Nos documents sur la toponymie

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Eclairage public
Compagnie Le Bon : installation de lampes au rond-point Rochard et aux rues Curie, Paul Bert, Devoir, Coetlogon, Pascal, Descartes, Maréchal, Foch, Cuverville, Le Bras, Liberté, Bd Waldeck-Rousseau, Pasteur, Hérault, Thiers, Lamartine, Gambetta, place du Théâtre, chemin du Coucou et de Belle-Isle, lieu-dit du Vau Meno, lotissement Boutier, quartier des Villages

Par : Archives municipales de Sa

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Plan de la ville de Saint-Brieuc
Ville de Saint-Brieuc, plan d'ensemble 1938. Sections cadastrales. Limitrophe des communes de Ploufragan, Plérin, Langueux. Indications des lieux-dits, hameaux au sud, à l'ouest (route de Brest). Port du Légué, ensemble du bourg de Cesson. Figure directionnelle. Etude définie par une teinte et par un tracé hachuré de quelques quartiers.

Par : Archives municipales de Sa

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Cadastre de 1847
Cadastre de 1847. Extrait de la section B et C, lieu-dit 'la Brèche aux Cornes' chemin du moulin de Toupin à Cesson et chemin de la Ville Ginglin.

Par : Archives municipales de Sa

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Espace portuaire et militaire de Quélern (Crozon)
L´espace portuaire et militaire de Quélern, qui s´étend sur 2 km le long du littoral sud-est de la commune de Roscanvel, est composé de bâtiments militaires, d´habitations diverses et d´infrastructures portuaires et littorales.L´écart de Quélern, au sud-est de la commune de Roscanvel, s´étend depuis le lieu-dit de Quélern à proprement dit jusqu´à Beg ar Grogn plus au nord, où se trouve le site portuaire, en passant par l´étang de Kervian où une digue-route fut construite au début du 20e siècle pour relier plus aisément les deux secteurs. Cet écart s´est développé essentiellement autour de l´activité militaire puis portuaire et balnéaire.En 1694, Vauban fait construire les lignes de Quélern au niveau de la partie la plus étroite de la péninsule de Roscanvel pour protéger celle-ci des attaques à revers. Deux portes (porte de Camaret et porte de Crozon désormais détruites), fermées la nuit venue, permettent de contrôler les entrées. Cet isolement durera jusqu'en 1918. On parle alors de Roscanvel comme d'un "quartier de Brest". La majeure partie de l´espace de Quélern (partie méridionale, jusqu'à l'étang de Kervian) appartient par ailleurs alors à la commune de Crozon. En raison de cet isolement, une demande de rattachement de Quélern à la commune de Roscanvel est formulée ; elle sera effective en 1851 (loi du 6 mai 1851). D´autres installations militaires ont été construites à proximité des lignes de Quélern, comme la caserne Sourdis à la fin du 18e siècle et un réduit en 1854.A la fin du 18e siècle, une usine à briques s´installe à Quélern pour répondre à la forte demande des ministères de la Marine et de la Guerre engagés dans des chantiers considérables dans la presqu´île et dans la rade. Elle fonctionnera jusqu´en 1886.En 1828, une cale est construite sous la Caserne Sourdis pour palier au manque d´infrastructures pour le transit-terre-mer (jusque là, l´embarquement et le débarquement pour les hommes et le matériel s´effectuaient par échouage à Pont-Scorff ou au bourg). Y débarquent les militaires, les prisonniers, les ouvriers employés à la construction des nouvelles batteries sur la presqu´île de Roscanvel, les marchandises, les matériaux et les voyageurs. Une fontaine, dont l´eau ferrugineuse est réputée pour ces vertus thérapeutiques, est édifiée à proximité, au milieu du 19e siècle, pour les militaires, les habitants et les touristes. Une activité balnéaire commence en effet à se développer dès la fin du 19e siècle.En raison des difficultés de circulation sur la cale de la Caserne Sourdis et du faible tirant d´eau de la cale du bourg, la décision est prise de construire une nouvelle cale au lieu-dit Beg Ar Grogn, plus au nord. Le projet est soutenu par la Société des Vapeurs Brestois et la Marine qui souhaite y débarquer les grosses pièces d´artillerie. La cale est achevée en 1901 et la première cale est progressivement abandonnée. Durant tout le début du 20e siècle, notamment pendant l'Entre-deux-guerres, le trafic de passagers va s´intensifier. Les pardons, promenades et piques niques sont à la mode et de nombreux passagers, essentiellement une population brestoise (dont de nombreux ouvriers de l´Arsenal), débarquent à Quélern pour se promener jusqu´à la plage de Trez Rouz (Crozon) et y pique-niquer. L´activité balnéaire de Quélern et Roscanvel est néanmoins moins développée qu´à Morgat.Elle permet cependant le développement du commerce à Quélern. Ainsi, l´ancienne briqueterie est transformée en villa-pension (La Pagode) en 1904 et accueille une clientèle aisée de régiments coloniaux, de touristes parisiens et de promeneurs du dimanche. Le quartier autour de la cale de 1901 se développe et trois bistrots ouvrent leur portes pour accueillir les passagers venus étancher leur soif avant de repartir vers Brest : « A l´arrivée du vapeur », « A la nouvelle cale de Quélern » et « Au départ du vapeur ».Un chantier de construction et de réparation navale, tenu par Auguste Laë, fonctionne par ailleurs entre 1906 et 1910 au sud de l´étang de Kervian. La demande est à cette époque très forte dans toute la presqu´île de Crozon. Un autre chantier de construction et de réparation navale s´établira sur la grève de Quélern entre les deux guerres.L´activité balnéaire périclite après la Seconde guerre mondiale et la cale de Quélern cesse d´être desservie en 1963, changeant ainsi le destin de cet ancien « quartier de Brest » qui retourne à son isolement. Le dernier bistrot de Quélern ferme ses portes à la fin des années 1980. Aujourd´hui, l´écart de Quélern est toujours marqué par la présence militaire, le résidentiel et quelques pêcheurs plaisanciers.
Auteur(s) du descriptif : Marie Guillaume

