Femmes au travail en Bretagne

vignette
picto
Dentellières au travail
Dentellières au travail devant leur étalage, place Saint Guillaume

Par : Archives municipales de Sa

vignette
picto
Religieuse posant devant une maison
Sujet représenté : portrait (escalier ; soupirail ; bâtiment ; chapelet ; croix ; voile ; tunique ; religieuse ; cour) - N° d'inventaire : DOC 992.13.155 ; R992.13.155

Par : Musée d'Art et d'Histoire

vignette
picto
Yvette Roudy et la campagne "Egalité des sexes"
A l'Université de Rennes s'est tenue une conférence sur la loi d'égalité professionnelle. A cette occasion Yvette Roudy a annoncé la création d'une unité de recherche sur le féminisme. Elle a également mis l'accent sur sa campagne d'égalité homme-femme.

Par : INA

vignette
picto
femme en costume bourgeois assise à une table ; li

Par : Musée de Préhistoire de Ca

vignette
picto
Sainte Anne d'Auray : La petite marchande d'objets

Par : Dastum

vignette
picto
costume (Le)
Le costume sous titre : les gens de saint démet 1966 - Durée : 20 mn - Couleur - Sonore - Format d'origine : film 16 mm - Réalisateur : Robert et Monique GESSAIN pour le Musée de l'homme. Distribution : Musée de Bretagne Enquête multidisciplinaire à Plozévet effectué par le centre de recherche anthropologique du Musée de l'Homme entre 1961 et 1965. Cela nous permet de découvrir les activités quotidienne des gens du village. La confection de gants de crochet et de sabots de paille en pays Bigouden. Le filage de la laine au rouet et à la quenouille. Les tailleurs de la Trinité. Les brodeurs de Saint-Demet. La pose de la coiffe bigoudène. ca 06/01/2010

Par : Cinémathèque de Bretagne

vignette
picto
Conserverie
Conserverie Cassegrain de Concarneau, 1956. Visite de personnalités et hommes d'affaires à l'occasion du centenaire de l’installation l'usine. Une femme dispose une grille remplie de sardines queue en l'air à l'entrée du tapis roulant, pont de lavage, femmes au travail (en coiffes), Des hommes en costume font la visite tandis que les femmes travaillent, assises devant des tables. Elles sortent des sardines de paniers en osier disposés devant elles et les mettent sur un tapis roulant, gros plan, geste délicat, engrillage délicat. Visage d'une femme étonnée tenant une grille remplie de sardines et fixant la caméra. Entrée des sardines pour le lavage au-dessous du « pont ». Vue de l’usine : hommes en tenue chic des années soixante dont un officier de l’Armée de Terre (colonel ?) discutent entre eux tandis que les femmes travaillent. Une femme dispose les grilles à sardines à l’entrée de la nettoyeuse. Sardines sortent de la nettoyeuse.

Par : Cinémathèque de Bretagne

vignette
picto
. 570, Femme de Plougastel-Daoulas : [carte postal
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

vignette
picto
Guillemette et sa nourrice
Sujet représenté : portrait collectif (cour ; tablier ; nourrice ; dentelle ; corsage ; jupe ; fillette ; mur) - N° d'inventaire : DOC 992.13.371 ; R992.13.371

Par : Musée d'Art et d'Histoire

vignette
picto
Joséphine Pencalet, une pionnière
Portrait de Joséphine Pencalet, ouvrière de conserverie à Douarnenez et première femme élue en Bretagne, comme en France, au suffrage masculin dit « universel ».

Par : Bretagne et diversité

vignette
picto
. 6055, Bébé et nourrice : [carte postale]
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

vignette
picto
Au maille
Hommes et femmes, qui ont trimé dans les ateliers de l'Arsenal, à Brest aux Capucins, racontent leur quotidien : apprentissage, machines, amitiés, grèves, travail, fierté...

Par : Bretagne et diversité

vignette
picto
Les filles de la sardine
Elles sont encore 300 environ à travailler dans la dernière et la plus ancienne conserverie de Douarnenez. Embauchées depuis quelques mois ou à poste depuis des années, à l'usine et " hors les murs ", " les Filles de la sardine " nous racontent leur quotidien, leurs premiers jours, les conditions de travail, les copines, la solidarité, les revendications, leurs rêves.

