Le patrimoine de Concarneau Cornouaille Agglomération

vignette
picto
Église paroissiale Saint-Joseph
Plan en croix latine à trois vaisseaux. Chevet à pans coupés. Sacristie au nord au niveau de la cinquième travée. Porche sud hors-oeuvre dans l´alignement de la troisième travée. Porte occidentale en arc brisé inscrite dans un avant-corps coiffée d'un clocher à chambre de cloches ajourée, amortie d´une flèche hexagonale à crochets. Gros oeuvre en moellon enduit à l´exception de l´élévation occidentale et des encadrements des baies et des chaînages d´angle, en pierre de taille. Deux chapelles latérales, l´une au nord, l´autre au sud, au niveau de la septième travée, formant un faux-transept. Nef à sept travées couverte d'un lambris peint en bleu avec entraits à engoulants. Arcades en arc brisé pénétrant directement dans les piliers carrés chanfreinés. Sol couvert de dalles de granite.Eglise construite d'après les plans de l´architecte diocésain Joseph Bigot entre 1874 et 1875, par Louis Bergé entrepreneur de Pont-Aven et par Jean-Louis Le Naour pour le clocher. L´étroitesse du terrain acquis par la commune pour la construction de cet édifice a guidé le plan et notamment la réalisation d´un faux-transept.
Auteur(s) du descriptif : Fauchille Gwénaël

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Robe blanche et cravate rouge
Extrait du film de Victoria Llanso et Jean Barral. La communion solennelle de Noella Gouriou est l'occasion de partager la vie quotidienne d'une famille ouvrière du Sud-Finistère, entre les communes de Trégunc et Concarneau.

Par : INA

vignette
picto
Moulins à papier, Kergoat (Melguen)
Les vestiges des moulins à papier se situent sur la rive droite de l'Aven. Le moulin à papier d'en haut est visible depuis la rive gauche. Les vestiges de ces deux moulins sont très difficiles d'accès.Les deux moulins à papier de Kergoat sont situés sur la rive droite de l’Aven, à proximité du manoir de Kergoat et du bourg de la Trinité. Le manoir actuel, bâti en 1871, a remplacé le château qui avait été élevé sur une motte féodale à une centaine de mètres de celui-ci. Il domine les moulins à papiers. Le moulin à papier d’en haut et celui d’en bas sont séparés par un moulin à farine. Le premier maître-papetier que les archives paroissiales permettent d’identifier est Guillaume Bagot qui dirige l’un des moulins de 1647 à 1687. En 1776, chaque moulin a une roue, une cuve, 5 piles à maillets et fabrique environ 800 rames par an de papier à imprimer ou à écrire. Ceux-ci sont expédiés à Nantes pour être exportés au Portugal ou en Hollande. En 1811, ces deux papeteries qui travaillent toute l'année, emploient 20 ouvriers qui produisent du papier pour une valeur de 20 000 fr. En 1829, chacune des fabriques utilise 5 tonnes de chiffons pour produire annuellement 3 000 rames de papier. Y travaillent alors 24 ouvriers. L'activité papetière au Moulin d'en Haut se serait arrêtée entre 1838 et 1842, et, au Moulin d'en Bas, entre 1841 et 1846.Au regard du nombre et de l’importance des familles papetières qui y ont œuvré dès le XVIIème siècle, les moulins à papier de Kergoat ont une place primordiale dans l’histoire papetière de la Cornouaille.
Auteur(s) du descriptif : Leroy-Déniel Caroline

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Pont Aven : Noce sortant de l'eglise, le droit de

