Nos documents sur le beurre

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Détail de la façade d'un Hôtel du XVIe siècle, rue
Détails de la façade de la première maison des Doublet, rue Saint-Jacques (hôtel du 16ème siècle), statuettes en bois

Par : Archives municipales de Sa

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Laiterie industrielle dite Beurrerie des frères Br
Atelier de fabrication à vaisseau, de plan rectangulaire, qui donne à la fois sur le boulevard Solférino et sur l'avenue des Français Libres, chacune des façades étant bien distincte de l'autre. La façade antérieure, qui correspond à l'entrée des anciens quais, aujourd'hui transformée en entrée de parking couvert, est simplement enduite. La façade postérieure présente un appareil mixte avec, en alternance, des assises de parpaings de béton, de ciment et de briques creuses. Ce rythme est accentué par une rangée, au centre, de fenêtres accolées, simplement séparées par les éléments porteurs verticaux en béton. Ce vaste atelier est couvert de sheds en matériau synthétique et en ardoises, supportés par une charpente métallique.La beurrerie des frères Brétel est construite en 1910 par l'architecte Eugène Guillaume. En 1917, le directeur de la Nouvelle Beurrerie, M. Hamono, a l'ordre de tenir à la disposition de l'autorité préfectorale l'intégralité des stocks de beurre détenus dans ses magasins. En juillet 1931, la Nouvelle Beurrerie d'Ille-et-Vilaine s'agrandit avec la construction d'un bâtiment à usage de bureaux et d'atelier. En juillet 1943, demande de création d'un poste de pasteurisation du lait. En octobre 1943, cet atelier produit 5 à 10 000 l par jour et sert d'expérience pour la construction de la centrale laitière dont la demande d'installation par la Nouvelle Beurrerie d'Ille-et-Vilaine est requise en novembre 1943. En 1947, reconstruction de la laiterie industrielle dont la conception est attribuée à l'architecte Louis Chouinard. Alors que sur le boulevard Solférino s'organisent au rez-de-chaussée la chaufferie, le magasin, l'entrepôt frigorifique et le transformateur et au premier étage les bureaux, la seconde moitié du bâtiment, qui donne sur l'avenue des Français Libres, comprend l'atelier de fabrication avec les différents postes de lavage, d'écrémage, de pasteurisation, de malaxage, de triage, et de barattage. En 1950, l'établissement s'inscrit sous la raison sociale Union Laitière de Bretagne. La date de cessation d'activité est inconnue. Aujourd'hui, elle est en partie détruite ; les bâtiments subsistants sont utilisés comme parking couvert.En 1910, attestation d'une machine à vapeur. En 1950, le matériel comprend notamment une embouteilleuse-capsuleuse.
Auteur(s) du descriptif : Gasnier Marina

Par : L'inventaire du patrimoine

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Le Bon Beurre de Bretagne - Sa Fabrication à Scaër
Scaër.- La fabrication du beurre. Trois jeunes filles posent dans un intérieur reconstitué. L'une tourne la baratte, la seconde porte un panier, la troisième façonne une motte de beurre.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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ROSPORDEN - La Place au Beurre
Rosporden.- La place au Beurre. Un petit groupe d'habitants pose au premier plan. Magasin Gloanec, perruquier. Sur un pignon de maison, affichage public et affiches publicitaires pour Vichy Célestins, Picon, Bitter Secrestat, Ripolin.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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9 soldats debout dont un est joueur de tambour dev

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Quatrième épisode – K’Actus 2004
K’Actus, le journal quotidien du festival K-Barré – Forum des arts 2003. Au sommaire de cette émission : Du rock, la bamba, une interview, du jonglage, de la pelouse, le western spaghetti, de la confiture, du muscadet, du beurre et des beignets, un photomaton, des pièces de théâtre, la grande histoire des indiens (avec du ketchup), Pain Beurre et Cinéma, Odyssé, Kazou, du modelage avec Triepot, Amanda Altaï et l’Agenda karaoke – Starring : Billy DOM, Billy DAM, Wendy (as the boss), Cindy and Beasty Billy Boob.

Par : L'aire d'u

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La Place au beurre : [carte postale]
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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L'Hermitage (I.-&-V.) - Vue intérieure de la Beurr
Fabrication du beurre, les machines.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Le beurre tourné / La mère Plantard

Par : Dastum

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Fête du beurre
Conception & Impression : Imprimerie LE FUR - Carhaix - 02 98 93 77 94

Par : Dastum

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La Roche Bernard (Morbihan) : La place du marche a

Par : Dastum

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Merc'hed an amann
Explique le trafic autour du beurre pendant la guerre 39/45

Par : Dastum

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Le Grenier du Siècle à Nantes
Dans l'ancienne usine LU, Nantes ferme le siècle en créant le Grenier du Siècle, lieu de dépôt d'objets représentatifs du XXe siècle, qui seront consignés durant 100 ans. Un descendant de l'inventeur du célèbre petit-beurre Lu vient en déposer la recette.

