Femmes au travail en Bretagne

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Dentellières au travail
Dentellières au travail devant leur étalage, place Saint Guillaume

Par : Archives municipales de Sa

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Vies d'ouvrières
Il y a dix ans, paraissant "le voyage à Paimpol", qui racontait l'histoire de Maryvonne, ouvrière de Saint Brieuc qui, un jour d'extrême lassitude, fait une fugue et se paye le voyage en autocar pour Paimpol. Dix ans après, l'auteure du roman, elle même ancienne ouvrière, Dorothée Letessier a fait le voyage en autocar entre Saint Brieuc et Paimpol. Entretiens et montage d'entretiens avec Dorothée Letessier, ses anciens collègues d'usine de Chaffoteaux, revues après dix ans d'absence : le travail à l'usine, le manque d'alternative surtout pour les femmes, l'évolution professionnelle de certains collègues

Par : INA

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Pays Bigouden 1962-63
Vie quotidienne en Pays Bigouden au début des années 1960. L'estuaire de l'Odet, le bac Sainte Marine-Bénodet (1951 à 1972, date d'ouverture du pont de Cornouaille). Le port de pêche du Guilvinec, arrivée des bateaux de pêche et déchargement du poisson, criée. Partie de pétanque, homme met sa chique dans son béret. Les bigoudènes en coiffe au marché de Pont-L'Abbé (halles place de la République), vente de porcs, homard, bigoudène avec un chien donne la pièce à un homme qui joue du violon. Flore des dunes (oyat et panicaut des dunes). Homme portant chapeau en velours regarde sa montre à gousset. Pardon de Notre dame de La Joie à Penmarc'h (15 aout), stand (objets religieux et bonbons), calvaire, femmes bigoudènes boitant, homme âgé avance avec deux cannes. Peintre peignant devant la chapelle de Penhors à Pouldreuzic. sortie d'église à déterminer. Procession religieuse (pardon de Penhors?). Pique nique, glaces. Brodeuses bigoudènes (picot ou point d'Irlande et broderie blanche), goémonière, femme avec koef béo ramassant du sable. Des bigoudènes mangent des glaces. Pour commentaires, texte et analyse voir compléments

Par : Cinémathèque de Bretagne

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De Penmarc'h au Guilvinec 1959
Une dense activité agite quotidiennement le petit port de Saint-Guénolé Penmarc'h. Retour pêche des sardiniers, chalutiers ou thoniers Bigouden au port. Débarquement manuel à la chaîne des caisses de poissons par les pêcheurs. Chargement de centaines de thons sur un camion. Un goémonier travaille à la recherche, en bord de mer, des algues recherchées. Vue de la côte à Saint Guénolé, une fumée odorante s'échappe de la cheminée d'une conserverie. Pêche à pieds sur les rochers. Des anciennes femmes bigoudennes en coiffe et chausson, travaillent au ramandage des immenses filets bleus. Fête bretonne avec un défilé des bagad et cercles celtiques bretons, des chars décorés ont été conçus pour l'événement. L'un de ceux-ci représente de très jeunes filles travaillant dans une conserverie. A l'arrière plan, une énorme boite de sardine indique "Made in France". Il s'agit de la fête des filets bleus à Concarneau (Que l'on retrouve sur le 1417FS0002, en N/B). Gros plan sur un petit crabe. Vues de la côte de la baie d'Audierne. C'est jour de pardon en la chapelle de Notre Dame de la joie. Le calvaire et la chapelle de Tronoën. Le port du Guilvinec, retour des pêcheurs. Travaux de réparation des filets sur le bateau.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Famille paysanne devant un porche
Sujet représenté : portrait collectif (jeune fille ; homme ; vieille ; fillette ; chapeau ; panier ; mur ; porte ; jeune homme ; tablier ; nourrisson ; blouse ; sabot ; garçon ; fille ; femme ; famille) - N° d'inventaire : DOC 992.13.35 ; R992.13.35

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Guillemette et sa nourrice
Sujet représenté : portrait collectif (cour ; tablier ; nourrice ; dentelle ; corsage ; jupe ; fillette ; mur) - N° d'inventaire : DOC 992.13.371 ; R992.13.371

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Mont da labourat en Amerik [Aller travailler aux E
Ganet e 1901 e Kastell-Nevez-Ar-Faou, Marie-Josèphe Citarel a ziviz e 1927 ober evel pemp eus he breudeur : kuitaat ar vro ha mont da labourat en Amerik asambles gant he gwaz. [En 1927, Marie-Josèphe Citarel, née en 1901 à Châteauneuf-du-Faou, décide de suivre l'exemple de cinq de ses frères : quitter le pays et partir avec son mari travailler aux Etats-Unis.]