Par : L'inventaire du patrimoine

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La toponymie, pour comprendre nos territoires
La toponymie est la science qui s'intéresse à l'origine des noms de lieux. Elle est un instrument précieux pour comprendre la conformation et l'histoire des lieux qui ont été baptisés par nos ancêtres. Ces noms en effet ne doivent rien au hasard. Derrière chacun d'eux, il y a une explication, plus ou moins évidente. Jacki Pilon, ancien ingénieur des Ponts, Eaux et Forêts et membre de L'ARSSAT, nous met ici l'eau à la bouche, tout en évoquant la nécessité, pour chaque commune, de répertorier les noms des plus petites parcelles qui recèlent toutes un pan de notre histoire humaine. Un sujet inépuisable, à suivre ...

Par : TV Trégor

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Étude des noms de parcelles attenantes à une voie
Il s’agit de toponymie, issue du cadastre napoléonien breton de 1827, située près du site de Corseul, le long du tracé retenu de nos jours pour la voie romaine Corseul-Alet, datée du IIIème siècle. 600 Parcelles sont examinées. Leur regroupement en sections cadastrales n'est pas fortuit. Il traduit les limites des "villae" attenantes.

Par : L'ARSSAT

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Quelques mots sur le lieu-dit Trez-Goarem en Esqui

Par : Gallica

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Les Ormeaux BENODET (Finistère)
Bénodet.- Manoir au lieu-dit Les Ormeaux.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Les Ormeaux. - BENODET
Bénodet.- Manoir au lieu-dit Les Ormeaux.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Goémoniers de Mazou
Scènes de débarquement du goémon tournées à Mazou en Porspoder, à l'été 1966. Récolte du goémon à marée basse. Sur la charrette, avec un chapeau blanc, Mme Françoise Gouzien du lieu-dit Kémérien. Anna Perchoc, femme de Constant Perchoc. Joseph Gouzien dans la barque avec sa mère Françoise. L'homme à la godille, Joseph Perchoc, du lieu-dit Mescouez, dans la barque avec son beau-frère estivant. Germaine Perchoc, sa femme, débarque du petit goémon, aidée de parents estivants.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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[Environs de Quimper] / [Antoine de la Hubaudière]
Carte des environs de Quimper, figurant les reliefs et tous les lieux-dits ainsi que les constructions existantes.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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"La Roussière" - LA CHAPELLE-SUR-ERDRE (Loire-Infé
La Chapelle-sur-Erdre.- Une maison et son jardin au lieu-dit "La Roussière".. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Couplet sur les filles de Kermenguy du Juch
Enregistré au lieu dit Méné Drégan.

Par : Dastum

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Finistère. , Hermitage Saint Hervé : [Plaque de ve
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Santez Katrin - Conversation portant sur la chanso
Enregistré au lieu dit Méné Drégan.
Sur le timbre de "Ker Is"; chanson sur feuille volante ("Guerz nevez Santez Katherin").

