Femmes au travail en Bretagne

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Dentellières au travail
Dentellières au travail devant leur étalage, place Saint Guillaume

Par : Archives municipales de Sa

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Pays Bigouden 1962-63
Vie quotidienne en Pays Bigouden au début des années 1960. L'estuaire de l'Odet, le bac Sainte Marine-Bénodet (1951 à 1972, date d'ouverture du pont de Cornouaille). Le port de pêche du Guilvinec, arrivée des bateaux de pêche et déchargement du poisson, criée. Partie de pétanque, homme met sa chique dans son béret. Les bigoudènes en coiffe au marché de Pont-L'Abbé (halles place de la République), vente de porcs, homard, bigoudène avec un chien donne la pièce à un homme qui joue du violon. Flore des dunes (oyat et panicaut des dunes). Homme portant chapeau en velours regarde sa montre à gousset. Pardon de Notre dame de La Joie à Penmarc'h (15 aout), stand (objets religieux et bonbons), calvaire, femmes bigoudènes boitant, homme âgé avance avec deux cannes. Peintre peignant devant la chapelle de Penhors à Pouldreuzic. sortie d'église à déterminer. Procession religieuse (pardon de Penhors?). Pique nique, glaces. Brodeuses bigoudènes (picot ou point d'Irlande et broderie blanche), goémonière, femme avec koef béo ramassant du sable. Des bigoudènes mangent des glaces. Pour commentaires, texte et analyse voir compléments

Par : Cinémathèque de Bretagne

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De Penmarc'h au Guilvinec 1959
Une dense activité agite quotidiennement le petit port de Saint-Guénolé Penmarc'h. Retour pêche des sardiniers, chalutiers ou thoniers Bigouden au port. Débarquement manuel à la chaîne des caisses de poissons par les pêcheurs. Chargement de centaines de thons sur un camion. Un goémonier travaille à la recherche, en bord de mer, des algues recherchées. Vue de la côte à Saint Guénolé, une fumée odorante s'échappe de la cheminée d'une conserverie. Pêche à pieds sur les rochers. Des anciennes femmes bigoudennes en coiffe et chausson, travaillent au ramandage des immenses filets bleus. Fête bretonne avec un défilé des bagad et cercles celtiques bretons, des chars décorés ont été conçus pour l'événement. L'un de ceux-ci représente de très jeunes filles travaillant dans une conserverie. A l'arrière plan, une énorme boite de sardine indique "Made in France". Il s'agit de la fête des filets bleus à Concarneau (Que l'on retrouve sur le 1417FS0002, en N/B). Gros plan sur un petit crabe. Vues de la côte de la baie d'Audierne. C'est jour de pardon en la chapelle de Notre Dame de la joie. Le calvaire et la chapelle de Tronoën. Le port du Guilvinec, retour des pêcheurs. Travaux de réparation des filets sur le bateau.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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femme en costume bourgeois, tailleur, sac et chape

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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1 femme assise en costume breton tenant un bébé et

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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femme en costume bourgeois assise à une table ; li

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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La Coiffe de Nantes : [carte postale] : Une Marcha
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Conserverie
Conserverie Cassegrain de Concarneau, 1956. Visite de personnalités et hommes d'affaires à l'occasion du centenaire de l’installation l'usine. Une femme dispose une grille remplie de sardines queue en l'air à l'entrée du tapis roulant, pont de lavage, femmes au travail (en coiffes), Des hommes en costume font la visite tandis que les femmes travaillent, assises devant des tables. Elles sortent des sardines de paniers en osier disposés devant elles et les mettent sur un tapis roulant, gros plan, geste délicat, engrillage délicat. Visage d'une femme étonnée tenant une grille remplie de sardines et fixant la caméra. Entrée des sardines pour le lavage au-dessous du « pont ». Vue de l’usine : hommes en tenue chic des années soixante dont un officier de l’Armée de Terre (colonel ?) discutent entre eux tandis que les femmes travaillent. Une femme dispose les grilles à sardines à l’entrée de la nettoyeuse. Sardines sortent de la nettoyeuse.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Pêcheuses de crevettes de Carantec
Carantec.- Portrait de deux pêcheuses de crevettes de Carantec.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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. 570, Femme de Plougastel-Daoulas : [carte postal
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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plaque de verre
Sujet représenté : scène (école professionnelle ; couture ; couturière ; table ; jeune femme ; le travail) - N° d'inventaire : 2015.0.153

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Les ouvrières du textile
Des ouvrières du textile, ourleuses, matelassières, tailleuses, qui travaillent à l'usine depuis près de 40 ans. Et des jeunes, qui vont prendre la relève... Au rythme des moteurs et dans le mouvement du tissu, le savoir-faire se transmet. Avec la danseuse Véronique Favarel.

