Nos documents sur la toponymie

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Abri et cale de sauvetage du Kerpont Sud, Goaréva
L'abri de sauvetage du Goaréva est situé au pied de la micro-falaise du Goaréva, à l'entrée du Carpont, face à l'Île Béniguet, au lieu dit 'Min Raz'. Le bâtiment, de plan rectangulaire, est construit en moellons de granite et en ciment avec une couverture en ardoise. Il comprend des ouvertures latérales et une grande porte pour les manoeuvres du canot de sauvetage. La façade postérieure comportait des ouvertures à l'origine, qui ont été bouchées. Une rampe d'accès a été rajouté. La cale est construite en ciment et a conservé ses rails de lancement. Elle est étroite, moins 2 mètres de large et présente une forte déclivité sur toute sa longueur (environ 70 mètres). L'abri et la cale sont en bon état, mais désaffectés.L'abri du canot de sauvetage du Goaréva, au Sud du Carpont, a été construit avec sa cale en 1925. Cet équipement a été utilisé jusqu'en 1992 par la SNSM (Société Nautique de Sauvetage en Mer). Le bâtiment est aujourd'hui concédé à un personne privée pour un usage d'atelier.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Église paroissiale Notre-Dame (Sainte-Marie)
Plan en croix latine, 1 vaisseau, voûte d' ogives. Toit à longs pans ; noue ; croupe polygonale ; flèche en maçonnerie ; pignon découvert.Décor : vitrail.Clocher-porche, chevet à pans coupés, style néo-gothique.La paroisse de Sainte-Marie est créée en 1845. L'église actuelle est construite entre 1858 et 1866 sur les plans de l'architecte Édouard Brossais Saint-Marc. Elle se substitue à la précédente, établie au nord du bourg de Sainte-Marie (lieu-dit actuel Chapelle Sainte-Marie) et sécularisée au bénéfice de l'église actuelle.
Auteur(s) du descriptif : Barbedor Isabelle ; Orain Véronique ; Lauranceau Elise

Par : L'inventaire du patrimoine

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Étude des noms de parcelles attenantes à une voie
Il s’agit de toponymie, issue du cadastre napoléonien breton de 1827, située près du site de Corseul, le long du tracé retenu de nos jours pour la voie romaine Corseul-Alet, datée du IIIème siècle. 600 Parcelles sont examinées. Leur regroupement en sections cadastrales n'est pas fortuit. Il traduit les limites des "villae" attenantes.

Par : L'ARSSAT

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Quelques mots sur le lieu-dit Trez-Goarem en Esqui

Par : Gallica

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Finistère. , Hermitage Saint Hervé : [Plaque de ve
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Finistère. , Le petit bois : [Plaque de verascope]
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Si j’ai perdu mon temps (fragment)
Donatien Laurent interprète ? Avec qui ? Le lieu-dit Talnay est mentionné sur la bande mais la commune reste imprécise.

Par : Dastum

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St-PERN - La Tour Saint-Joseph.
Ce lieu saint donne asile à des vierges sans tâche. Au bonheur de ce monde elles ont dit adieu, pour voler au secours du malheurr qui se cache : Soeurs du pauvre elles sont par amour pour leur Dieu. L.M... Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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St-PERN - La Tour Saint-Joseph.
Ce lieu saint donne asile à des vierges sans tâche. Au bonheur de ce monde elles ont dit adieu, pour voler au secours du malheurr qui se cache : Soeurs du pauvre elles sont par amour pour leur Dieu. L.M... Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Bréviaire dit de saint Jean Discalcéat
incomplet. Chaine de cuivre rivetée à la couverture. Bréviaire imprimé, illustré de vignettes gravées sur bois, de la fin du XVe ou du début du XVIe siècle. L’ouvrage étant lacunaire, on ne connait ni le lieu ni la date de son édition, en tout cas bien postérieure à Jean Discalcéat, autrement dit Jean le déchaussé, moine franciscain breton mort en 1349 et connu à Quimper sous le nom de Santig Du, le petit saint noir. Il vécut au couvent des Cordeliers de Quimper, où il fut également inhumé.Enchaîné dans l’église à proximité de la statue du saint homme, l’ouvrage est associé à son nom. Durant la Révolution, il est dissimulé dans le reliquaire et n’en sort que vers 1890, lors du transfert des reliques.Le bréviaire est depuis 1926 conservé à la bibliothèque de Quimper, dans les archives de Jean-Marie Abgrall, chanoine de la cathédrale et membre de la commission de la bibliothèque. Il a été restauré en 2014 dans l’atelier de reliure la médiathèque des Ursulines.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Utilitaire Disk aux Rencontres Trans Musicales de
Comme le dit (à peu près) le proverbe : « Qui veut voyager loin, ménage sa platine ». Le Rennais Utilitaire Disk possède une merveilleuse collection de vinyles easy listening et exotica à faire pâlir d'envie n'importe quel programmateur de salon d'attente feutré d'aéroport. Les sélections de ce mélomane érudit sont autant de pistes de décollage vers d'autres époques et d'autres latitudes : il fait effectivement voyager les oreilles, habille les lieux de ses ameublements sonores mais peut aussi stimuler les gambettes sur des polyrythmies folles, des morceaux traditionnels revisités ou encore des raretés exotiques...