Par : Bretagne et diversité

vignette
picto
Madalen an Amour
Décembre 1998 - Madalen an Amour vient de sortir un nouveau livre en breton intitulé "Bugale Kerugan" (les enfants de Kerugan) qui raconte des souvenirs d'enfance dans la campagne trégorroise. Madalen n'a pas toujours été écrivaine, loin de là. Elle a exercé de nombreux métiers dont institutrice à ses débuts et employée à LTT pendant 20 ans. Madalen, a accepté de recevoir chez elle des élèves de classe bilingue, Gwladys, Klervi et Nolwenn, qui avaient préparé un lot de questions à lui poser. Et avec une grande gentillesse, elle a répondu à toutes ces questions, tout cela en breton, bien sûr (sous-titré, bien entendu) ...

Par : TV Trégor

vignette
picto
Outil de pêche : have à chevlin
La have à chevlin mesure 377 cm de longueur hors tout et 240 cm d'ouverture. Elle est confectionnée dans un textile très fin, comme de la tulle de rideau. Elle est tendue et étirée par deux quenouilles en bois (155 cm de long). Elle se présente comme un cul de chalut, avec un gousson cylindrique de 122 cm de profondeur, qui s'élargit au centre de la have (45 cm de large), dont les ailes s'ouvrent sur une largeur d'environ 180 cm (gueule de la have). Une ralingue garnie de plomb permet de maintenir la have au sol, pour "songner" dans les gués.Dans son rapport d'inspection des pêches à Saint-Jacut en 1726, l'inspecteur Le Masson du Parc, évoque le "droit exigé pour permettre la pêche au chevron", en parlant des "Jaguennes" : Elles font cette petite pêche dans la rivière du Guildo. Pour la leur permettre, le fermier du seigneur du Guildo exige des pêcheurs 3 à 4 livres par bateau, pour la saison de la pêche, ce qui ne se pratique que depuis 25 à 30 ans au plus, ainsi que les pêcheurs et les notables nous l'ont certifié publiquement. Dans son rapport, Le Masson du Parc décrit la have à chevlin semblable à celle utilisée par les chevrinouères, jusqu'en 1950. Ce qui tendrait à prouver que cet outil de pêche date de plus de 300 ans.Selon le témoignage des Jaguens, les chevrinouères étaient très indépendantes et travaillaient en équipe de deux femmes, par affinité, en baie d'Arguenon et de Lancieux. Elles étaient souvent liés à un seul marin pêcheur à qui elles fournissaient la boëtte nécessaire broyée dans une auge en pierre (chevlin, mnuse, coques crues, appelées rigadaux ou guergoselles, pieds de couteaux, appelés mançots, ou petits crabes verts, appelés catacots). Les femmes tendaient la "quenouille", c'est à dire les deux bois, qu'elles piquaient dans la vase, en attendant que le courant descende, pour seugner ou songner, pour recueillir dans le filet le menu chevlin (frai de crevette grise) ou d'autres petits poissons dans leur applet. Les "coquères" descendaient travailler sur les "banches du baie", le panier au bras et la "pouche" aux coques roulée sur les reins avec une écharpe, un cotillon ou deux sur les fesses, un large paletot de grosse toile sur le dos et le ciré sans capuchon. Pieds nus ou équipées de vieilles galoches usées, des "claques", de mauvaises sandales, elles devaient remplir leurs mannequins de coques (30 kg par mannequin), en "pilotant", c'est à dire en martelant le sol, pour faire remonter les coques et les ramasser ensuite à la main. Il fallait ensuite dégrèver, franchir le gué à marée montante pour revenir à la cale de la Banche. En 1914, elles étaient une trentaine de tous âges à pratiquer ce métier. Parfois, les hommes pouvaient pratiquer ce métier comme le 'père Hyacinthe', à la fin du 19ème siècle. La have à chevlin étudiée a été reconstituée par Michel Duédal (ancien syndic des gens de mer) vers 1970. Cette pêche a disparu dans les années 1950 en raison du changement de technique pour pêcher le maquereau à la ligne traînante.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Réparation du filet de pêche

