré d'une frise de feuillages et de palmettes. Les panneaux hauts des portes sont décorés de têtes d'angelots, entourés d'une végétation stylisée. Deux autres petites têtes d'angelots encadrent la scène depuis les angles. Les panneaux bas des portes montrent des tulipes stylisées. Les panneaux du dormant sont sculptés de végétations stylisées, sur celui du bas apparaît la date de 1680 dans un médaillon ovale. Des motifs également de feuillages stylisés décorent les panneaux du coffre. La cimaise est décorée de palmettes.Garnitures : les serrures et entrées de serrures sont modernes. Les deux portes ainsi que le dormant du milieu sont pourvus de pendeloques de tirage. Les portes pivotent sur des fiches de fer à broche.Style : ce meuble est de style Renaissant, teinté d'art populaire.Inscription : F : Bian 1686
Auteur(s) du descriptif : Le Gall-Sanquer Andrée ; Salaün Lénaïg ; Le Bars André-Charles

Par : L'inventaire du patrimoine

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La Société Linière du Finistère
La Société Linière du Finistère s'étendait sur environ 16 hectares à la sortie est de la ville. Le site comprenait des bâtiments et un étang de retenue (environ 6 ha).Le mémoire établi lors de la liquidation des biens de la Société, en date du 25 janvier 1892, nous en donne une description précise. Le site comporte plusieurs bâtiments, dont les descriptifs et dimensions sont indiqués en annexe dans la transcription du document, conservé aux archives départementales du Finistère sous la cote 7 M 247.Trois ensembles de bâtiments sont encore visibles actuellement sur le site, chacun étant dans un état plus ou moins bien préservé. Ces ensembles architecturaux sont partagés entre deux types de matériaux : la pierre et la brique.La Peignerie et le scutcher. La Peignerie est un bâtiment de forme rectangulaire et longitudinale (n°33 sur le plan). Il est constitué de pierres ainsi que de briques pour l’encadrement de la porte. L’élévation se fait sur deux niveaux, avec un rez-de-chaussée et un premier étage, et un toit en éverite. Le long du rez-de-chaussée de la Peignerie se trouve, complètement accolé, le bâtiment nommé « scutcher » (n°34 sur le plan) qui n’a qu’un niveau et dont le toit est manquant. Le nom de ce bâtiment provient de l'anglais scutching-machine (teilleuse) et qui était aussi appelé "moulin irlandais" ; la mention "scotcher" se retrouve aussi, cependant ce n'est qu'une déformation du mot d'origine. L’ensemble général des bâtiments est délabré, la végétation est plutôt dominante. Côté rivière, des latrines en brique et un accès par un escalier qui donne directement sur la rivière sont à noter. De plus, des vestiges d’une passerelle qui passait par-dessus l’Elorn sont encore visibles. Ajoutons à cela, que deux "roues" ou "meules à chanvre" ont été retrouvées sur le site, dans une propriété privée. Toutes deux en granite, elles mesurent 2 mètres de diamètre pour 50 centimètres d'épaisseur, et elles pèsent dans les 4 tonnes.Les magasins liniers. Le deuxième ensemble de bâtiments encore préservé est celui qui est en bordure de route, dans la rue des Écossais. Sur l’ensemble actuel, ce sont au moins deux bâtiments d’origine qui sont accolés, chacun s’élevant sur deux niveaux : l’habitation-bureaux pour le premier (n°20 sur le plan) et les magasins de lins et fils au rez-de-chaussée du second du bâtiment (n°21 sur le plan), avec au premier étage les marchands et les outils. Ils forment ainsi un ensemble longitudinal à multiples travées. L’encadrement est de pierre pour la porte principale et de brique pour la secondaire, et les fenêtres sont encadrées de béton.La blanchisserie. Enfin, construite le long de l’Elorn, se trouve l’ancienne blanchisserie (n°2A sur le plan). L’état actuel de ce bâtiment laisse voir deux affectations différentes qui se sont succédées dans le temps et qui se retrouvent dans le choix des matériaux encore visibles dans la structure en ruine. En effet, dans un premier temps se trouvait la blanchisserie qui était constituée de pierre et s’élevait sur deux niveaux : la blanchisserie en elle-même au rez-de-chaussée et le séchoir à l’air libre au premier étage. Aujourd’hui, les parties architecturales de la blanchisserie ne sont qu’apparentes par le matériau (la pierre) et par l’élévation marquée par les huit piliers qui subsistent, tandis que le toit, lui, a disparu. La blanchisserie reste visible de loin grâce aux trois pignons restants côté ouest et qui devaient marquer les trois vaisseaux composants de la structure (voir ill. « Ancienne filature » pour visualiser une comparaison). Et dans un second temps, la briqueterie a investit les lieux de l’ancienne blanchisserie. Les vestiges que nous pouvons observer imbriquent alors à la fois celles de la blanchisserie et celles de la briqueterie, distinguables par leur principal matériau de construction (respectivement la pierre et la brique).La manufacture du Léon qui fabriquait les Crées, ces toiles de lin qui étaient exportées par les ports de Landerneau et Morlaix, était « gérée » par les négociants (Heuzé, Radiguet, Homon, Goury, Le Roux), souvent également armateurs de ces deux villes.Dans un premier temps (début du XXe siècle) ils ont organisé le tissage en ateliers, comme celui installé au couvent des Capucins, où, en 1820, 160 métiers environ tissaient le lin, le coton, les siamoises de couleur, le linge de table mais principalement des toiles à carreaux, fil bleu d’épreuve, façon de Bruges et de Lille.Si les premières étapes de la transformation de la fibre ne pouvaient se faire que manuellement, ils ont souhaité prendre modèle sur les Anglo-saxons, en avance sur la mécanisation, pour le filage et le tissage. C’est ainsi que peu à peu ils ont opté pour l’installation d’une usine pour produire de la toile en quantité et en qualité capable de répondre au cahier des charges de la Marine. Le lieu d’implantation a été choisi en fonction de l’énergie nécessaire au fonctionnement des machines, en l’occurrence, à l’est de la ville sur les bords de l’Elorn afin de profiter de la force hydraulique de la rivière.Ils déposent les statuts de la Société Linière le 22 août 1845 (voir en annexe), avec comme associés (qui seront, pour certains, suivit par leur fils) René Poisson (1768-1854) ; Joseph et Charles Goury (1779-1869/1815-1885) ; Jean-Isidore Radiguet (1792-1862) ; François et Gustave Heuzé (1789-1852/1821-1898) ; Guillaume et Albert Le Roux (1794-1868/1836-1912).Les machines sont achetées pour la plupart en Irlande. Le personnel est recruté sur place mais la Société Linière attire également des ouvriers d'autres communes finistériennes (Plounéour-Ménez, Commana...) et d’autres pays de tisserands, tel que les Côtes d’Armor. Afin de former et d'encadrer les ouvriers bretons, les négociants pré-cités font venir des contre-maîtres et ouvriers spécialisés Écossais.Ceux-ci forment alors une véritable communauté, ont leur pasteur, leur école dans le « quartier des Écossais ». Les bâtiments d'habitation des contre-maîtres sont toujours visibles près de la voie ferrée.L'apport des actionnaires dans la société est constitué principalement de blanchisseries ou d'ateliers de tissage répartis sur un territoire qui va de Landerneau à Ploudiry, Landivisiau, Saint-Sauveur, Commana, Plourin. D'autres ateliers de tissage ont été construits et mis en œuvre ultérieurement (Guimillau).Le principal client de la Société sont la Marine Royale qui passe commande pour des toiles à voile, vareuses, chemises, pantalons et manches à eau, et I‘Administration de la Guerre pour laquelle elle fabrique des toiles « à tentes de soldats et d’officiers », ainsi que pour les sacs de campement.Le lin n’est pas acheté sur pied, l'ensemble des essais de rouissage industriel ayant échoué, la Société achète le lin roui qu’elle stocke au couvent des Capucins, stockage qui devient le rôle principal de la communauté après la construction des nouveaux bâtiments de la filature à I‘entrée de la ville (1847). C’est aussi au couvent des Capucins que se font I'emballage et I‘empaquetage des fils et toiles, le marquage, la couture ; pour cela, la Société emploie une soixantaine d’ouvriers.L'arrivée de la Marine à vapeur entraînant la perte du marché de la Marine et la difficulté d'un approvisionnement homogène, vont, entre autres, conduire à la fermeture de la Société Linière du Finistère en 1891. Après la liquidation, les bâtiments sont repris par la Grande Briqueterie.Aujourd'hui, ils sont encore partiellement visibles, certains dans un état de délabrement avancé car situés en zone inondable.
Auteur(s) du descriptif : Le Gall-Sanquer Andrée