Par : Association Trans Musicale

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Le moulin à marée de Bili-Gwenn
La Bretagne est le pays des moulins à marée. Ils étaient nombreux dans les estuaires à utiliser cette énergie naturelle produite par le marnage (variation de la hauteur d'eau entre marée basse et marée haute). Le moulin de Cosquer est situé sur la rive droite du Jaudy, entre Tréguier et La Roche-Derrien (désormais La Roche-Jaudy) au lieu-dit Bili-Gwenn. L'origine du moulin date du 15e siècle. Un quai sur le Jaudy permettait l'accostage de bateaux chargés de blé qui, en échange, recevaient de la farine. Le moulin de Cosquer a moulu sa dernière farine en 1989. Hervé Thomas était le dernier meunier de moulin à marée de Bretagne. Il nous raconte ici le fonctionnement et l'histoire contemporaine de ce moulin, laquelle se confond avec sa propre histoire

Par : TV Trégor

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16èmes Rencontres Trans Musicales
EDITONe pas parler à tort et à travers.Ne pas croire à tout ce qu'on voit et tout ce qui est apparent.Ne pas croire à tout ce qui est dit.Voici la symbolique tirée de la philosophie de Confucius.Comme ces trois singes posés sur le bord de la Bretagne.Trois singes, trois jours et trois nuits. Pour des Rencontres Trans Musicales fondées cette année sur la tolérance, l’harmonie et l'anti-fanatisme.Rennes devenant ville mosaïque. Ville archipel de lieux vivants.Des couleurs musicales dans chaque salle, dans chaque quartier dans chaque bar.Une jungle de labels innovateurs, d'artistes et de performers vont nous entourer de guirlandes illuminées.Pour finir dans un croisement étoile d'une dernière nuit Ethniks 2 Techniks.Avec cette envie folle, à l’aube de chaque matin, de devenir nomade.L’EQUIPE DES TRANS MUSICALES

Par : Association Trans Musicale

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Ancien manoir
Mise en oeuvre mixte en moellon de grès et de quartzite couvert d´un enduit, encadrement des baies en microdiorite quartzique (sauf pour les portes au nord, en kersantite), encadrement des fenêtres du pavillon ouest en kersantite, porte en microdiorite quartzique.Plan double en profondeur (quatre pièces par niveau : cuisine, salle à manger, salon et bureau au rez-de-chaussée ; chambres à l´étage). Au nord, tour hors-oeuvre ayant abrité un escalier en vis (détruit après guerre) auquel un pavillon a été ajouté contre le pignon ouest (à usage de salon au rez-de-chaussée, chambres à l´étage). Cheminée monumentale sur le pignon ouest du bâtiment principal qui conserve les piédroits d´origine à larges chanfreins avec boules et griffes.Implanté dans un secteur anciennement boisé (d´où le toponyme « Lescoat » qui signifie « lieu noble » et « bois » en breton), à 200 mètres au nord du vallon de Kerloc´h en flanc sud, l´ancien manoir, attesté dès 1426 dans les réformations de la noblesse, aurait été construit par les seigneurs de Poulmic. C'est vraisemblablement une partie du logis du 16e siècle qui figure sur le cadastre de 1830, à proximité d'un village comptant plusieurs feux. L´ensemble a été profondément remanié au milieu du 19e siècle par Alain Le Bastard de Mesmeur, historien et éditeur ; la propriété comprenait alors plusieurs hectares de bois, la demeure agrandie servant de résidence de chasse, une cour flanquée d'écuries et de chenils, le tout enclos de murs et accessible par un portail. La partie est du logis, reconstruit au milieu du 19e siècle, conserve quelques vestiges de l´ancien manoir du 16e siècle (tour d´escalier, fenêtres à traverses bouchées sur le pignon est, portes, cheminée monumentale). Le pavillon ouest semble remonter à la fin du 19e siècle ou au début du 20e siècle. Les vestiges de l'enfeu de la famille Gouandour-Moëllien (16-17e siècle) provenant de l´église paroissiale Saint-Pierre de Crozon ont été en partie remonté à Lescoat (cour, jardin, vestibule du logis). Le portail à l´entrée de l´allée d´accès, daté 1582, provient du manoir de Treyer (Crozon). Les vestiges de l'abri passif aménagé dans le jardin date de l´occupation allemande durant la Seconde Guerre mondiale.
Auteur(s) du descriptif : Douard Christel ; Maillard Florent ; Tanguy-Schröer Judith

Par : L'inventaire du patrimoine

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Carte peinte : les Conseils
Dom Michel nous montre les Amériques dans la carte des Conseils. Divers navires sont représentés sur cette carte. Les premiers, pilotés par le Christ lui-même, « portent des chrétiens vertueux, et sont chargés de précieuses marchandises, c’est-à-dire de la grâce sanctifiante, des dons du Saint-Esprit, et des vertus infuses qu’on reçoit avec le baptême, aussi bien que des grands mérites que ces âmes ont acquis depuis par leurs bonnes œuvres. Le port et le royaume où elles tendent tous, c’est le séjour des bienheureux » (Verjus, livre VIII, chap. 4). D’autres bateaux ont fait naufrage ; ils embarquaient des chrétiens qui ont perdu par leurs péchés mortels la grâce du baptême. D’autres encore voguent sans cap : ceux des païens, hérétiques et schismatiques. Certains navires veulent faire le tour de la terre en passant « par le détroit de Magellan, où il arrive de fréquents naufrages ». C’est pourquoi il serait bien plus sage de percer un passage à travers l’isthme de Panama. D’où deux petits personnages s’affairant sur la carte à ouvrir cette bande de terre, large de « trois lieues », croit savoir dom Michel, ce qui lui permet d’en donner un sens symbolique. Ces trois lieux signifient trois sortes de vices : concupiscence de l’honneur mondain, de la volupté des corps, et des richesses transitoires... De nombreux détails permettent également de donner toute une catéchèse sur la vie chrétienne, les commandements à observer, les vertus à pratiquer, afin de parvenir à l’Île fortunée ou « séjour des Bienheureux ». Celle-ci comporte trois promontoires. La voie la plus exigeante conduit vers le bourg dit Altum consilium. Elle est périlleuse pour ceux qui ont présumé de leurs forces et se sont engagés imprudemment dans la vie religieuse. Ils risquent de faire naufrage. La seconde voie, plus réaliste, vise la pointe du Petit Conseil (Minus Consilium). Il suffit de suivre avec persévérance les conseils de l’Evangile pour arriver à bon port, et au pire, si la marée et le vent sont contraires, le chrétien parviendra non pas « où il voulait, mais bien où il fallait et suffisait pour le sauver ». Le troisième cap est celui des commandements de Dieu et de l’Eglise : mais « si l’on ne prend son fil, comme pour arriver à la seconde pointe, il y a un courant d’eau si rapide qu’on n’arrive pas même à la troisième pointe » (Verjus, livre VIII, chap. 4).

