Nos documents sur le vélo

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Calice et patène n°1
4 scènes de la vie du Christ sur le pied et motifs de vigne sur tout le calice.Calice fabriqué durant la seconde moitié du 19e siècle par l'orfèvre parisien Demarquet. Calice de l'abbé Guernion remis à l'église de son baptême par M Le Chanoine Louis Hinault.
Auteur(s) du descriptif : L'Haridon Erwana

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ecole primaire et cours complémentaire. Partie M.D
Groupe scolaire Curie. Etat descriptif du rez-de-chaussée. Services généraux, appartement du concierge, parloir, bureau du directeur, salle des maitres, dépôt de bicyclettes, dépôt matériel nettoyage et espace de circulation. Relevés sur ouvertures et cloisons.

Par : Archives municipales de Sa

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Parc municipal des sports. Stade Fred Aubert
Parc municipal des sports. Stade Fred Aubert. Homologation de deux terrains de football. Etat des surfaces d'ensemble de ces deux terrains et installations voisines.

Par : Archives municipales de Sa

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Calvaire de Saint-Thégonnec
Sujet représenté : vue d'architecture (haie ; barrière ; maison ; clocher ; église ; porche ; pilier ; statuette ; bicyclette ; calvaire monumental ; Saint-Thégonnec ; Finistère d) - N° d'inventaire : DOC 992.13.1065 ; R992.13.1065

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Cité de l'Office Public d'Habitations à Bon Marché
La cité, implantée à proximité d'une voie primaire et desservie par trois voies secondaires, se compose de 10 immeubles construits avec une ossature en béton armé et un remplissage de parpaings de béton masqués par un enduit : la couverture des toits terrasses est en zinc. Six de ces immeubles à 2 étages carrés sur rez-de-chaussée surélevé sont implantés en "quinconce" au coeur d'un square-jardin. Les quatre autres immeubles à 2 et 3 étages carrés sur rez-de-chaussée surélevé, associés deux à deux, bordent la rue Joseph-Defermon.Ensemble de dix immeubles, d'une capacité de 64 logements, construits entre 1952 et 1954, sur des plans datés de 1950, pour l'Office Public d'Habitations à Bon Marché, dont Yves Lemoine est l'architecte. Un premier et unique garage est construit en 1958, suivi d'un ensemble plus important en 1971.Le descriptif joint à la demande de permis de construire indique que les immeubles sont construits avec une ossature en béton armé et un système de doubles parois : à l'extérieur des parpaings d'aggloméré creux vibré, à l'intérieur des briques. L'encadrement des baies est réalisé en béton vibré, coulé en une seule pièce, bandeaux et corniches sont coulés en béton avec une granulométrie permettant le bouchardage. Une couverture en ardoise était prévue dans le projet. Les cages d'escalier distribuent deux appartements de deux ou trois pièces par étage. Les logements de type II, de 46 m2, comportent une entrée, un bloc cuisine, WC, salle de bain, une chambre de 12,60 m2, un séjour de 16,60 m2, avec un "coin à manger" et une partie formant studio avec cheminée, où "un divan peut être installé". La pièce est en communication directe avec la cuisine "afin de faciliter le service des repas".Les logements de type III, d'une surface de 63 m2, se distinguent par la taille du séjour, qui passe à 18 m2, et par la présence de deux chambres, l'une de 12,60 m2, l'autre de 11,20 m2.Les salles de bain sont équipées de baignoires "sabot" en fonte émaillée.Les habitants disposent par ailleurs d'un séchoir commun et d'un grenier, au niveau des combles, d'une buanderie commune et d'une cave, au sous-sol, où se trouvent également garages à voitures d'enfants et à bicyclettes.
Auteur(s) du descriptif : Barbedor Isabelle

