Le patrimoine de Concarneau Cornouaille Agglomération

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Saint-Ivy - Confessionnal
CONFESSIONNAL PH dome

Par : Dastum

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Eglise paroissiale Saint-Budoc
Plan en croix latine à trois vaisseaux. Façade occidentale en pierre de taille surmontée d´un clocher dans-oeuvre à galerie et à chambre de cloches ajourée. Flèche ajourée encadrée à sa base par quatre lanternons et quatre gâbles. Nef obscure à six travées. Choeur peu profond à chevet plat flanqué au sud d´une sacristie de plan carré avec toit en pavillon. Chapelles latérales formant faux-transept ouvertes sur les bas-côtés par une double arcade, au niveau des quatrième et cinquième travées. Arcades en tiers-point pénétrant directement dans les colonnes. Lambris de couvrement peint en vert avec entraits en marron. Sol couvert de dalles de granite.Eglise construite d'après les plans de l'architecte diocésain Joseph Bigot en 1891.
Auteur(s) du descriptif : Fauchille Gwénaël

Par : L'inventaire du patrimoine

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Église paroissiale Sainte-Thumette
Plan en croix latine et à trois vaisseaux ; chevet à pans coupés flanqué de deux sacristies à plan carré au nord et au sud. Clocher dans-oeuvre, chambre des cloches percée de huit baies en claire-voie, flèche non construite. Gros oeuvre en moellon de granite enduit partiellement de ciment. Pierre de taille de granite pour les encadrements des portes et des baies et les chaînages d´angle. Nef à cinq travées, voûte en brique peinte en blanc à croisées d´ogive éclairée par des fenêtres hautes ; voussures reposant sur colonnettes engagées. Arcades en arc brisé reposant sur des chapiteaux corinthiens portés par des colonnes. Sol couvert de ciment.Edifice construit en 1900 d'après les plans de l´architecte Armand Gassis par l´entreprise Canivet de Coray.
Auteur(s) du descriptif : Fauchille Gwénaël