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Prieuré de Saint-Guen, puis ferme, actuellement ma
Logis-étable en moellon à comble à surcroît, couvert en ardoise.Occupation ancienne du lieu par les moines bénédictins de l'abbaye de Saint-Gildas-de-Rhuys qui fondent le prieuré au XIe siècle sur un fief que leur avait concédé Alain III, duc de Bretagne. Les religieux y eurent une maison pour leur logement et une chapelle pour célébrer les offices, dédiée à saint Guénael (par contraction saint Guen). A une certaine époque, l'occupation du prieuré est suspendue par l'abbé de Saint-Gildas qui fait rentrer les religieux dans leur monastère. Le prieuré est alors confié à un prieur qui malgré son absence perçoit les revenus au profit de l'abbaye. Il passe à partir du XVIe siècle entre les mains d'abbés commandataires ou de prêtres séculiers qui réussissent à se faire confier ce bénéfice. Le prieuré comprend les métairies de La Villeneuve, de Saint-Guen située en face du prieuré, de La Bouverie situés à côté de l'enclos, la terre du Cosquer, les terres du Poulprio, un moulin à Saint-Avé, des immeubles rue Madame Lagarde et un moulin au bas de la Garenne, propriétés qui s'aliénent dans le temps. Une pierre en remploi dans le pignon ouest de l'édifice sur l'avenue rappelle l'existence du prieuré : Mr Rago syndi de : 1689, de même que le portail de l'ancienne chapelle démolie du prieuré remonté auprès de l'église Saint-Guen. A la Révolution, l'enclos et la métairie de Saint-Guen sont vendus en 1791 à M. Dupré pour 10825 livres. En 1861 d'après la série S1552 des AD 56, c'est une propriété appartenant à monsieur Dulaurens de la Barre. Le plan dressé à l'occasion de sa demande de reconstruire le mur du jardin ou de réparer le chaperon du dit mur et d'ouvrir une porte cochère vers le milieu de ce mur signale à l'endroit de l'édifice repéré une étable qui correspond à la première partie de la ferme se situant devant une cour donnant sur l'ancien chemin de Saint-Guen.L'ancienne ferme a fait l'objet ces dernières années d'une extension sous la forme d'une véranda en façade postérieure.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Lainé Claire

Par : L'inventaire du patrimoine

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Porte dite porte Prison, anciennement porte Saint-
Porte édifiée en granite appareillé composée d'une tour ronde flanquée d'un corps de bâtiment de plan rectangulaire, au sud ; l'édifice est longé à l'ouest par une courtine qui jouxte les vestiges de l'ancienne tour sud ; la porte comprend 2 étages carrés surmontés de combles. L'ensemble montre la légère avancée du deuxième étage et côté sud un arrachement consécutif à la démolition de la tour en 1886. Le corps central est couvert d'une toiture à longs pans et la tour d'une toiture conique.Il est caractérisé par une porte charretière sous arc brisé et une porte piétonne. En façade ouest, les passages du corps central décrivent des arcs en plein cintre. Les rainures qui surmontent ce double passage montrent que la porte était commandée par un double système de ponts-levis fermant la porte charretière et le passage piéton dévié en chicane. Il s'agit de ponts-levis à balanciers mus par de longues flèches de bois qui viennent s'encastrer dans les hautes rainures visibles au-dessus des passages. Une herse coulissante fermait à l'arrière le sas. Porte et tour sont dotées de mâchicoulis sur consoles en forme de pyramides renversées formant arcs brisés.Les façades ne sont pas ordonnancées.Les niveaux supérieurs de la porte sont accessibles depuis un escalier droit inséré côté nord entre la courtine ouest et l'immeuble voisin. Une deuxième volée mène à la courtine nord jouxtant le corps de garde ainsi qu'à celle longeant la façade ouest et les vestiges de la tour sud démolie.Les intérieurs sont constitués de salles de garde. Les salles du rez-de-chaussée sur sol en terre battu sont voutées en plein-cintre. Le toit de la tour nord comprend une enrayure.L'ancienne voie romaine traversant le castrum d'Ouest en Est passait probablement au voisinage direct de la porte, supposée permettre l'accès à la cité dès le III-IVe siècles depuis le faubourg Saint-Patern qui se développait sur la colline de Boismoreau et où s'étendait la ville antique avant son repliement dans l'enceinte fortifiée. Pour preuve, les vestiges de l'enceinte gallo-romaine en place à proximité de la porte, rue Francis Decker.Un édifice médiéval fait suite à ce passage de la ville antique. Il est élevé au XIIIe siècle, sous Jean II. Cette première campagne comporte la porte proprement dite et la partie antérieure de son passage fermée par une herse.La deuxième campagne intervient sous jean IV, au cours de la seconde moitié du XIVe siècle. On dote la porte d'un pont-levis à bascule, d'une poterne pour le passage des piétons et d'un grand arc de décharge surbaissé qui les surmonte.On attribue la troisième campagne à Jean V. Elle consiste en la réfection des parties hautes rehaussées de mâchicoulis sur consoles formant arcs brisés. La porte est aussi renforcée d'après les textes anciens à cette époque par une barbacane, défense avancée permettant de protéger les entrées rendues plus vulnérables par le progrès de l'artillerie à feu.Sous François II ou Anne de Bretagne, on insère entre les rainures du pont-levis, un écu sculpté aux armes de Bretagne.De la fin du 18e siècle au début du 19e siècle, la porte sert de lieu d'incarcération pour les hommes et prend alors le nom de porte Prison. Des plans sont dressés à cette occasion par l'architecte Brunet-Debaines en 1811. La seconde moitié du 19e siècle voit l'aliénation de l'édifice à des propriétaires privés qui n'ont pas toujours les moyens de l'entretenir. En 1886, la tour sud est démolie exception faite d'une partie de son rez-de-chaussée et du parement extérieur de son niveau inférieur qui sert d'appui à la maison voisine. En 1912, la porte Prison est classée Monument Historique et est achetée par la ville en 1934. La porte a fait l'objet de plusieurs restaurations : en 1972-1975, on refait les toitures et l'aménagement intérieur ; en 1985-1987, c'est la tour sud et la courtine adjacente qui sont dégagées afin d'y rétablir un cheminement ouvert l'été pour les promeneurs. L'ensemble a fait l'objet en 2010-2011 d'une restauration importante.
Auteur(s) du descriptif : Lainé Claire ; Toscer Catherine ; Mauvais Marion