Par : Bretagne et diversité

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Lavandières. - Cesson-St-Brieuc
Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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. 6055, Bébé et nourrice : [carte postale]
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Madalen an Amour
Décembre 1998 - Madalen an Amour vient de sortir un nouveau livre en breton intitulé "Bugale Kerugan" (les enfants de Kerugan) qui raconte des souvenirs d'enfance dans la campagne trégorroise. Madalen n'a pas toujours été écrivaine, loin de là. Elle a exercé de nombreux métiers dont institutrice à ses débuts et employée à LTT pendant 20 ans. Madalen, a accepté de recevoir chez elle des élèves de classe bilingue, Gwladys, Klervi et Nolwenn, qui avaient préparé un lot de questions à lui poser. Et avec une grande gentillesse, elle a répondu à toutes ces questions, tout cela en breton, bien sûr (sous-titré, bien entendu) ...

Par : TV Trégor

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Outil de pêche : have à chevlin
La have à chevlin mesure 377 cm de longueur hors tout et 240 cm d'ouverture. Elle est confectionnée dans un textile très fin, comme de la tulle de rideau. Elle est tendue et étirée par deux quenouilles en bois (155 cm de long). Elle se présente comme un cul de chalut, avec un gousson cylindrique de 122 cm de profondeur, qui s'élargit au centre de la have (45 cm de large), dont les ailes s'ouvrent sur une largeur d'environ 180 cm (gueule de la have). Une ralingue garnie de plomb permet de maintenir la have au sol, pour "songner" dans les gués.Dans son rapport d'inspection des pêches à Saint-Jacut en 1726, l'inspecteur Le Masson du Parc, évoque le "droit exigé pour permettre la pêche au chevron", en parlant des "Jaguennes" : Elles font cette petite pêche dans la rivière du Guildo. Pour la leur permettre, le fermier du seigneur du Guildo exige des pêcheurs 3 à 4 livres par bateau, pour la saison de la pêche, ce qui ne se pratique que depuis 25 à 30 ans au plus, ainsi que les pêcheurs et les notables nous l'ont certifié publiquement. Dans son rapport, Le Masson du Parc décrit la have à chevlin semblable à celle utilisée par les chevrinouères, jusqu'en 1950. Ce qui tendrait à prouver que cet outil de pêche date de plus de 300 ans.Selon le témoignage des Jaguens, les chevrinouères étaient très indépendantes et travaillaient en équipe de deux femmes, par affinité, en baie d'Arguenon et de Lancieux. Elles étaient souvent liés à un seul marin pêcheur à qui elles fournissaient la boëtte nécessaire broyée dans une auge en pierre (chevlin, mnuse, coques crues, appelées rigadaux ou guergoselles, pieds de couteaux, appelés mançots, ou petits crabes verts, appelés catacots). Les femmes tendaient la "quenouille", c'est à dire les deux bois, qu'elles piquaient dans la vase, en attendant que le courant descende, pour seugner ou songner, pour recueillir dans le filet le menu chevlin (frai de crevette grise) ou d'autres petits poissons dans leur applet. Les "coquères" descendaient travailler sur les "banches du baie", le panier au bras et la "pouche" aux coques roulée sur les reins avec une écharpe, un cotillon ou deux sur les fesses, un large paletot de grosse toile sur le dos et le ciré sans capuchon. Pieds nus ou équipées de vieilles galoches usées, des "claques", de mauvaises sandales, elles devaient remplir leurs mannequins de coques (30 kg par mannequin), en "pilotant", c'est à dire en martelant le sol, pour faire remonter les coques et les ramasser ensuite à la main. Il fallait ensuite dégrèver, franchir le gué à marée montante pour revenir à la cale de la Banche. En 1914, elles étaient une trentaine de tous âges à pratiquer ce métier. Parfois, les hommes pouvaient pratiquer ce métier comme le 'père Hyacinthe', à la fin du 19ème siècle. La have à chevlin étudiée a été reconstituée par Michel Duédal (ancien syndic des gens de mer) vers 1970. Cette pêche a disparu dans les années 1950 en raison du changement de technique pour pêcher le maquereau à la ligne traînante.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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D'an nav vloaz d'an aod ha da pevarzek vloaz d'an
Anna Colin eus Poulgoazeg he deus bet ur vuhez a labour : da nav vloaz eo bet renket dezhi mont d'an aod da zastum bezin ha ne oa nemet pevarzek vloaz pa oa aet da labourat d'an uzin pesked evit lakaat pesked e boestoù. [Anna Colin de Poulgoazec a eu une vie de labeur : dès neuf ans il lui a fallu aller à la grève pour ramasser le goëmon et elle n'avait que quatorze ans quand elle est allée travailler à la conserverie pour mettre du poisson en conserve.]