Par : INA

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Istoarioù diaoul ha laer-amann [Des histoires de d
Artistide Herrio a gont deomp amañ istoarioù bet klevet gantañ en e vugaleaj er menaj e Ploue. [Aristide Herrio nous raconte des histoires qu'il a entendues enfant quand il était à la ferme à Plouay.]

Par : INA

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SAINT-HERBOT (Finistère) L'Eglise, Statue de bois
Plonévez-du-Faou.- Un autel où sont déposées des queues de vaches, situé devant la clôture à balustres du choeur, intérieur de la chapelle Saint-Herbot. Sur la droite, une Piéta. Deux petits autels de pierre, situés devant la clôture, recevaient autrefois l'un le beurre, l'autre les queues de vache, offerts à Saint-Herbot le jour du pardon.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Quimper, fonds de cartes postales : places et rues
Ce recueil numérique comprend 56 cartes postales représentant différentes rues et places de Quimper : place Maubert, place Saint-Corentin, place au Beurre et place Terre-au-Duc ; avenue de la Gare, boulevard de l'Odet et boulevard de Kerguélen ; rue Sainte-Catherine, rue du Parc, rue Kerhéon, rue Royale (actuelle rue Elie Fréron), rue du Lycée, rue du Guéodet, rue du chapeau-Rouge et rue Saint-Mathieu ; les Halles.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Zebda aux Rencontres Trans Musicales de Rennes (19
II y a des groupes aux textes creux, y’a ceux qui dégomment illico. Y'a les métissages actuels, les faux coloris médiatiques, y'a le feeling, y'a la maîtrise. A la croisée de ces méandres y'a la tribu Zebda (beurre en arabe), trois mâchoires féroces et harnachées qui revendiquent la partialité. Leur gilet pare-balles, c’est quatre musiciens qui sont autant d’outrages sur l’échelle de Richter. Musicalement, Zebda est un cocktail d’influences magistralement dosées. Rhythm’n blues, funk, rap, reggae, saupoudrés de touches africaines et moyen-orientales. Y font danser les éléphants ! Paroles !

Par : Association Trans Musicale

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Al laezh e Breizh [La production et la transformat
Ur beizantez o werzhañ amann war ar marc'had ha daou saver saout, tad ha mab, o kontañ ar cheñchamantoù 'zo bet en o ziegezh evit modernaaat : meur a zoare a zo da broduiñ laezh e Breizh e 1972, un nebeut mizioù a-raok brezel al laezh. [De la paysanne qui vend son beurre sur les marchés à l'exploitation familiale – père et fils – qui a modernisé son installation pour produire plus de lait, un aperçu de la production laitière en Bretagne, quelques mois avant la grève des livraisons, la célèbre guerre du lait menée dans l'Ouest pour obtenir de meilleurs prix. ]

Par : INA

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Ferme, La Grande Marche (Javené)
Ce site est composé de plusieurs bâtiments qui présentent tous les mêmes caractéristiques architecturales : maçonneries de moellon de schiste, encadrements de baies et chainages d'angles en pierre de taille de granite ou en brique, toitures couvertes d'ardoise, régularité des percements...Au nord de la cour, s'élèvent deux bâtiments. Le premier, à l'ouest, abritait les logements des métayers et des ouvriers agricoles. Le second, à l'est, était destiné à l'étable. A l'avant de ce dernier se trouvait la fosse à purin et s'élèvent encore deux cabinets d'aisance construits en brique et en granite.Entre ces deux bâtiments, au sud, se trouvent un ancien hangar agricole et un fournil un peu plus au sud. A l'ouest de la cour, perpendiculairement aux logis et à l'étable, est implanté un bâtiment ayant abrité la laiterie puis des écuries et une cidrerie.En 1820, lors de la réalisation du premier cadastre communal, il existait déjà une ferme à la Grande Marche, ainsi qu'un moulin à la Marche au sud-ouest de la ferme.Toutefois, les bâtiments qui composent actuellement cet écart sont plus récents et datent de la charnière des 19e et 20e siècles. En effet, ce lieu faisait partie du domaine du comte Ferdinand de Lariboisière. Les bâtiments ont donc été construits par le comte, il s'agissait de la plus grande ferme du domaine sur la commune de Javené, elle s'étendait en effet sur 55 hectares et la Grande Marche était le siège d'une laiterie. Ainsi, dans les années 1890, le comte décide de réorganiser son domaine en augmentant la production laitière. Cette production est en effet rémunératrice à l'époque, le beurre produit est d'ailleurs vendu jusqu’à Paris.A l'image de la laiterie de Monthorin à Louvigné-du-Désert, à la Grande Marche, le comte installe donc une laiterie qui fonctionne à la vapeur. Le lait produit par les vaches de race jersaise dans les fermes Lariboisière de Javené est apporté quotidiennement à la laiterie de la Grande Marche. Les vaches de race jersaise avaient en effet été choisies par le propriétaire pour ses exploitations car elles fournissent un lait très riche en matière grasse et donc propice à la fabrication du beurre.Le comte de Lariboisière possédait une grande partie de la portion Est du territoire de la commune ; son lieu de résidence se trouvait à Monthorin à Louvigné-du-Désert, secteur dans lequel il possédait également une trentaine de fermes du même type. En 1892, le domaine de Monthorin s'étendait sur 1600 hectares, dont 951 étaient exploités par des fermiers. Ces fermes se caractérisent par une grande modernité eu égard à leur époque de construction (fin 19e et début 20e siècle). Ainsi, elles sont composées d'équipements d'hygiène et de confort et le comte y fait appliquer des principes de salubrité et de propreté, éléments relativement nouveaux à la fin du 19e siècle. Les étables pavées y possèdent de nombreuses ouvertures destinées à l'aération ; il existe une fosse à purin attenante sur laquelle sont élevés des cabinets d'aisance pour le fermier. Ici, il existe deux cabinets d'aisance, un pour le fermier et l'autre pour les ouvriers agricoles. Les différents bâtiments du lieu présentent les caractéristiques architecturales de la fin du 19e et des premières années du 20e siècle : régularité des percements, usage de brique et de granite taillé mécaniquement pour les encadrements de baies...
Auteur(s) du descriptif : Dalibard Sabrina ; Goyet Marie