Par : L'inventaire du patrimoine

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Château du Tiercent
L'ensemble castral, implanté à l'est de l'église Saint-Martin, est composé d'un donjon et de ruines, d'un petit logis, dit Chambre des Coëtlogon, du grand logis, des anciennes écuries et de l'ancienne métairie au nord.Le donjon, implanté au sud du grand logis, au coeur du parc, est doté de trois niveaux. Il est percé de jours d´escalier au nord et de deux fenêtres, une au sud et une au nord. Il est encore couronné de mâchicoulis et d´un mur en surplomb et possède une cheminée.Le grand logis est implanté au nord du parc à l´anglaise et offre sa façade principale au sud.La façade, sobre, est rythmée par six travées de fenêtres sur trois niveaux. Le bâtiment est doté d'un étage carré et de combles mansardés, avec les lucarnes des combles à fenêtres en plein cintre et couronnées d'une boule en granite. Les fenêtres possèdent une croisée en bois reprenant le décor des fenêtres de l'ancien château.Le corps central du bâtiment, en avancée, est percé de deux travées de fenêtres, à arc en anse de panier au rez-de-chaussée alors que les piédroits portent des pilastres. Le fronton, également à arc en anse de panier, est percé de deux oculi ovales, doté d´un cadran solaire et est surmonté d´un pot à feu. L´ensemble de la façade principale est en pierre de taille et couronnée d´une corniche en granite.La toiture, couverte en ardoises est dotée de quatre souches de cheminées, dont deux sur les murs pignons et une sur chaque pan de toiture.Parmi les autres éléments du lieu, on peut noter le pavillon du cocher, à l´est, qui abritait l´écurie et les calèches, ou encore la métairie, au nord du logis.Cette dernière, étaient composée de deux logements. Certaines modifications ont été apportées, notamment la transformation d´une porte en fenêtre. On trouve en décor les éléments traditionnels, notamment la présence de cavet au niveau des encadrements. Un fournil, une grange et une soue à cochons complètent les éléments à vocation agricole de l'ensemble.Les écuries sont composées d'un corps de bâtiment central et de deux ailes en retour d'équerre en façade principale. Chacune de ces ailes est percée d'une porte charretière au rez-de-chaussée et d'une fenêtre à l'étage, organisation qui est reprise pour la partie centrale du bâtiment, la fenêtre de l'étage étant remplacée par une lucarne interrompant l'avant-toit. La toiture, à longs pans, est couverte en ardoise, tandis que les pignons des ailes sont couverts. Cette construction ne dispose pas de décor particulier, mais offre toutefois la particularité d'être agrémentée ici et là de pierres anciennes en réemploi, on trouve notamment les armoiries des seigneurs du Tiercent et une tête sculptée.Le château du Tiercent est implanté sur un site ancien, certaines sources évoquent même la présence d´un ancien castel romain à cet endroit. Son implantation sur une hauteur, dominant la Minette et la route menant à Saint-Brice-en-Coglès, qui courent en contrebas pourrait appuyer cette hypothèse.On ne peut toutefois affirmer qu´avec certitude l´existence d´un château primitif au 12e siècle, érigé par les seigneurs du Tiercent, connus depuis 1155. La famille éponyme, fondatrice de la seigneurie en resta propriétaire jusqu´au début du 17e siècle.Au début du 15e siècle, on reconstruit l'ancien château, dont les ruines actuelles (le donjon) sont les derniers éléments. Cette nouvelle construction fut appelée par la suite Vieilles Salles. P. Banéat nous informe qu'il existait encore au 19e siècle une porte en arc brisé et une fenêtre à meneau et traverse mitoyennes du donjon, le tympan de la porte était doté de deux écussons. On trouve encore sur le cadastre de 1833 la présence d'un long bâtiment perpendiculaire aux Vieilles Salles et au donjon, aujourd'hui disparu.Le logis existant, appelé chambre des Coëtlogon, est plus récent et certainement du 16e siècle. Il a subi beaucoup de modifications au cours des deux derniers siècles, cependant, il reste une partie de fenêtre à meneau sur la partie conservée et un ancien pan de mur en ruines, avec fenêtre à coussiège et porte en anse de panier.Le bâtiment principal fut construit après l'acquisition de la seigneurie par Gilles de Ruellan, déjà seigneur du Rocher Portail, en 1602. Ce personnage atypique, fils de Jean III de Ruellan, capitaine baron de Fougères, fut tour à tour trafiquant d'armes, puis fermier général, conseiller d'Etat et un proche du cardinal de Richelieu et du roi Henri IV, qui érigea la seigneurie du Tiercent en baronnie en 1608. La fortune de Gilles de Ruellan, considérée par Richelieu comme "colossale", lui permit de construire dans le pays de Fougères les châteaux du Tiercent, de la Ballue, du Rocher-Sénéchal et de Monthorin. L'intérieur du logis principal a largement été modifié jusqu'à une période récente mais il conserve cependant des éléments de décor des 17e et 19e siècles bien conservés. C'est certainement au cour du 17e siècle que fut construite la ferme au nord du grand logis, elle dispose en effet d'une façade typique de cette époque, bien qu'elle ait subi des modifications au 19e siècle. La dernière construction fut l'édification des écuries. Que ce soit la mise en oeuvre de la maçonnerie ou la toiture, tout nous indique une construction de la toute fin du 19e siècle ou du début du 20e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Le Bohec Régis