Par : Dastum

vignette
picto
Bateau de liaison Archipel (Archipel des Glénan)
Bateau de service de l’école de voile assurant les liaisons entre Concarneau et les îles de l’Archipel des Glénan. Le cahier des charges prévoit qu’il soit insubmersible, qu’il puisse transporter 50 passagers ou 6 tonnes de charge et remorquer 5 ou 6 bateaux.Il est conçu comme léger et rapide, navigant bien dans une mer formée. C'est une construction classique en bordé sur membrures. Il a des échantillonnages supérieurs aux constructions classiques afin de supporter ragages et heurts. L’insubmersibilité est assurée par 3 cloisons étanches divisant la coque en 3 compartiments et 4 m2 de matériaux expansés. Il est toujours en service en 2014. Aujourd’hui il est perçu comme un bateau lourd (13 tonnes sans chargement), avec beaucoup d’inertie en comparaison aux bateaux modernes (l’Archipel parcourt 100 à 150 mètres sur son erre une fois le moteur arrêté). Il est franc, offrant une bonne réponse aux commandes. La coque est peinte en vert, jaune et blanc, du liston à la ligne de flottaison. Les dimensions de l’Archipel furent déterminées par la surface du pont devant accueillir 50 passagers. Le maître bau a été déterminé en fonction de la taille du pont, et reste quasiment identique du tableau au gaillard avant. La taille maximum de l’Archipel fut contrainte par les dimensions de l’atelier. Le moteur détermine la taille de l’hélice qui elle-même détermine le tirant-d’eau. Les formes de la carène ont été dessinées ensuite, plaçant les volumes des cales : formes avant maigres, œuvres mortes évasées afin d’éviter d’avoir un bateau mouillant.L’hélice (60 cm de diamètre environ) et le safran compensé sont avancés au maximum afin de gagner en maniabilité.A l’origine une propulsion mixte était prévue : un moteur diesel pour diminuer les risques d’incendie, robuste, simple, nécessitant un minimum d’entretien (résiste à l’eau de mer), un moteur Baudoin, 2 cylindres, 50CV, démarrage à l’air comprimé. Il s’est avéré être un peu faible et sera changé rapidement.Voilure sur le mât de charge : grand-voile à livarde et foc, permettant de mieux manœuvrer, de marcher mieux au vent de travers et de remédier à une panne de moteur.En 1962-63, le moteur est changé pour un plus puissant : moteur Baudoin, 3 cylindres, 75 CV, 2 tonnes.Depuis 2002-2003 : Moteur Volvo de 150 CV, 6 cylindres, 900 Kg. La puissance ne change pas car l’hélice est la même.Démarrage sans préchauffage, plus simple mais plus fragile : il ne résiste pas une immersion dans l’eau de mer, contrairement au moteur Baudoin.Le bateau Archipel est lancé le 21 juin 1959 à Concarneau où son baptême est célébré. Son parrain est Corentin Le Roy et sa marraine, madame Jean Laurent, femme du constructeur. Philippe HARLE (1931-1991), célèbre architecte naval français dessine l’Archipel en 1958. Philippe Harlé arrive au Centre nautique des Glénans en 1952, comme stagiaire, et devient vite moniteur, fort de son expérience de régatier sur Caneton. Salarié permanent de l’association, il est chargé de l’organisation des croisières, de la mise au point des règles de sécurité, des choix et de l’invention du matériel nautique. En 1955, il est directeur technique de l’école de voile. Il conçoit Archipel et un autre bateau de liaison, Pen a Men. Archipel est le premier bateau construit par l’atelier des Glénans, sous la direction et par Jean-Louis Goldschmid et Jean Laurent, l’un des charpentiers constructeurs de Sereine, devenu permanent de l’association. C'est un bateau de service dit « de liaison », à moteur.Les bateaux de liaison ont une place très importante dès les débuts de l’installation de l’école de voile sur le site de l’archipel des Glénan (Le Rebelle, La Chimère, Le Berceau du marin, La Diligence, La Perle, Archipel, Pen A Men, etc.).
Auteur(s) du descriptif : Brulé-Josso Stéphanie

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Gymnase du Porzou, allée de Coubertin (Concarneau)
Gymnase de type C 40 m x 20 m avec gradins de 300 places, les locaux annexes étant situés sous ceux-ci. Ossature métallique. Remplissage des pignons en parpaings et murs rideaux sur les façades principales.Le 16 septembre 1966, le conseil municipal approuve l'avant-projet de construction d'une salle omnisports au nouveau CES du Porzou, confié au cabinet Le Bail & Penven. Après l'abandon d'un premier projet estimé à 1,4 MF, l'arrêté d'approbation technique est signé le 27 novembre 1967 pour un équipement plus modeste, le permis de construire le 13 mars 1968. Les travaux sont adjugés le 21 septembre. La réception provisoire a lieu le 31 octobre 1969. Le 8 mai 1970, une convention est passée entre la ville et le lycée pour l'utilisation du gymnase.
Auteur(s) du descriptif : Bonnet Philippe