Par : L'inventaire du patrimoine

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Pays basque 1 et 2
Pays basque, forêt de pins, villas, dunes du Pyla (montée sur la dune par homme et femme), chaussures enlevées pour marcher dans le sable. La pelote basque, public (score 43/47). Vagues sur rochers, villas de bord de mer, port de Saint Jean de Luz (Pyrénées Atlantique), port de pêche, bateau BA847 (quartier maritime de Bayonne), pêcheurs, caisse de poissons (sardines), filets, épluchage de pommes de terre, hôtel avec deux jeunes filles jouant au badminton, village pittoresque. Biarritz. Activités au port de pêche de Saint Jean de Luz. Hôtel "BTCHOLA", pantalon de golf, randonnée en montagne, mouton, nuages, dans un village volets avec motifs de svastikas, bœufs attelés avec joug, clocher d'église, cimetière, maisons à pan de bois, restaurant Chokaona, enfants, vaches attelées à un joug, cimetière et église, clocher dit clocher porche (le même que le précédent), basque avec béret marche avec enfant. Bord de mer, Saint Jean de Luz?. Femmes marchant avec caissette sur la tête et sous le bras. Soldats avec espadrilles, promenade en montagne, barrage retenant un lac. Sur mur inscription "Espana, une grande libre por la patria el pan y la justicia arriba"(au moment de la guerre d'Espagne en 1936), soldats espagnols, randonneurs, village, pont, église, clocher, carré, pont, village, cimetière, rivière, maisons en ruines près de l'église, cours d'eau près d'un moulin, visite dans une ville avec rempart, porte de ville avec arc ogival. Réunion dans une cour sur des bancs, prière, publicité Petit beurre LU, pont, village, pancarte Iroulecuy Café, deux cochons en liberté, promenade avec bâton, sur âne homme avec béret, cochons, église de montagne. Lourdes (Hautes Pyrénées), malades dans des carrioles, basilique, esplanade, promenade sur ânes en montant sur un escabeau dans les Pyrénées (une femme monte en amazone). Neige, cascade d'eau, promenade sur des chevaux dans Pyrénées. Rocamadour (département du Lot, région Midi Pyrénées), carte postale avec rue Larnaudie et ses commerces, église (grand escalier menant à l'église, porte médiévale, promenade dans les rues de la ville. Dans un jardin, personnes assises sur des chaises.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Maison, 19 place du Poids Public (Vannes)
Maison à pan de bois à plan double en profondeur implantée sur une plus large parcelle que sa voisine. La maison a perdu son encorbellement d'origine, laissant apparaître entre les deux sablières (basse et haute) les abouts de solives. Elle montre 2 étages carrés et un étage de comble. Les étages sont desservis par un escalier en vis en bois et noyau central, hors oeuvre. L'escalier comprend en demi-étage les vestiges d'anciennes latrines (mentionnées dans les archives). Les encadrements des portes d'entrées intérieures chanfreinées remontent au 16e siècle.Maison reconstruite au 16e siècle sur l'emplacement d'une maison signalée dans le rentier de 1455-1458. D'après les archives de la réformation, la maison est déclarée appartenir en 1677 à Claude de Francheville, sieur de Truscat, avec celle également donnant sur la place des Lices (n°7) aujourd'hui reconstruite. Les archives mentionnent en effet un ensemble de deux maisons lui appartenant qui s'inscrivent sur cette parcelle traversante. Le soubassement, les encadrements des ouvertures et l'escalier en vis qui dessert les étages montrent que la maison peut remonter au 16e siècle ; soulignée en jaune sur le plan d'alignement de 1840, la façade de cette maison fait l'objet à cette date de transformations ; les archives gardent en effet la trace de travaux de façade à cette époque. La demande effectuée par son propriétaire d'alors, monsieur Dubois, concerne la suppression du 3ème encorbellement du pignon de la maison ainsi que le remplacement de ce pignon par une toiture à croupe. Il est question également de percer une porte au rez-de-chaussée. Les travaux sont autorisés par l'architecte de la ville, Charier qui cependant interdit des réparations aux encorbellements inférieurs, travaux qui seront vraisemblablement exécutés après.La maison a été dégagée de son enduit montrant un colombage peu soigné ; la façade enduite est visible sur les cartes postales anciennes. De même, un plan dressé pour le magasin Billot (beurre et de volailles) en place en 1930 donne la distribution des pièces pour le rez-de-chaussée sur une parcelle à l'époque traversante.
Auteur(s) du descriptif : Lainé Claire ; Toscer Catherine ; Danielo Julien