Par : L'inventaire du patrimoine

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Mandements, Lettres et Circulaires de Mgr Nouvel

Ce recueil contient les documents suivants :

Lettre du Vicaire Capitulaire, Annonçant le sacre de Dom Anselme NOUVEL, Évêque de Quimper et de Léon qui aura lieu au Monastère de Sainte-Marie de la Pierre-qui-Vire, le dimanche 4 février,
[30 janvier] 1872,

Lettre Pastorale N° 1 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon à l'occasion de son entrée dans son Diocèse, Dom Anselme Nouvel, de l'ordre de Saint-Benoît, de la Congrégation du Mont-Cassin de la primitive Observance. Par la grâce de Dieu et du Saint-Siège apostolique, Évêque de Quimper et de Léon, au Clergé et aux Fidèles de Notre Diocèse, Salut et Bénédiction en Notre-Seigneur Jésus-Christ, [15 février] 1872, p. 14.

Lettre N° 2 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, annonçant qu'une Souscription nationale a été ouverte pour procurer la libération de la partie du territoire encore occupée par les troupes allemandes, [20 février) 1872,

Lettre N° 3 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, annonçant que le moment est venu de remplir une des plus importantes et des plus douces obligations de sa charge pastorale, en visitant les Églises du diocèse, à l'exemple du bon Pasteur, [12 mars] 1872, p. 3.

Avis : 1- autorisant MM. les Recteurs à se faire aider par les prêtres employés dans le diocèse et même par les ecclésiastiques des diocèses voisins, qui voudraient bien les seconder,

2- Nous exprimons le désir que l'on ne nous adresse pas de compliment à notre arrivée dans les paroisses,

3- Nous prions MM. les Recteurs de déposer dans la chambre que nous devons occuper, le registre des délibérations du Conseil de fabrique,

4- Nous recommandons, avec la plus vive instance, les oeuvres pour l'assistance de Notre Saint-Père le Pape.

Tableau de la Visite Pastorale et des Confirmations en 1872, [12 mars] 1872,

Lettre N° 4 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, exprimant que la Visite Pastorale qui vient de terminer laissera dans son esprit de doux souvenirs, [29 juin] 1872,

Lettre Pastorale N° 4 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, prescrivant les prières demandées par l'Assemblée nationale, pour appeler la bénédiction de Dieu sur ses travaux, [1er novembre] 1872, p. 7.

Lettre N° 5 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, annonçant le décès de l'abbé Évrand, Vicaire Général et le recommandant aux prières de tous les Fidèles, [16 décembre] 1872,

Mandement N° 5 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon pour le Carême de 1873, [2 février] 1873, p. 16.

Lettre N° 6 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, annonçant la prochaine Visite Pastorale, désireux de connaître, le plus tôt possible, toutes les parties du Diocèse, [6 mars] 1873,

Tableau de la Visite Pastorale et des Confirmations de 1873, [6 mars] 1873,

Lettre N° 7 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, invoquant de nouvelles obligations qui sont imposées par les dangers qui menacent les Pasteurs et les brebis, un besoin de généreux efforts pour conserver la foi et les moeurs pures qui font encore l'ornement et la gloire de notre pays, [7 mars] 1873,

Lettre N° 8 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, évoquant la douce impression que le pèlerinage au sanctuaire vénéré de Notre-Dame du Folgoët avait laissé dans les esprits et dans les coeurs, rappelant aussi le Denier de Saint-Pierre, [23 juin] 1873, p.2.

Lettre de Pie IX, Pape, remerciant Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon de sa lettre du [29 mai] par laquelle il annonce l'heureuse issue du pieux pèlerinage fait au sanctuaire de Notre-Dame du Folgoët, au milieu d'un concours immense de fidèles et avec les démonstrations de la plus grande piété, [14 juin] 1873, p. 4.

Lettre N°9 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, rappelle sa lettre pastorale du 7 mars dernier par laquelle il parlait des dangers qui menacent la foi et la vertu de ses pieuses populations. Il évoque aussi le bonheur des entretiens durant la Visite Pastorale, révélant la ferme volonté de réponde à la grâce conférée par l'imposition des mains.