Par : L'inventaire du patrimoine

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Bateau de compétition, voilier, dit "Sereine" (Arc
Cotre bermudien de 12,50 m hors tout (9,40m à la flottaison) pour un maître bau de 3, 40m.Construction en bois à franc bord. La quille, l'étrave, l'étambot, l'allonge de voute, le tableau arrière, les membrures et le barrotage (50 mm) sont en chêne, les bordés de 33 mm sont en acajou et rivets en cuivre. Les bordés de pont sont en avodiré de 40 mm. Le voilier est de 12 tonnes dont la quille est de 3 tonnes de fonte et 2 tonnes de gueuses à l'origine.Le gréement du cotre bermudien ou marconi est composé de : Grand-voile triangulaire qui se hisse le long d’un mât dit marconi, d'une trinquette sur le bas-étai, de focs (Yankee et « Nao ») sur l’étai. Le Jeu de voile d’origine comprenait : grand-voile (34,60 m²), voile « suédoise » (28 m²), génois (50,70 m²), plusieurs yankee 1 (24,50 m²) yankee 2 (15,20 m²), foc Nao (15,40 m²), trinquette de route (15,10m²), trinquette génoise (25,20 m²), tourmentin (8m²), spinnaker (120 m²). Le mât en spruce de 14 m 50, avec deux hauteurs de barres de flèche, a été fabriqué par une menuiserie de Castelnaudary. Le renvoi des manœuvres se fait au pied de mât. Il existe deux bastaques et tangons de spi avec cloches de fixation sur le mât. A été motorisé.1947/1948- Philippe Viannay, à l’origine de la création du Centre Nautique des Glénans, découvre dans le magazine Le Yacht des plans d’un voilier correspondant à son projet de navigation circumterrestre.L’architecte contacté, Henri Dervin, lui conseille d’autres plans, qu’il a dessinés en 1944 et lui propose de découvrir un exemplaire du bateau, en construction à Meulan.En 1948, conquis, Philippe Viannay décide de lancer la construction du voilier en Bretagne, à Pont-Aven. Cependant, par manque de moyens financiers, la construction de Sereine est ajournée. Le bateau est alors racheté par des quirataires, anciens stagiaires de l’association devenus moniteurs : la construction de Sereine est reprise en 1950. En 1951 le voilier est lancé à Pont Aven. En 1952 les premières croisières ont lieu avec Henri Desjoyeaux comme 1er chef de bord. En 1954 : Croisière Brixham-Belle-île, 1955-Croisières : Espagne - Plymouth/La Rochelle – La Rochelle/Bénodet. De 1955 à 1958 – Rachat des parts de propriété par le Centre Nautique des Glénans.Les courses en haute mer (1956-1977) :1956 – Participation à la course des Grands voiliers Torbay-Lisbonne, organisée par la Sail training association : 3ème place 1958 : Course des Grands voiliers, Brest-Les Canaries, sous le commandement de Philippe Harlé puis de Jean-Louis Goldshmid au retour : 2ème place1960 : Course des grands voiliers, Oslo-Ostende : 3ème place 1962 : Course des grands voiliers, Torbay-Rotterdam : 2ème place 1964 : Intégration de la flotte du CICG (Groupe International de Croisière des Glénans) 1965 : Participation course du Fastnet1966 : Course des Grands voiliers Falmouth-Skagen : 1ère place1968 : Course des Grands voiliers : remonte la Tamise jusqu’à Londres 1977 : Arrêt des navigations au sein du CICG 2006 : 50ème anniversaire de la Course des grands voiliers, St Malo-Torquay-Lisbonne : prix du voilier vétéran, 10ème dans sa catégorieFormation des moniteurs :1964 – Affirmation d’un rôle central dans la formation des chefs de bord et des chefs de centre. 1977 à 1998 – Suite à l’arrêt des courses en haute mer : réaffirmation du rôle de formation des chefs de bord et moniteurs entre La Rochelle et le sud de l’Angleterre1998 à 2005 – Arrêt des navigations 2005 – Formation juniors et adultes sur stages niveaux 3 et 4 voiles, 1998 : Arrêt des navigations1999 : L’école de voile des Glénans fait un appel aux dons pour la réfection de Sereine et entreprend une démarche de classement au titre des Monuments Historiques. Une souscription est lancée.2001 : La Sereine est classée au titre des Monuments Historiques sous condition de continuer à assurer la formation des moniteurs. Elle fait alors partie des 114 bateaux classés Monuments Historiques en France.La fiche d’inventaire décrit un mauvais état : membrures cassées ; parties du pont et du bordé à remplacer ; pourriture du rouf, des barrots et des aménagements intérieurs.2003 : Un groupe de pilotage assure le suivi de la rénovation. Le financement du projet est assuré par une collecte de dons des adhérents et l’attribution de subventions du Ministère de la Culture, de la DRAC de Bretagne, du Conseil régional de Bretagne, du Conseil Général du Finistère et de la Mairie de Concarneau.2004 : Début de la restauration par le chantier du Guip, à Brest. Relance de la formation des chefs de bord capables de diriger le bateau. Appel aux mécènes : le Crédit Coopératif et Volvo Penta s’engagent.2005 : Mise à l’eau de la Sereine restaurée, qui rejoint Concarneau, son port d’attache. Reprise des stages de formation.Les rassemblements de voiliers anciens :1986 et 1988 – Course des vieilles coques à Concarneau : 1ère place1999 – Concours « Une semaine sans moteur », association des vieux gréements Granvillais : 1ère place1996 – Brest 96 et Course des Vieilles coques à Concarneau2004 – Brest 2004 : ouverture du chantier de restauration au public 2005 – Coupe des 2 phares2006 - Course des Grands voiliers (50ème anniversaire)L'architecte de Sereine, Henri Dervin, a construit d'autres bateaux mythiques comme "Les 4 vents" de Marcel Bardiaux et "Kurun" de J.-Y. Le Toumelin classé en 1993.
Auteur(s) du descriptif : Le Moigne Clémentine ; L'Haridon Erwana

Par : L'inventaire du patrimoine

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Kreiz kêr Port-Louis en Oriant a zo laeret ur plac

Par : Dastum

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Moulins à papier, Kergoat (Melguen)
Les vestiges des moulins à papier se situent sur la rive droite de l'Aven. Le moulin à papier d'en haut est visible depuis la rive gauche. Les vestiges de ces deux moulins sont très difficiles d'accès.Les deux moulins à papier de Kergoat sont situés sur la rive droite de l’Aven, à proximité du manoir de Kergoat et du bourg de la Trinité. Le manoir actuel, bâti en 1871, a remplacé le château qui avait été élevé sur une motte féodale à une centaine de mètres de celui-ci. Il domine les moulins à papiers. Le moulin à papier d’en haut et celui d’en bas sont séparés par un moulin à farine. Le premier maître-papetier que les archives paroissiales permettent d’identifier est Guillaume Bagot qui dirige l’un des moulins de 1647 à 1687. En 1776, chaque moulin a une roue, une cuve, 5 piles à maillets et fabrique environ 800 rames par an de papier à imprimer ou à écrire. Ceux-ci sont expédiés à Nantes pour être exportés au Portugal ou en Hollande. En 1811, ces deux papeteries qui travaillent toute l'année, emploient 20 ouvriers qui produisent du papier pour une valeur de 20 000 fr. En 1829, chacune des fabriques utilise 5 tonnes de chiffons pour produire annuellement 3 000 rames de papier. Y travaillent alors 24 ouvriers. L'activité papetière au Moulin d'en Haut se serait arrêtée entre 1838 et 1842, et, au Moulin d'en Bas, entre 1841 et 1846.Au regard du nombre et de l’importance des familles papetières qui y ont œuvré dès le XVIIème siècle, les moulins à papier de Kergoat ont une place primordiale dans l’histoire papetière de la Cornouaille.
Auteur(s) du descriptif : Leroy-Déniel Caroline