Par : INA

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Joséphine Pencalet, une pionnière
Portrait de Joséphine Pencalet, ouvrière de conserverie à Douarnenez et première femme élue en Bretagne, comme en France, au suffrage masculin dit « universel ».

Par : Bretagne et diversité

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Cigarières sont des commères... ou la Manu (Les)
Film réalisé avec le Musée des Jacobins à Morlaix. "La Manu" est pour la ville de Morlaix un phénomène économique et social. L'histoire de cette Manufacture des Tabacs nous est racontée par des ouvrières et illustrée par des photos d'archives et des cartes postales anciennes. Elles nous font partager cette vie d'usine et comprendre l'évolution des conditions de travail. Le film est précédé de "Sauvons l'Odet" (fiche n°20185).

Par : Cinémathèque de Bretagne

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St-Malo - Ah! les jolies Laitières

Par : Dastum

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Femmes agricultrices
Elles sont femmes, épouses, mères et travailleuses dans les fermes. Quelle est la place pour ces agricultrices face au quotidien familial et à une société patriarcale où se mêlent le rapport au mari, la répartition des tâches, la responsabilité de la famille et la légitimité d'une profession ?

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Anne-Marie Crolais, présidente du CDJA
Anne-Marie Crolais, agricultrice de 24 ans, est présidente du syndicat des jeunes agriculteurs, le CDJA. Elle témoigne de son rôle d'agricultrice, de syndicaliste agricole et de femme. Elle aspire à conjuguer ses différentes fonctions.

Par : INA

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Paysanne de Comfort

Par : Dastum

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Lavandières. - Cesson-St-Brieuc
Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Marchandes de cordes au marche de Baud (Morbihan)

Par : Dastum

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Morlaix : La grande rue, boutique de marchande de

Par : Dastum

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Les chevalières de la table ronde
50 ans de luttes pour les droits des femmes racontées par celles qui se sont battues. Aujourd’hui, elles ont entre 60 et 85 ans, l’âge de partir disent-les plus anciennes, et avant de partir elles ont à dire… beaucoup : leur vie de femmes, de mères, d’épouses, de féministes, de militantes. Les souvenirs font pétiller les pupilles, les opinions sont toujours bien trempées, pas de concession à vingt ou quatre-vingt ans : mon corps m’appartient !

Par : Bretagne et diversité

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Madalen an Amour
Décembre 1998 - Madalen an Amour vient de sortir un nouveau livre en breton intitulé "Bugale Kerugan" (les enfants de Kerugan) qui raconte des souvenirs d'enfance dans la campagne trégorroise. Madalen n'a pas toujours été écrivaine, loin de là. Elle a exercé de nombreux métiers dont institutrice à ses débuts et employée à LTT pendant 20 ans. Madalen, a accepté de recevoir chez elle des élèves de classe bilingue, Gwladys, Klervi et Nolwenn, qui avaient préparé un lot de questions à lui poser. Et avec une grande gentillesse, elle a répondu à toutes ces questions, tout cela en breton, bien sûr (sous-titré, bien entendu) ...