Par : L'inventaire du patrimoine

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Lycée Bréquigny, 7 allée de Bréquigny (Rennes)
Description et évolution du bâtiLe lycée est composé de 14 bâtiments avec le poste de transformation électrique et le garage à vélo, auxquels il convient d’ajouter, pour retrouver le programme d’origine, les bâtiments de l'ancien collège Jean Moulin (transféré à Saint-Jacques-de-la-Lande), qui accueillent aujourd’hui un établissement régional d’enseignement adapté.A l’entrée, située à l’ouest de l’ensemble, la façade du lycée est composée de l’entrée proprement dite (accueil et externat), avec, à sa gauche, l’administration surmontée de trois étages de logements de fonction et, à sa droite, une salle polyvalente. Elle cache une immense barre de 200m, la plus longue de Bretagne, abritant les salles de classes. Le programme d’origine comportait trois internats. Deux d’entre eux, les bâtiments D et E, abritent désormais des classes et un CDI. Le bâtiment L, complète le programme en termes d’externats.Le lycée est encore composé d’un gymnase, d’une barre recevant les ateliers et l’infirmerie (bâtiment T) et du restaurant scolaire.L’externat technologique et les ateliers ont été construits selon les plans de l’architecte Pascal Debard (PC, 2004).La restructuration thermique des bâtiments A, B et C va débuter. Elle a été confiée au cabinet Anthracite Architecte 2.0, une agence qui a reçu le prix architecture Bretagne pour le même type d’opération au lycée Colbert de Lorient.Un nouveau bâtiment va être construit, au nord de la plus grande barre, pour abriter le nouveau service de restauration. Sa réalisation a été confiée au groupe Legendre qui s’est attaché les services de la même agence Anthracite Architecte 2.0 pour les plans du projet. L'actuel restaurant scolaire va être conservé et affecté à de nouveaux usages.intérêt architecturalCe bâtiment est d’ailleurs, entre le lycée et le parc, un édifice remarquable. Louis Arretche a créé, au sein d’un lycée composé de grandes barres R+3, un événement architectural. L’étage, posé sur pilotis, abrite, au centre, les cuisines éclairées par un astucieux jeux de baies en surélévation et, sur trois des quatre côtés, les salles de restaurant. Assis à table, élèves et personnels sont plongés dans le parc et protégés par un imposant pare soleil qui, avec les pilotis, permet de rompre avec les formes cubiques strictes des autres bâtiments.Comme ses confrères confrontés à la rigidité des règles édictées par le ministère, à la rigueur du programme, Louis Arrête a construit des barres de trois étages sur rez-de-chaussée, avec des couloirs de circulation latéraux. Il reproduit évidemment la trame de 1,75m dont il rompt la monotonie par des décrochés de fenêtre. L’utilisation en façade de panneaux préfabriqués, en béton et gravier lavé, fait place, de part et d’autre de l’entrée et sur certains pignons, à des pierres de parement en granite.Il alterne les orientations et les longueurs et tutoie le gigantisme, avec une barre de 200 m de long, un garage à vélos de 100 m... Il joue avec la topographie : l'ancien internat du collège, une barre r+3 comme les autres, paraît plus haute, car plus courte et positionnée au point le plus élevé de l'ensemble.Les trois internats d'origine ne comportent pas les préaux, ouverts ou fermés, qui forment souvent les rez-de-chaussées des établissements contemporains. Louis Arretche les remplace par de grands espaces vitrées en encorbellement, qui donnent du volume aux façades. Ces derniers sont surmontée de toits terrasses. L’écoulement des eaux pluviales qu’ils reçoivent est assuré par d’étonnantes gargouilles.Louis Arretche casse encore la répétition en diversifiant remarquablement le traitement des entrées, des galeries de circulation et des quelques escaliers extérieurs. Il y apporte beaucoup de soin. Ici, les escaliers extérieurs sont vitrés. Là, ils sont ouverts. Ici, il ouvre le couloir latéral, en rez-de-chaussée. Là, pour désengorger les couloirs de la longue barre de 200, est construit, quelques années plus tard, "le métro", une galerie de circulation, fermée sur les deux tiers...