Par : L'inventaire du patrimoine

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Eglise de Beuzit-Conogan (Landerneau)

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison, 3 rue du Commerce (Landerneau)

Par : L'inventaire du patrimoine

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Petit gymnase du lycée de l'Elorn, 10 place de l'é
Gymnase de type A (20 m x 11,50 m). En 1994, les châssis de la façade ouest ont été remplacés par des châssis vitrés en aluminium laqué.Le 3 mai 1955, le général des Bâtiments de France examine le projet d’aménagement de la caserne Taylor en internat de garçons et de jeunes filles et note que « les plans de la salle de gymnastique ne figurent pas au dossier. Le service technique de l’équipement sportif devra être consulté sur cette construction. » Toutefois, la salle d’éducation physique est réalisée au cours des années suivantes puisqu'elle figure sur le plan de masse dressé par J.-B. Mathon en mars 1961 parmi les bâtiments déjà construits. Le gymnase fait l'objet de travaux en 1994 (modification de la façade ouest).
Auteur(s) du descriptif : Vely Simon ; Bonnet Philippe

Par : L'inventaire du patrimoine

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La SCNF porte plainte contre les légumiers bretons
La SNCF porte plainte contre des agriculteurs bretons qui ont saccagé des gares dans le Nord Finistère. Cela a entraîné des perturbations dans le trafic. Les légumiers réclament une aide de l'Etat pour faire face à la baisse du cours du chou-fleur.

Par : INA

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La Pierre de l'Ancien Moulin du Pont avec l'inscri
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Divers
1/ Femme qui traverse la route (N/B). 2/ Calvi, printemps 1961. 3/ Corse pâques 1961, troupeau de chèvres, port, marché, troupeau de cochons. 4/ Noce à Poullaouen, danse bretonne lors d'un mariage 1952 (très court). Gavotte Poher. 5/ Clocher. 6/ Promenade à la campagne, enfants (surex). 7/ travaux sur un bateau de plaisance (construit par M. Vignol sur des plans de Grondin acheté), sortie dans le bassin de Landerneau (1949) 8/ Fête bretonne (double expo.) 9/ voilier (surex) 10/ voilier à Bénodet (surex).

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Clocher Saint-Houardon à Landerneau : [dessin]

Par : Gallica

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