Par : L'inventaire du patrimoine

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War-lerc'h ar gorventenn e Melven ha Kernevel [Apr
Marvet eo un den hag ur bern traoù a zo bet distrujet e Mêlwenn hag e Kernevel gant ar gorventenn spontus a zo bet. Fromet-tre eo an dud eno. [Les dégâts sont très nombreux après les tempêtes qui ont sévi à Melgven et à Kernevel, et un mort est à déplorer. Il va falloir beaucoup de temps et d'argent pour réparer tous les dégâts.]

Par : INA

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Elliant - Futurs époux
Garçonnet et fillette en costume

Par : Dastum

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Boued fardet evit an dud kozh [Livraison de repas
E Eliant e vez servijet boued fardet d'an dud kozh a sav ar goulenn. Un digarez mat eo evito evit kenderc'hel da zebriñ a bep seurt traoù. [A Elliant, les personnes âgées se font livrer plusieurs repas par semaine, en liaison froide. Une bonne manière pour eux de continuer à manger varié, chez soi, quitte à payer un peu plus cher.]

Par : INA

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Pont-Aven (sans précision) - Maison
MAISON? Chassis en angle (2u) appui en sailli

Par : Dastum

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Pont Aven (Finistere) : Concours de danse organise
Précision sur les personnes représentées : Botrel, Théodore (barde)

Par : Dastum

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Canot de sauvetage, Commandant Garreau (Archipel d
Canot pointu aux extrémités, un peu plus fin de l’arrière que de l’avant. Les extrémités sont fortement relevées et protégées par des tambours en dos d’âne, qui forment deux caisses à air.Le canot de sauvetage est insubmersible, se redresse spontanément et se vidange automatiquement.Redressement spontané après chavirage : 5 secondesEvacuation de l’eau après redressement : 23 secondesAvec 880 kg à 0m85 de l’axe : inclinaison de 20°L’équipage est de 12 hommes.Le gréement : les 2 mâts, de misaine à l’avant et le grand mât à l’arrière, sont positionnés pour ne pas gêner les manœuvres des canotiers et de la barre. L’inconvénient est un centre de voilure très avancé, rendant le bateau mou à la barre. La dimension des mâts : mât de misaine : 4m69, grand mât : 4m56. Le gréement de type « flambart », courant en Manche : 2 voiles au tiers et un foc. La grand-voile, ou « taillevent », est située à l’arrière, d’une surface plus faible que la misaine, à l’avant.Surface de voilure de 15 m² 42, foc : 2m² 07, 2 voiles au tiers : Misaine de 7m²52, Grand voile de 5m²83.10 avirons de nage (5 couples) : verts à tribord et blancs à bâbord d'une longueur de 3m80.La coque est en bois à double bordé croisé en teck (et non plus en acajou comme dans les canots précédents).Les deux couches de bois sont superposées et croisées à 45°, séparées par une toile imprégnée de glu marine ou de peinture. Les coutures ne sont pas calfatées mais garnies de coton retenu par un masticage et la peinture.La coque est maintenue sur la quille par une carlingue. Le tout est traversé par des boulons à écrous.Il n’y a pas de membrures intérieures au-dessus des varangues.La coque est peinte en vert au-dessus de la ligne de flottaison et en blanc en-dessous.Dans les années 1950, l'école de voile des Glénans acquiert quatre anciens canots de sauvetage, propulsés à la voile et à l’aviron, la Société Centrale de Sauvetage des naufragés les remplaçant par des vedettes à moteur.Au centre nautique, ces canots de sauvetages destinés à l’apprentissage de la navigation sont appelés « Choses ». Ils sont également désignés comme des «baleinières», du fait de leur nouveau gréement.Dates d’arrivée des Choses aux Glénans : 1951 - Le Petit Chose (Ex Eline et Sophie) de la station du Cap Lévi (N° 43) - 1956 - Le Flying Chose ( Ex Benoît Champy) de la station de Cayeux (N° série 79) - 1958 - Le Grand Chose (Ex Commandant Garreau) de la station de Grandcamp (N° série 61) - 1958 - Le Marie Chose (Ex Gabiou Charron) N° 1 de la station La Cotinière, île d’Oléron. A la même période, l’école de voile acquiert un autre ancien canot de sauvetage de la station de Lesconil lancé en 1911, l’Amiral de Maigret. Issu d’une série de canots postérieure construite par les chantiers Augustin Normand, il est plus court (9m80) et plus large (2m60) que les Choses. Gréé en goélette et motorisé (25 CV), et rebaptisé la Diligence, il sert de bateau de liaison entre Concarneau et les îles, jusqu’en 1960.Les Choses des Glénans appartiennent à la série des canots de 10m10 dessinés par Jacques-Augustin Normand (1839-1906) et construits au chantier Augustin Normand, situé au Havre, entre 1878 et 1907. Cette série est inspirée des canots précédents (aspect général avec dômes avant et arrière ; qualités d’insubmersibilité, de redressement spontané, de vidange automatique de l’eau embarquée) mais avec des lignes d’eau améliorées.1887 – Petit Chose (Eline et Sophie, N°série 43), 1894 – Grand-chose (Commandant Garreau, N°série 61) 1901– Flying Chose (Benoît Champy, N° série79) 1902– Marie Chose (Gabiou Charon N°1).
Auteur(s) du descriptif : Brulé-Josso Stéphanie