Par : TV Trégor

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Outil de pêche : have à chevlin
La have à chevlin mesure 377 cm de longueur hors tout et 240 cm d'ouverture. Elle est confectionnée dans un textile très fin, comme de la tulle de rideau. Elle est tendue et étirée par deux quenouilles en bois (155 cm de long). Elle se présente comme un cul de chalut, avec un gousson cylindrique de 122 cm de profondeur, qui s'élargit au centre de la have (45 cm de large), dont les ailes s'ouvrent sur une largeur d'environ 180 cm (gueule de la have). Une ralingue garnie de plomb permet de maintenir la have au sol, pour "songner" dans les gués.Dans son rapport d'inspection des pêches à Saint-Jacut en 1726, l'inspecteur Le Masson du Parc, évoque le "droit exigé pour permettre la pêche au chevron", en parlant des "Jaguennes" : Elles font cette petite pêche dans la rivière du Guildo. Pour la leur permettre, le fermier du seigneur du Guildo exige des pêcheurs 3 à 4 livres par bateau, pour la saison de la pêche, ce qui ne se pratique que depuis 25 à 30 ans au plus, ainsi que les pêcheurs et les notables nous l'ont certifié publiquement. Dans son rapport, Le Masson du Parc décrit la have à chevlin semblable à celle utilisée par les chevrinouères, jusqu'en 1950. Ce qui tendrait à prouver que cet outil de pêche date de plus de 300 ans.Selon le témoignage des Jaguens, les chevrinouères étaient très indépendantes et travaillaient en équipe de deux femmes, par affinité, en baie d'Arguenon et de Lancieux. Elles étaient souvent liés à un seul marin pêcheur à qui elles fournissaient la boëtte nécessaire broyée dans une auge en pierre (chevlin, mnuse, coques crues, appelées rigadaux ou guergoselles, pieds de couteaux, appelés mançots, ou petits crabes verts, appelés catacots). Les femmes tendaient la "quenouille", c'est à dire les deux bois, qu'elles piquaient dans la vase, en attendant que le courant descende, pour seugner ou songner, pour recueillir dans le filet le menu chevlin (frai de crevette grise) ou d'autres petits poissons dans leur applet. Les "coquères" descendaient travailler sur les "banches du baie", le panier au bras et la "pouche" aux coques roulée sur les reins avec une écharpe, un cotillon ou deux sur les fesses, un large paletot de grosse toile sur le dos et le ciré sans capuchon. Pieds nus ou équipées de vieilles galoches usées, des "claques", de mauvaises sandales, elles devaient remplir leurs mannequins de coques (30 kg par mannequin), en "pilotant", c'est à dire en martelant le sol, pour faire remonter les coques et les ramasser ensuite à la main. Il fallait ensuite dégrèver, franchir le gué à marée montante pour revenir à la cale de la Banche. En 1914, elles étaient une trentaine de tous âges à pratiquer ce métier. Parfois, les hommes pouvaient pratiquer ce métier comme le 'père Hyacinthe', à la fin du 19ème siècle. La have à chevlin étudiée a été reconstituée par Michel Duédal (ancien syndic des gens de mer) vers 1970. Cette pêche a disparu dans les années 1950 en raison du changement de technique pour pêcher le maquereau à la ligne traînante.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Réparation du filet de pêche

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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12/3/24, Bois de Boulogne [nourrices bretonnes prè

Par : Gallica

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Plaque commémorative de la pêcheuse jaguine
Plaque en bronze avec décor en relief représentant une pêcheuse de coques avec son râteau, signée de Poiron, avec l'inscription suivante : Elles aussi ont fait l'histoire de Saint-Jacut. Cette plaque est apposée sur un mur en granite. L'oeuvre commémorative est située devant la plage de la Banche, au dessus de la cale de Béchet.Cette plaque commémorative, réalisée en décembre 2003, par Poiron (atelier BBC), rappelle l'économie vivrière de la pêche à pied, en particulier le travail des femmes à la grève, coquères (pêcheuses de coques), chevrinouères (pêcheuse de chevlin ou chevrin), mancouétères (pêcheuses de mançots ou pieds de couteaux), sans oublier celles qui pêchent des panerées de menuse, de buée et de lançonnets, pour l'affare. Leurs patronymes et leurs surnoms sont conservés dans la mémoire locale grâce au témoignage oral de ceux qui les ont connues : la "Vieille Margot", Marie-Rose Goasdoué, pêcheuse de coques, "La Grande Blochette", Joséphine Touze chevrinouère et Françoise Pilard (née en 1920), dernière pêcheuse à pied de Saint-Jacut.Les pêcheuses de coques fréquentaient en particulier les "banches du baie" entre Saint-Jacut et Le Guildo, qu'elles descendaient au "Tourillon", en groupes ou par affinités. Elles devaient traverser l'Arguenon (appelée 'la rivière') parfois en crue dans les gués. La pêche se vendait au mannequin, contenant une trentaine de kg, qu'elles devaient porter sur le dos (parfois deux sacs) et ramener jusqu'à la cale de la Banche, après 4 heures de pêche. Les Jaguines pêchent de jour comme de nuit, songnant le chevlin pour alimenter en affare les bâts (bateaux) qui "faisaient" le maquereau. Le "journal parlé des Banches du Bay" était alimenté par les conversations des chevrinouères et des coquères.En 1914, selon le témoignage de Jean-Baptiste Lemoine, elles étaient encore une trentaine de tous âges à pratiquer cet impitoyable métier, même des femmes enceintes jusqu'à sous les bras.Les mareyeuses, nombreuses à Saint-Jacut, faisaient le commerce des coquillages et des poissons, comme Jacques et Rose Carré, qui utilisaient un âne pour transporter leur 'poissonnerie'.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Une marchande de "souvenirs" en coquillages à Canc
Numérisation : Archimaine - 2021

Par : Les tablettes rennaises

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Brodeuse à Douarnenez
Numérisation : Archimaine - 2021

Par : Les tablettes rennaises

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