Par : Dastum

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St-PERN - La Tour Saint-Joseph.
Ce lieu saint donne asile à des vierges sans tâche. Au bonheur de ce monde elles ont dit adieu, pour voler au secours du malheurr qui se cache : Soeurs du pauvre elles sont par amour pour leur Dieu. L.M... Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Brain-sur-Vilaine (I.-et-V.). Chapelle dédiée à Sa
Edifiée par les Bénédictins au lieu où, dit la légende, s'arrêta la barque qui menait à Rennes(par la vilaine et les marais) le corps du saint décédé en son monastère de Platz. Fréquentée par les pélerins de la région. Réparée et modifiée à plusieurs époques.. Date : 20e siècle, milieu. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Voie ancienne de Perros-Guirec à Louargat
Il s’agit d’une partie de la liaison effectuée par les Romains, entre le port de Perros et la ville de Carhaix-Vorgium, vers la fin du premier siècle de notre ère. Il s’agit d’une partie de la liaison effectuée par les Romains, entre le port de Perros et la ville de Carhaix-Vorgium, vers la fin du premier siècle de notre ère.Elle rejoint la voie plus ancienne de Plougrescant à Carhaix au lieu-dit Pen ar Stang en Louargat, après une trentaine de kilomètres de parcours.

Par : L'ARSSAT

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Manoir Sainte-Anne dit château du Guéric (Île-aux-
Logis en moellons enduits, pilastres de la travée centrale en pierre de taille, à élévation ordonnancée, à 1 étage carré et comble simple, toit à longs pans à croupes et noue, lucarnes en bois. Communs en moellon de granite, à comble à surcroît, à toit à longs pans à pignon découvert, gerbières en granite. Charretterie à l'ouest en moellons enduits, en rez de chaussée toit à longs pans à croupes. Piliers d'entrée du jardin en pierre de taille. Chapelle enduite, à 1 vaisseau, à toit à longs pans à pignon découvert à l'ouest, croupe ronde à l'est, lambris de couvrement. Fontaine de dévotion en pierre de taille de granite.Mentionné en 1532, appartenant à Louise de Quélen et Olivier d'Arradon (seigneurs de Kerran en Arradon), le manoir est acquis en 1669 par Henry Daviers, marchand de Vannes et syndic de la communauté de ville. La construction actuelle, peut être due aux Guillo du Bodan qui achètent le lieu en 1711, date de la fin du 18e siècle ou du début du 19e siècle. Chapelle construite antérieurement, peut être avant 1711 pour H. Daviers. Choeur augmenté d'une abside au 19e siècle. Bénitier vasque peut être d'époque romane, originaire d'une autre région. Fontaine du début du 19e siècle. Communs construits vers 1800, rallongés vers le sud au milieu du 19e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Dufief Denise ; Boucher Jean Pierre ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Monument dit la Vénus de Quinipily (Baud)
Monument composé d'un édicule rectangulaire en pierre de taille, abritant autrefois une fontaine, ouvert en plein cintre pour recevoir la cuve monolithe rectangulaire terminée en hémicycle. Celle-ci est utilisée en bassin pour recevoir les eaux de la fontaine. L'ensemble est surmonté de la statue de la déesse en granite monolithe posée sur un piédestal. La déesse est représentée nue, les mains sur la poitrine ; une sorte d'étole qui passe autour du cou lui descend jusque sur le ventre.Le monument date de la fin du 17e siècle, il est commandité par Pierre de Lannion, seigneur de Quinipily, pour son château. L'histoire de cette oeuvre remonte à l'Antiquité, elle commence dans la commune voisine de Bieuzy sur la butte de Castennec près du prieuré de la Couarde : une cuve associée à une statue antique repésentant une femme, probablement une Vénus, appelée "Notre-Dame de la Couarde", y était vénérée par le peuple depuis des temps immémoriaux. En 1661, sur la demande de missionnaires, le comte Claude de Lannion fait jeter la statue dans le Blavet. En 1664, elle est ressortie de la rivière puis de nouveau jetée sur la demande de l'évêque de Vannes. En 1698, Pierre de Lannion sort la statue du Blavet et la fait transporter avec la cuve au château de Quinipily. Lorsqu'il veut la faire retailler pour lui redonner "figure humaine", la pierre éclate en morceaux. Il fait alors sculpter la statue actuelle et la pose sur un piédestal neuf au bas duquel est placée la cuve. L'eau y est amenée au moyen de tuyaux, à partir des sources voisines, notemment celle de la fontaine Saint-Michel située au nord.Des insciptions latines sont gravées en relief sur le piédestal. Côté ouest : VENERI VICTRICI VOTA C.I.C. (Erigée à Vénus victorieuse par Caius Julius César). Côté sud : VENUS ARMORICUM ORACULUM. DUCE JULIO, C.C. CLAUDIO MARCELLO ET L. CORNELIO