Par : Diocèse de Quimper et Léon

vignette
picto
Al lapin a c'haloup bepred - Le lapin court toujou
Trois ans après Mon lapin bleu, Yvonne, tenancière d'un bistrot de campagne, a cessé son activité à 80 ans et vit toujours sur place. Yvonne a beaucoup de visites, comme aujourd'hui celle de Yann, le romancier bigouden. C'est en breton, qu'ils conversent. Et c'est seulement en breton, sa langue maternelle, qu'Yvonne peut aujourd'hui se confier...

Par : Bretagne et diversité

vignette
picto
12/3/24, Bois de Boulogne [nourrices bretonnes prè

Par : Gallica

vignette
picto
Plaque commémorative de la pêcheuse jaguine
Plaque en bronze avec décor en relief représentant une pêcheuse de coques avec son râteau, signée de Poiron, avec l'inscription suivante : Elles aussi ont fait l'histoire de Saint-Jacut. Cette plaque est apposée sur un mur en granite. L'oeuvre commémorative est située devant la plage de la Banche, au dessus de la cale de Béchet.Cette plaque commémorative, réalisée en décembre 2003, par Poiron (atelier BBC), rappelle l'économie vivrière de la pêche à pied, en particulier le travail des femmes à la grève, coquères (pêcheuses de coques), chevrinouères (pêcheuse de chevlin ou chevrin), mancouétères (pêcheuses de mançots ou pieds de couteaux), sans oublier celles qui pêchent des panerées de menuse, de buée et de lançonnets, pour l'affare. Leurs patronymes et leurs surnoms sont conservés dans la mémoire locale grâce au témoignage oral de ceux qui les ont connues : la "Vieille Margot", Marie-Rose Goasdoué, pêcheuse de coques, "La Grande Blochette", Joséphine Touze chevrinouère et Françoise Pilard (née en 1920), dernière pêcheuse à pied de Saint-Jacut.Les pêcheuses de coques fréquentaient en particulier les "banches du baie" entre Saint-Jacut et Le Guildo, qu'elles descendaient au "Tourillon", en groupes ou par affinités. Elles devaient traverser l'Arguenon (appelée 'la rivière') parfois en crue dans les gués. La pêche se vendait au mannequin, contenant une trentaine de kg, qu'elles devaient porter sur le dos (parfois deux sacs) et ramener jusqu'à la cale de la Banche, après 4 heures de pêche. Les Jaguines pêchent de jour comme de nuit, songnant le chevlin pour alimenter en affare les bâts (bateaux) qui "faisaient" le maquereau. Le "journal parlé des Banches du Bay" était alimenté par les conversations des chevrinouères et des coquères.En 1914, selon le témoignage de Jean-Baptiste Lemoine, elles étaient encore une trentaine de tous âges à pratiquer cet impitoyable métier, même des femmes enceintes jusqu'à sous les bras.Les mareyeuses, nombreuses à Saint-Jacut, faisaient le commerce des coquillages et des poissons, comme Jacques et Rose Carré, qui utilisaient un âne pour transporter leur 'poissonnerie'.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Anne et Marguerite
Anne et Marguerite, deux bigoudènes, procèdent au travail de ramendage des filets de pêche et témoignent de leurs gestes ancestraux aujourd’hui disparus.

Par : Cinémathèque de Bretagne

vignette
picto
Une marchande de "souvenirs" en coquillages à Canc
Numérisation : Archimaine - 2021

Par : Les tablettes rennaises

vignette
picto
Tourbière du MONT SAINT-MICHEL - Ouvrières en cost
Brasparts.- Ouvrières en costume de travail sur une tourbière du Mont-Saint-Michel.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

Afficher le widget sur mon site Voir tous les documents
X

Afficher le widget sur mon site

Vous pouvez afficher le ce widget sur votre site en insérant le code suivant :

<iframe src="https://breizhapp.net/widgetbretania/index.php?set=wgt_femmes_travail"></iframe>

Vous pouvez également voir la liste de tous les widgets à l'adresse suivante Liste des widgets