Par : L'inventaire du patrimoine

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Encensoir et navette à encens
Navette avec cuillère.Encensoir et navette à encens réalisés par l'orfèvre rennais Jean-Baptiste Buchet en 1697.
Auteur(s) du descriptif : Rioult Jean-Jacques

Par : L'inventaire du patrimoine

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Cale de construction ou slipway (Concarneau)
Cale de réparation recevant 3 rails sur lesquels coulisse une passerelle (élévateur) halée par deux treuils électriques. La mise à l'eau, ou à sec, des bateaux se fait parallèle au rivage. Sur le terre-plein, de part et d'autre de la cale (plan incliné), se situent 3 dispositifs de rails permettant de recevoir les bateaux posés sur chariot et patins (ber). Côté est : accueil de 400 tonnes ; côté ouest : accueil de 350 tonnes ; le tirant d'eau maximum possible est de 4.50 mètres.Le système de câbles (moteur et axes) se trouve dans le bâtiment en béton.Le système de treuil pour le "chariotage" est situé sur la passerelle. Plaque émaillée sur un des mécanismes : ANCIENS ÉTABLISSEMENTS/JOSEPH PARIS/CONSTRUCTIONS MECANIQUES/NANTESVestiges d'isolateurs en porcelaine dans deux cellules du bâtiment du poste de commande.Infrastructure construite en 1956 ; le mécanisme de traction et levage a été réalisé par l'entreprise des anciens établissements Joseph Paris de Nantes. Déconstruit à la fin de l'année 2016, il est remplacé par un élévateur à sangles permettant la mise à l'eau ou mise au sec de navires plus grands et de différents types (quillards, voiliers).C'est le mot anglais qui est utilisé, slipway, pour définir une cale avec rail : dispositif permettant la mise à l'eau ou à sec sur chariot.
Auteur(s) du descriptif : L'Haridon Erwana

Par : L'inventaire du patrimoine

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Château de Kériolet (Concarneau)
Première campagne de travaux entre 1866 et 1869 : rénovation de l'ancien manoir et construction de l'aile ouest. Seconde campagne avec la construction de la chapelle et le hall entre 1880 et 1884. Entre les deux, Bigot réalise les dépendances et divers aménagements intérieurs.
Auteur(s) du descriptif : Lauranceau Elise

Par : L'inventaire du patrimoine

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Plan de Concarneau

Par : Gallica

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Concarneau : Au lavoir

Par : Dastum

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Concarneau : Le passage de Lauriec, le depart du b

Par : Dastum

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Concarneau : Femmes quittant le travail au lavoir

Par : Dastum

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Le laboratoire océanographique de Concarneau
En 1856, MM. Coste et Guillou fondent à Concarneau le laboratoire de biologie marine. Ce laboratoire est le plus ancien d'Europe. Il accueille des chercheurs en océanographie, en biologie des pêches, en biochimie et en biologie cellulaire.

Par : INA

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Le port sans bâteaux à Concarneau

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Beg Meil ; le Saint-Hervé ; Concarneau “dans le fo

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Corisandre dans le port

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Concarneau ; départ impossible, pagaille complète

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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