Parlant aussi des deux retraites ecclésiastiques au Grand Séminaire de Quimper, des prochains examens des jeunes prêtres. Heureux de voir un grand nombre de Prêtres inscrits pour l'examen ordonnait conformément au décret du Concile de Rennes, [2 juillet] 1973, p. 4.

Lettre Pastorale de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, prescrivant un triduum de prières publiques pour l'Église et pour la France, [2 août) 1873,

Lettre Pastorale de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, prescrivant les prières demandées l'Assemblée nationale, cette dernière se réunissant dans peu de jours a une grande et par solennelle mission à remplir. Elle doit fonder les institutions qui serviront à la régénération morale et religieuse de la France, [24 octobre] 1873,

Lettre N° 14 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, annonçant que pour la 1ère fois, une élection à l'Assemblée nationale doit avoir lieu dans le département du Finistère, le dimanche 14 décembre prochain. Recommandant aux Curés l'exactitude de la population à se rendre aux assemblées électorales, [1er décembre] 1873,

Lettre N°15 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, qui annonce que l'Église d'Autun est dans le deuil. L'Évêque que la Bretagne lui avait donné il y a quelques mois, Mgr de Léseleuc de Kerouara vient de lui être enlevé par un de ces coups soudains de la mort. Il recommande son âme à la reconnaissance et à l'affection de chacun, [19 décembre] 1873,

Mandement N° 16 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, pour le Carême de 1874, [4 février] 1874, p. 14.

Tableau de la Visite Pastorale et des Confirmations de 1874,

Lettre Pastorale N° 17 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, concernant la réalisation d'une Église dédiée au Sacré-Coeur de Jésus à Paris. Ce monument qui s'élèvera dans la Capitale sera construit au nom de tous et dans l'intérêt de tous. Son Éminence le Cardinal-Archevêque de Paris s'est adressé à nous pour demander notre concours à cette oeuvre, c'est pourquoi, le moment nous semble venu de solliciter vos offrandes, [1er mai] 1874,

Lettre N°18 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, annonçant la fin de la Visite Pastorale, accueilli partout avec respect et avec amour comme celui qui vient au nom du Seigneur. Évoquant aussi la prochaine visite Ad Limina Apostolorum qui se fera après les retraites ecclésiastiques et les examens des jeunes prêtres au Grand Séminaire de Quimper, [29 juin] 1874,

Lettre Pastorale N° 19 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, prescrivant les prières demandées par l'Assemblée nationale, [18 novembre] 1874,

Mandement N° 20 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, pour la publication du Jubilé accordée par Notre Saint-Père, le Pape Pie IX et pour le Saint Temps du Carême de l'année 1875,[18 janvier] 1875, p. 12.

Lettre encyclique du Saint-Père, le Pape Pie IX, [24 décembre] 1874 p. 12-20.

Lettre Pastorale N° 21 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, au Clergé du Diocèse à l'occasion du Jubilé. Il évoque la lettre encyclique du Saint-Père qui a accordé l'Indulgence plénière du Jubilé à tous les fidèles de monde catholique, p. 5.

Lettre du Saint-Père, le Pape Pie IX, p. 1-16.

Tableau de la Visite Pastorale et des Confirmations pour 1875 [18 janvier] 1875,

Lettre N° 21 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, évoquant le mandement pour le Carême de 1852 : Monseigneur Graveran, de douce et heureuse mémoire, plaça sous la protection miséricordieuse du Sacré-Coeur de Jésus, le Diocèse de Quimper et de Léon et lui consacra solennellement le peuple de Quimper et de Léon. Désormais nous offrirons nos hommages et nous nous consacrerons au divin Coeur de Jésus dans une prière que, dans toutes les langues de la terre et sous tous le climats, les enfants de la Sainte Église Catholique adresseront au ciel, affirmant ainsi l'unité de leur foi et l'unanimité de leur amour pour Notre Seigneur Jésus-Christ. Cette prière, nous la réciterons tous, au pied des saints autels, le 16 juin prochain, [19 mai] 1875,

Decretum p. 4.

Acte de Consécration au Sacré Coeur de Jésus approuvé par décret de la S. Congrégation des Rites du [22 avril] 1875,

Lettre N° 22 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, évoquant les fruits admirables de sanctification que produisent les missions et retraites données dans les différentes paroisses du Diocèse pour procurer aux fidèles la grâce du Jubilé. Il annonce également les dates des prochaines retraites ecclésiastiques et les dates des examens des jeunes Prêtres qui auront lieu cette année au Grand Séminaire de Quimper, [22 juin] 1875,

Lettre N° 23 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, provenant du Monastère de Sainte-Marie de la Pierre-qui-Vire où il s'est retiré pour une retraite, qu'il évoque les malheurs et les désolations de plusieurs départements du Sud-Ouest de la France, ravagés par les inondations. Il fait appel à la charité Catholique et sollicite l'aumône des Chrétiens, (une quête aura lieu le plus tôt possible aux offices du dimanche dans toutes les Églises du Diocèse), [4 juillet] 1875,

Lettre Pastorale N° 24 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, prescrivant les prières demandées par l'Assemblée nationale (au moment où celle-ci reprend ses séances, [21 octobre] 1875,

Mandement et Lettre Pastorale N° 25 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, pour le Saint Temps du carême de l'année 1876, [15 février] 1876, p. 1-17.