Par : INA

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Réparation du filet de pêche

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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CONCARNEAU - Le repose de la ramandeuse
Concarneau.- Une jeune femme pose en costume traditionnel, en train de réparer un filet de pêche.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Maudite conciliation ! : Les inégalités de genre f
Conférence Maudite conciliation ! : Les inégalités de genre face au temps de travail donnée par Rachel SILVERA, Economiste, maîtresse de conférences, Université Paris Ouest Nanterre-La Défense / Co-directrice du Réseau de recherche international et pluridisciplinaire «Marché du travail et genre» (MAGE)

Par : L'aire d'u

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12/3/24, Bois de Boulogne [nourrices bretonnes prè

Par : Gallica

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Plaque commémorative de la pêcheuse jaguine
Plaque en bronze avec décor en relief représentant une pêcheuse de coques avec son râteau, signée de Poiron, avec l'inscription suivante : Elles aussi ont fait l'histoire de Saint-Jacut. Cette plaque est apposée sur un mur en granite. L'oeuvre commémorative est située devant la plage de la Banche, au dessus de la cale de Béchet.Cette plaque commémorative, réalisée en décembre 2003, par Poiron (atelier BBC), rappelle l'économie vivrière de la pêche à pied, en particulier le travail des femmes à la grève, coquères (pêcheuses de coques), chevrinouères (pêcheuse de chevlin ou chevrin), mancouétères (pêcheuses de mançots ou pieds de couteaux), sans oublier celles qui pêchent des panerées de menuse, de buée et de lançonnets, pour l'affare. Leurs patronymes et leurs surnoms sont conservés dans la mémoire locale grâce au témoignage oral de ceux qui les ont connues : la "Vieille Margot", Marie-Rose Goasdoué, pêcheuse de coques, "La Grande Blochette", Joséphine Touze chevrinouère et Françoise Pilard (née en 1920), dernière pêcheuse à pied de Saint-Jacut.Les pêcheuses de coques fréquentaient en particulier les "banches du baie" entre Saint-Jacut et Le Guildo, qu'elles descendaient au "Tourillon", en groupes ou par affinités. Elles devaient traverser l'Arguenon (appelée 'la rivière') parfois en crue dans les gués. La pêche se vendait au mannequin, contenant une trentaine de kg, qu'elles devaient porter sur le dos (parfois deux sacs) et ramener jusqu'à la cale de la Banche, après 4 heures de pêche. Les Jaguines pêchent de jour comme de nuit, songnant le chevlin pour alimenter en affare les bâts (bateaux) qui "faisaient" le maquereau. Le "journal parlé des Banches du Bay" était alimenté par les conversations des chevrinouères et des coquères.En 1914, selon le témoignage de Jean-Baptiste Lemoine, elles étaient encore une trentaine de tous âges à pratiquer cet impitoyable métier, même des femmes enceintes jusqu'à sous les bras.Les mareyeuses, nombreuses à Saint-Jacut, faisaient le commerce des coquillages et des poissons, comme Jacques et Rose Carré, qui utilisaient un âne pour transporter leur 'poissonnerie'.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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2 femmes en costume bourgeois et un militaire tena

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Une marchande de "souvenirs" en coquillages à Canc
Numérisation : Archimaine - 2021

Par : Les tablettes rennaises

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Brodeuse à Douarnenez
Numérisation : Archimaine - 2021

Par : Les tablettes rennaises

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