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Salle de l'Hermine, 2 rue des Ecoles (Concarneau)
Le permis de construire d'un local d'éducation physique est signé le 11 mai 1955 à la demande d'Eugène Rochedreux, président de l'association d'éducation populaire "L'Hermine concarnoise". A. Aubert, inspecteur régional de l'équipement sportif, avait toutefois noté, le 20 mars 1953 : "Le projet présenté ne peut être que celui d'une salle de culture physique. Les dimensions ne permettront pas d'y pratiquer certains sports comme le basket ou même le volley. Cette salle rendra cependant service aux jeunes gens parce qu'ils pourront y faire de la culture physique et de la gymnastique." le chanoine Philippe, curé-doyen, bénit l'équipement le 6 novembre 1955. Le certificat de conformité est délivré le 4 novembre 1959.
Auteur(s) du descriptif : Bonnet Philippe

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Cale de construction ou slipway (Concarneau)
Cale de réparation recevant 3 rails sur lesquels coulisse une passerelle (élévateur) halée par deux treuils électriques. La mise à l'eau, ou à sec, des bateaux se fait parallèle au rivage. Sur le terre-plein, de part et d'autre de la cale (plan incliné), se situent 3 dispositifs de rails permettant de recevoir les bateaux posés sur chariot et patins (ber). Côté est : accueil de 400 tonnes ; côté ouest : accueil de 350 tonnes ; le tirant d'eau maximum possible est de 4.50 mètres.Le système de câbles (moteur et axes) se trouve dans le bâtiment en béton.Le système de treuil pour le "chariotage" est situé sur la passerelle. Plaque émaillée sur un des mécanismes : ANCIENS ÉTABLISSEMENTS/JOSEPH PARIS/CONSTRUCTIONS MECANIQUES/NANTESVestiges d'isolateurs en porcelaine dans deux cellules du bâtiment du poste de commande.Infrastructure construite en 1956 ; le mécanisme de traction et levage a été réalisé par l'entreprise des anciens établissements Joseph Paris de Nantes. Déconstruit à la fin de l'année 2016, il est remplacé par un élévateur à sangles permettant la mise à l'eau ou mise au sec de navires plus grands et de différents types (quillards, voiliers).C'est le mot anglais qui est utilisé, slipway, pour définir une cale avec rail : dispositif permettant la mise à l'eau ou à sec sur chariot.
Auteur(s) du descriptif : L'Haridon Erwana

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Plan de Concarneau

Par : Gallica

vignette
picto
Entrée de la ville de Conquerneau
Ancien possesseur : Argenson, Antoine-René de Voyer (1722-1787 ; marquis de Paulmy d'). Ancien possesseur

Par : Gallica

vignette
picto
An arc'hant hag ar c'hevredigezhioù

Par : Dastum

vignette
picto
Concarneau : Artisane

Par : Dastum

vignette
picto
Ouragan dans le Finistère sud
Le 15 octobre 1987, une violente tempête a touché la Bretagne. Les dégâts sont considérables, notamment dans le Finistère Sud, à Concarneau. Des toitures se sont envolées et le port de plaisance est dévasté.

Par : INA

vignette
picto
A Concarneau
La ville de Concarneau, fondée au Moyen Age, est située dans le Finistère Sud. Sa ville close accueille les touristes. Mais la principale activité économique de la ville est son port de pêche.

Par : INA

vignette
picto
Bord de mer avec baigneurs et pêcheurs

Par : Musée de Préhistoire de Ca

vignette
picto
Laboratoire du Collège de France à Concarneau

Par : Musée de Préhistoire de Ca

vignette
picto
Bord de mer avec baigneurs et pêcheurs

Par : Musée de Préhistoire de Ca

Afficher le widget sur mon site Voir tous les documents
X

Afficher le widget sur mon site

Vous pouvez afficher le ce widget sur votre site en insérant le code suivant :

<iframe src="https://breizhapp.net/widgetbretania/index.php?set=wgt_concarneau"></iframe>

Vous pouvez également voir la liste de tous les widgets à l'adresse suivante Liste des widgets