Tableau de la Visite Pastorale et des Confirmations pour 1876, [15 février] 1876,

Lettre Pastorale N° 26 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, prescrivant des prières demandées par l'Assemblée nationale. Il rappelle que dans la Loi du 16 juillet dernier, une circulaire de M. le Ministre de l'Instruction publique et des Cultes, l'Assemblée nationale a demandé que chaque année, le Dimanche qui suivrait la rentrée du Sénat et de la Chambre des Députés, des prières publiques fussent adressées à Dieu dans toutes les Églises. [27 février] 1876,

Lettre N° 27 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, transmettant avec bonheur la bénédiction Apostolique de notre bien-aimé Pontife (après lui avoir fait connaître le zèle vraiment sacerdotal de son Clergé l'année dernière, [29 mars] 1876,

Lettre du Saint-Père, Pie IV,

Lettre N° 28 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, invitant le plus grand nombre de Prêtre à suivre cette année, les exercices de la retraite ecclésiastique. (Pour rendre plus facile le renouvellement dans le Clergé de l'Esprit Sacerdotal) Annonce des Retraites ainsi que les dates des examens des jeunes Prêtres qui auront lieu cette année au Grand Séminaire de Quimper. [10 juin] 1876,

Lettre N° 29 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, concernant les vols nombreux commis dans les Églises du Diocèse, notamment dans celles de l'arrondissement de Brest. Il recommande instamment la vigilance la plus active pour prévenir de nouveaux malheurs et de se mettre en relation avec les autorités municipales. [16 octobre] 1876,

Lettre N° 30 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, évoquant la loi constitutionnelle du 16 juillet 1875, (chaque année, le Dimanche qui suivra la rentrée du Sénat et de la Chambre des Députés) des prières publiques seront adressées à Dieu pour appeler son secours sur les travaux de ces Assemblées. Les dispositions suivantes sont arrêtées : des prières seront faites le Dimanche 14 janvier dans toutes les Églises et Chapelles du Diocèse... [2 janvier] 1877,

Mandement N° 31 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon pour le Carême de 1877, [20 janvier] 1877, p. 4-14.

Tableau de la Visite Pastorale et des Confirmations en 1877, [20 janvier] 1877,

Lettre N° 32 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, annonçant que les prières solennelles pour la rentrée du Sénat et de la Chambre des Députés (suivant la loi constitutionnelle) devront avoir lieu le Dimanche 13 janvier prochain, [1er janvier] 1878,

Lettre N° 32 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, indiquant que, suite à la loi des finances du 29 décembre dernier, les formalités à remplir pour la délivrance aux desservants et aux vicaires de leur mandat de traitement se sont multipliées. Il précise qu'il a reçu de M. le Ministre de la Justice et des Cultes, des instructions qui ont pour but de faciliter l'application de cette disposition législative. Il recommande à chacun de veiller à ce qu'il leur soit délivré un certificat de résidence, tous les trois mois. [16 février] 1877, p. 2-3.

Lettre Pastorale N° 33 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, à l'occasion du 50ème anniversaire de la Consécration Épiscopale du Souverain Pontife, [7 avril] 1877, p. 2-4.

            Lettre N° 34 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, évoquant la diminution des recettes et la crainte d'un grand déficit dans l'avenir. (Il en donne quelques causes), [16 juin] 1877,

Lettre N° 35 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, évoquant les retraites spirituelles des Prêtres et précisant les dates, [18 juin] 1877,

Mandement N° 36 de Mgr l'Évêque de Quimper et Léon, pour le Saint Temps du Carême de l'année 1878, [8 février] 1878, p. 4-14.

Tableau de la Visite Pastorale et des Confirmations de 1878, [8 février] 1878,

Lettre Pastorale N° 37 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, annonçant le décès du Saint-Père, le Pape Pie IV Après avoir consulté nos vénérables Frères les Chanoines et Chapitre de l'insigne Cathédrale de Quimper, nous avons ordonné et ordonnons ce qui suit : 7 articles (p. 3-4), [9 février] 1878,

Lettre N° 38 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, évoquant l'importance des Retraites spirituelles des Prêtres, ainsi que les dates d'examens des jeunes prêtres au Grand séminaire de Quimper, [22 juin] 1878,

Circulaire N° 39 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, (il est mentionné que cette dernière ne doit pas être lue en chaire). Par crainte de la propagation des mauvaises doctrines, Il demande une vigilance exacte, un travail incessant, un enseignement de l'Évangile mis à la portée de toutes les intelligences, un zèle actif dans l'accomplissement des devoir du Saint Ministère. Car on cherche à paralyser votre action, à détruire l'influence de votre parole, soit par une hostilité ouverte, soit par une opposition cachée ou des insinuations perfides... [20 septembre] 1878, p. 2-4.

Lettre N° 40 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, évoquant les observations qui ont été adressées par les Conférences réunies afin d'examiner le projet d'un nouveau Catéchisme, [19 novembre] 1878,

Lettre N° 40 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, concernant les prières solennelles que la loi constitutionnelle demande chaque année, le Dimanche qui suit la rentrée du Sénat et de la Chambre des Députés, pour appeler le secours de Dieu sur les travaux de nos Assemblées législatives. Elles devront avoir lieu le Dimanche 19 janvier. [8 janvier] 1879,

Mandement N° 41 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, pour le Saint Temps du Carême de l'année 1879, [2 février] 1879, p. 2-10.

Lettre Encyclique de Notre Saint-Père le Pape Léon XIII, à tous nos vénérables Frères, Les Patriarches, Primats, Archevêques et Évêques de l'univers catholique, en grâce et en communion avec le Siège Apostolique, [28 décembre] 1878, p. 11-19.