LENTULO COSS AB V.C. DCCV (Vénus, oracle des Armoricains, Jules César étant chef, Caius Claudius Marcellus et Lucius Cornelius lentulus consuls, l'an de Rome 705. Soit six ans avant Jésus-Christ). Côté est : CAESAR GALLIA TOTA SUBACTA DICTATORIS INDE NOMINE CAPTO AD BRITTANIAM TRANSGRESSUS NON SEIPSUM TANTUM SED PATRIAM VICTOR CORONAVIT (César, après avoir soumis toute la Gaule et pris le titre de dictateur, après avoir passé dans la Bretagne, non seulement se couronna lui-même par ses victoires, mais couronna sa patrie avec lui.). Côté nord : PETRUS COMES DE LANNION, PAGANORUM HOC NV MEN POPULIS HUC USQUE VENERABILE SUPERSTI TIONI ERIPUIT IDEM QUE IN HOC LOCO JUSSIT COL LOCARI, ANNO DOM MDCXCVI INI (Pierre, comte de Lannion, ayant arraché à la superstition cette divinité païenne, vénérée jusque-là par les peuples, ordonna qu'elle fut placée en ce lieu. L'an du seigneur 1696).
Auteur(s) du descriptif : Tanguy Judith ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ancienne maison de retenue, dite du Puits-Rondel
La maison principale est construite au fond d´une ancienne cour actuellement divisée entre deux propriétés. Il s´agit d´un logis de trois travées à un étage. Malgré l´enduit projeté moderne la différence entre le rez-de-chaussée en maçonnerie et l´étage en pan de bois se devine. L´escalier se trouve à l´arrière du logis dans une tour carrée en pan de bois. Le pavillon à l´angle de la rue d´Antrain et de la rue Maupertuis est construit en moellons de schistes briovériens. Il a été agrandi au rez-de-chaussée au milieu du 19e siècle en schistes pourpres lors du nouvel alignement de rue.Le deuxième logis construit en partie à l´emplacement de l´ancienne métairie au milieu du 19e siècle est en pan de bois enduit avec des pignons en brique.Le lieu tire son nom d´un ancien puits qui se trouvait à cet endroit en bordure de la route d´Antrain, près de l´ancienne barrière d´octroi de la ville. Ce puits est encore figuré sur le cadastre de 1842, au pied du pavillon surplombant le faubourg d´Antrain. Le patronyme Rondel est celui d´une famille possessionnée dans ce secteur du faubourg d´Antrain dès le 15e siècle. Le même nom du Puits Rondel est donné à une autre maison sise de l´autre côté de la rue d´Antrain, à l´angle d´une venelle descendant vers l´Ille. Cette ancienne maison noble qui relevait féodalement de l´abbaye Saint-Melaine et dont le jardin bordait l´ancien cours de l´Ille était également appelée la Poissonnais, allusion au droit de pêche qui lui était assorti. L´historique établi par Paul Banéat est donc en partie faux puisqu´il fusionne en une seule deux maisons distinctes, qui portent le même nom.La comparaison des plans de 1812 et de 1842 appelle quelques remarques. En 1812, le sud de la maison est occupé par un unique jardin, probablement réservé à la ferme, séparé du jardin de la maison principale par une desserte qui part d´une petite cour secondaire contre le pignon sud de la maison et conduit vers les champs sur le plateau. De façon curieuse, le plan représente immédiatement au nord de cette desserte un autre jardin, parcelle longue et étroite, portant le numéro 497, qui semble avoir été prise au détriment du jardin principal de la maison et touche à l´ouest à la salle basse du logis. L´existence d´un jardin, aussi étroit, distinct du jardin principal à de quoi surprendre. Elle est peut être liée à une occupation particulière de la salle basse, réservée alors au logement d´un jardinier ? En tout cas, en 1842, cette disposition a disparu. L'ancien jardin au sud de la ferme est divisé en deux jardins distincts, qualifiés « d´ anciens jardins de la ferme ». Celui qui touche le pignon sud de la maison principale, parcelle no 339, comporte dans son angle nord-est une petite construction récente, appelée « petite maison du jardin », et le jardin de la ferme est reporté à l´est, parcelle no 341.Edifice attesté en 1646 par Paul Banéat, date à laquelle il appartient aux Frangeul, qui deviendra la propriété de parlementaires rennais au 18e siècle. La maison avait "une cour close avec portail et portillon donnant sur le pavé, jardin clos, cabinet en icelui proche le portail, et droit de pêche à l'endroit du jardin ou verger". Deux demandes d'alignement sur le chemin de Beuvre (actuel boulevard de la Duchesse-Anne) sont formulées par le propriétaire, M. Vannier, en 1854 et 1856. La fabrique de tricots Louis est installée, vers 1880, dans le corps de bâtiment en briques construit sur la rue. Les terres sont loties au début du 20e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Rioult Jean-Jacques ; Barbedor Isabelle

Par : L'inventaire du patrimoine

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