Œuvres du 1% artistiqueLe lycée Bréquigny a bénéficié de trois décorations au titre du 1% artistique. Le portail de l'entrée principale est l’œuvre du ferronnier d'art Raymond Subes (commande 1968) et est dans un bon état de conservation. Francis Pellerin a réalisé "le Signal", sculpture métallique visible de l'entrée, au nord du bâtiment administratif (commande 1968). Edmond Heuzé est l'auteur de la peinture murale monumentale qui orne la totalité du mur intérieur nord de la salle polyvalente (commande 1962, datée 1963) et représente une scène de plage. Ces deux dernières œuvres sont dans un état de conservation méritant attention.Collections pédagogiquesLes collections de sciences physique comportent peu d'objets anciens. Les instruments ne sont pas conservés lorsqu'il sne sont plus aux normes. Celles de sciences naturelles sont plus développées, bien qu'une partie soit allée enrichir les collection du lycée Chateaubriand lors du regroupement des classes préparatoires rennaises dans cet établissement.Thierry Goyet, opération d'Inventaire du patrimoine des lycées, 2018Contexte urbain et paysagerAux lendemains de la Seconde Guerre mondiale, la situation du logement à Rennes (forte présence de logements insalubres, surpeuplés, existence de camps provisoires de baraques…) conduit les municipalités à envisager, entre autres, l’urbanisation de la commune au sud. Le château de Bréquigny est acquis par la ville en 1951 ainsi que plus de 26 ha de terrain. Le plan d’urbanisme de Rennes prévoit d’y installer un vaste complexe sportif. S’ensuit l’achat par la nouvelle municipalité Henri Fréville, en 1955, de nouveaux terrain pour y implanter « un lycée de Jeunes filles et un collège technique et moderne ».Le projet urbain prévoit l’implantation d’autres équipements publics. La plupart seront construits après le lycée tout comme les programmes de logements de la ZUP sud. Le lycée s’implante donc dans un cadre encore largement naturel et bocager, à proximité de la rue de Nantes, rue de Faubourg, déjà urbanisée.Il est aujourd’hui dans un tissu urbain bien équipé (y-compris une piscine avec un bassin olympique). Face à l’entrée se situe la place Albert Bayet, bordée de commerces et d’immeuble dont les façades reprennent les mêmes que ceux du lycée (panneaux préfabriqués de béton et gravier lavé). A l’est, le square de Terre-Neuve, est bordé d’immeubles d’un autre architecte qui a marqué Rennes : Georges Maillols.La ZUP sud, désormais appelée Le Blosne, est composée de différents quartiers. Celui de Bréquigny est moins dominé par les barres et les tours que la Zup dans son ensemble. Il se distingue surtout par la présence d’espaces verts dont le parc de Bréquigny, de 20ha, dans lequel est implanté le lycée. Certains arbres du parc sont classés en tant qu’arbres remarquables. Un chêne, date, selon la tradition orale, d’Henri IV.Intérêt historiqueLe château de Bréquigny, construit vers 1660-1670, pour Charles Le Meneust, premier président au parlement de Bretagne, a été démoli lors de la construction du lycée. Un puits en est le seul vestige encore visible.La construction du lycée, est étroitement liée au développement économique et urbain de Rennes.Son architecte est une personnalité marquante de l’urbanisme rennais et malouin, auteur de la plupart des édifices universitaire rennais, de cinq lycées en Bretagne et d’équipements importants tels que l’usine marémotrice de la Rance, le siège de la direction régionale des télécommunications (appelé aujourd'hui "le Mabilais") ou la salle omnisports de Rennes (appelée aujourd'hui "le Liberté).Lorsque le lycée ouvre, en 1960, c’est une annexe du lycée de jeunes filles de Rennes. En 1962, il devient mixte. En 1964, il acquiert son indépendance administrative. La cité scolaire est alors composée d’un lycée polyvalent et d’un collège technique. Le lycée accueille, en 2017-2018, près de 3200 élèves dont environ 300 internes. Il dispense un panel très larges de formations, allant des filières générales, technologiques et professionnelles, aux sections sportives, européenne (anglais) et artistiques (cinéma et audiovisuel, art et danse, musique, théâtre et art dramatique).Thierry Goyet, opération d'Inventaire du patrimoine des lycées, 2018
Auteur(s) du descriptif : Barbedor Isabelle ; Goyet Thierry