Par : L'inventaire du patrimoine

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Laiterie industrielle (beurrerie) Emile Nel, puis
Etablissement composé de deux séries de plusieurs corps de bâtiment alignés, placés de part et d'autre d'une cour fermée. Au nord de la cour, se situent : le bâtiment des bureaux à un étage carré, enduit, percé de baies en plein cintre au rez-de-chaussée et de fenêtres barlongues au premier étage couvert d'un toit à longs pans en ardoises ; ainsi qu'une partie des ateliers de fabrication. En rez-de-chaussée, ils sont construits en briques et couverts d'un toit à longs pans en ardoises avec un léger avant-toit orné d'un lambrequin. Du côté sud de la cour, sont implantés parallèlement : le logis patronal au centre, encadré, de part et d'autre, d'un autre atelier de fabrication et de l'ancienne serre des légumes. L'atelier de fabrication, de plan en L, construit en briques, compte un étage de comble à surcroît. Sa partie longitudinale est couverte d'un toit à longs pans en ardoises, tandis que son aile transversale est surmontée d'une croupe. Le logis patronal, entièrement enduit, a un étage carré et un étage de comble à surcroît couvert d'un toit à longs pans en ardoises. Ses façades antérieure et postérieure sont rythmées par trois travées de baies, barlongues au premier étage et en plein cintre au rez-de-chaussée.La laiterie industrielle Emile Nel est fondée en 1878. En 1882, l'établissement est récompensé par une médaille d'or à l'exposition de Paris, d'autres médailles et prix suivront. En 1909, la beurrerie-laiterie est spécialisée dans la fabrication de beurres extra fins. En 1919, une conserverie est installée sur le site et est inscrite sous la raison sociale Ravilly père et fils. Constituée en société en nom collectif, elle est spécialisée dans la fabrication et le commerce de tous produits alimentaires et plus spécialement l'achat de bestiaux et de viandes vives ou abattues, leur revente ou mises en conserve, ainsi que tous fruits, légumes, poissons ou pâtes. En 1920, agrandissement de l'usine. Le 30 avril 1921, la société Ravilly père et fils est dissoute. Le 27 décembre 1926, création, sous la forme anonyme, d'une société qui prend le nom de société anonyme Réna Conserves et Salaisons de Bretagne au capital social de 155 000 f. En 1929, surélévation des bureaux. En 1930, la société fournit l'armée en viande fraîche et fabrique des conserves de viandes et de légumes. Liée à la crise de 1929, la hausse de la viande et la baisse survenue sur les cuirs verts font subir à la conserverie de grosses pertes. La fabrique de conserves de viande est alors suspendue, tandis que celle de conserves de légumes fonctionne au ralenti et ne produit plus qu'environ 20 t au lieu de 60 t. En mai 1930, Ravilly père et fils démissionnent. L'usine, dans une position très incertaine, est alors reprise par M. Guillot. En juin 1931, licenciement du personnel de la maison Ravilly avant liquidation judiciaire. Aujourd'hui, les bâtiments sont occupés par une association.En 1931, la conserverie emploie cinq hommes et six femmes. En juin 1931, il ne reste que deux hommes et une femme pour la liquidation des comptes.
Auteur(s) du descriptif : Gasnier Marina

Par : L'inventaire du patrimoine

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