Par : L'inventaire du patrimoine

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Départ du Tour de France à Rennes
Le 51ème Tour de France est parti de Rennes. Après une cérémonie inaugurale présidée par le député-maire de Rennes Henri Fréville, les cyclistes se sont lancés sur les routes pour effectuer la première étape, reliant Rennes à Lisieux.

Par : INA

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femme tenant un vélo ; bicyclette

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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homme à chapeau sur un vélo en extérieur ; bicycle

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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femme à chapeau, en costume bourgeois ; vélo ; bic

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Bernard face à Hinault, la bande-annonce
Au moment de prendre sa retraite, Bernard Hinault qui sera présent une dernière fois sur le prochain Tour de France, a choisi de sortir un magnifique livre sur sa carrière préparé avec Jean Cléder, enseignant-chercheur en littérature comparée à l’université Rennes 2. Construit en partenariat avec le Cellam et l’Ina, ce livre enrichi d’un webmedia conçu par le CREA donne enfin au coureur la possibilité matérielle d’analyser lui-même son propre parcours. Voici la bande-annonce de ce grand projet multimédia richement illustré.

Par : L'aire d'u

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Les débuts de Bernard Hinault
Après quatre années de compétition, Bernard Hinault a obtenu des résultats prometteurs, en remportant notamment deux titres de champion de France. Il est interviewé sur ses débuts de carrière.

Par : INA

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Marthe à bicyclette

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Société vélocipédique de Quimper dite du "vélo-spo
Statuts de la Société vélocipédique de Quimper dite du "vélo-sport"

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Famille Hinault
Sujet représenté : portrait collectif (chaîne ; gilet ; chemise ; moustache ; homme ; casserole ; assiette ; coiffe ; tablier ; robe ; femme ; famille ; maison ; entrée ; porte) - N° d'inventaire : DOC 992.13.447 ; R992.13.447

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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3 femmes en costume breton, homme en costume de m

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Patronage en vélo avec prêtre

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Sa Paris war velo

Par : Dastum

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Châteaux de la Loire-Inférieure Vue - Château du P
Deux enfants et leur vélo devant la façade sud du château du Pas (Vue, Loire-Atlantique).. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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La Boussac (I.-et-V.) - Château de Landal (XVè siè
Remparts sud.- Tour de France.- Tour royale.- Remparts Est.- Tour des Archives.- Tour du Capitaine. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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La Festi'Rando de Plounérin
Le 29 mai dernier, le rendez vous Festi'Rando des marcheurs de tous niveaux a fêté sa vingtième année à Plounérin. Cet événement co-organisé par l'office de tourisme de Lannion Trégor Communauté (LTC) et les associations locales de randonnées fut l'occasion de découvrir la nouvelle réserve naturelle régionale des landes, prairies et étangs de Plounérin. Nouveaux sentiers de randonnée, circuits à vélo électrique, expositions photos et peinture en pleine nature ont donné un intérêt particulier à cette journée qui a attiré de nombreux visiteurs amoureux du patrimoine local d'une grande richesse écologique. TV-Trégor vous en propose un petit aperçu imagé...

Par : TV Trégor

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Rival Consoles (Live) aux Rencontres Trans Musical
Dans le monde impitoyable des musiques électroniques instrumentales de qualité, les 4 minutes 42 d’Odyssey servent depuis 2013 de sésame à Ryan Lee West et restent un diamant brut dans la production post-electronica héritière de l’âge d’or de Warp. après des débuts discographiques sous l’identité d’Aparatec, ce compositeur multi-instrumentiste néotrentenaire a déjà sorti deux albums sous l’identité Rival Consoles – IO en 2009 et Kid Velo en 2011. Mais c’est le prochain LP qui devrait enfin sauver d’un anonymat injuste ce soldat Ryan, qui est (presque) sans rival derrière la console son.

Par : Association Trans Musicale

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Secteur urbain de Rostellec (Crozon)
Situé en retrait par rapport au front de mer de l'anse de Rostellec, le secteur urbain est constitué d´une trentaine de maisons, datant du 19e siècle pour la plupart. L´ensemble est disposé de manière compacte autour de petites ruelles où l´on ne circule qu´en vélo ou à pied. La réhabilitation de ces maisons anciennes donne à l´ensemble une unité architecturale : murs en granite, présence de rampants et de corniches à leurs extrémités, ouvertures souvent de petite dimension (porte, fenêtres ou petits chiens assis à l´étage). Les maisons, souvent disposées en longères, comprennent rarement plus d´un étage et sont souvent agrémentées d´un jardin entretenu et fleuri.Le secteur urbain de Rostellec se développe à partir du 18e siècle sous l´impulsion conjointe des activités maritimes (cabotage de bois pour la construction de bateaux, pêche de coquilles Saint-Jacques et de pétoncles et élevage d´huîtres) et de l´exploitation des carrières de Rostellec puis de l'Île Longue jusqu'à la fin des années 1950. La construction de la base militaire de l´Île Longue condamne ces activités. Seule l'installation du chantier de construction navale Tertu en 1957, dans l'anse de Rostellec, redynamise le secteur urbain de Rostellec jusqu'à la fin des années 1970. Les résidences secondaires y sont aujourd´hui majoritaires.
Auteur(s) du descriptif : Buhot Clotilde

Par : L'inventaire du patrimoine

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