Tableau de la Visite Pastorale et des Confirmations de 1879,

Mandement N° 42 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, pour la Publication du Jubilé accordé par N. S. P. Le Pape Léon XIII, [26 février) 1879, [suivi de] Litterae Apostolicae de Léon XIII,

Lettre N° 43 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, parlant de la Visite Pastorale qu'il vient d'achever. Il souhaite que les Pasteurs restent vigilants en défendant avec une pieuse sollicitude, le troupeau confié. Il rappelle aux pères et mères de famille l'obligation dans laquelle ils étaient de veiller, dès l'âge le plus tendre à l'instruction religieuse et à l'éducation chrétienne de leurs enfants. Il évoque le nouveau catéchisme français, son intention d'aller dans le mois de septembre, rendre compte à Sa Sainteté Léon XIII, de l'administration du Diocèse. Il parle aussi des examens des jeunes prêtres, [21 juin] 1879,

Mandement et Lettre Pastorale N° 43 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon pour le Saint Temps du Carême de l'année 1880, [28 janvier] 1880. [suivi] du Tableau de la Visite pastorale et des Confirmations en 1880.

Lettre N°44 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, évoquant le commencement de la Sainte quarantaine, insistant de nouveau auprès des fidèles sur l'obligation dans laquelle, ils sont d'avoir de nos jours une connaissance plus solide des vérités chrétienne. Il invite ses très-chers Coopérateurs d'examiner devant Dieu si l'amour actif et pratique des âmes qui leur sont confiées ne demande pas de faire plus pour leur instruction chrétienne. Cet examen portera sur trois points : les catéchismes, les Oeuvres utiles à la persévérance des enfants, et les instructions que vous faites à la Grand-Messe paroissiale et à la messe du matin. [14 janvier] 1880.

Lettre N°45 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, relative à la gestion et à la comptabilité des Fabriques paroissiales, [14 janvier] 1880.

Epistola Encyclica du Saint-Père Léon XIII, [10 février] 1880, p. 2-12,

Lettre N°46 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, Kemennadurez an Aotrou'n Escop a gemper Hag à Léon, Evit Coraiz Ar Bloaz 1880, Carême 1880, [28 janvier] 1880.

Lettre N°47 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, évoquant la gravité des circonstances et les difficultés des temps dans lesquels nous sommes appelés à remplir notre mission, impose cette année deux retraites ecclésiales, et évoque également les examens des jeunes prêtres au Grand Séminaire de Quimper, [5 juin] 1880.

Lettre N°49 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, suite à la retraite ecclésiastique, nous vous adressons un nouveau règlement des conférences avec le programme des questions proposées à vos études pendant l'année 1881, [29 septembre] 1880.

Règlement pour les Conférences du Diocèse de Quimper, [29 septembre] 1880.

Lettre N°50 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, annonçant que l'Église de France est dans le deuil. Elle a vu dans les semaines qui viennent de s'écouler, la dispersion de ces communautés religieuses qui, fondées depuis de longues années, sur la demande des Évêques et avec la bénédiction du Souverain Pontife, étaient une source toujours féconde de bien spirituels et même temporels. Les Religieux ont été expulsés de leurs demeures, les monastères n'ont pas été épargnés. Mais nous avons aussi, Messieurs et très-chers Coopérateurs, un grand devoir à remplir. Il faut nécessairement que, dans une nation chrétienne, Dieu soit adoré, loué, glorifié, [18 novembre] 1880.

Lettre N°51 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, rappelant les prières demandées par la Loi Constitutionnelle, pour appeler le secours de Dieu sur les travaux de nos Assemblées législatives. Ces prières devront avoir lieu le Dimanche 16 janvier prochain, [11 janvier] 1881.

Mandement et lettre Pastorale N°52 de Mgr l'Évêque de Quimper et Léon, pour le Saint Temps du Carême de l'année 1881, [14 février] 1881, [suivi] d'un Avis ne devant pas être lu en chaire, et d'un autre pouvant l'être : l'annonce de la mort de M. Pouliquen, supérieur des retraites de Quimper. Ce décès oblige à ajourner la retraite bretonne pour les hommes.

Tableau de la Visite Pastorale et des Confirmation pour 1881, [14 février] 1881.

Lettre N°53 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, annonçant le Jubilé accordé par Sa Sainteté Léon XIII au monde chrétien emprunte, aux circonstances critiques et douloureuses dans lesquelles, il est publié un caractère spécial qu'il est de notre devoir de vous faire remarquer, parce qu'il vous impose de graves obligations. Aux grands maux de grands remèdes sont nécessaires. L'indulgence plénière en forme de Jubilé accordée aux fidèles, multipliera les prières et les oeuvres pieuses qui obtiendront à l'Église la force de combattre et le pouvoir de triompher, [25 mars] 1881.

Litterae Apostolice du Saint Père Léon XIII.

Lettre Pastorale N°54 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, annonçant l'appel du Souverain Pontife qui demande des prières publiques, ces supplications solennelles qui peuvent procurer au monde le salut et la paix, [25 mars] 1881,

Mandement et lettre Pastorale N°55 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, pour le Saint Temps du Carême de l'année 1882, [2 février] 1882, [suivi] d'un avis pour la Confirmation,

Tableau de la Visite Pastorale et des Confirmations pour 1882, [2 février] 1882.

Lettre de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, annonçant l'envoi du programme des Conférences n rappellent qu'il attend toujours les rapports des Conférences de l'an passé, (2 mars] 1882, [suivi] du détail des conférences de l'année 1882 [1er mars] 1882,

Lettre N° 56 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, rappelant qu'il est pour tous un devoir de méditer, Une législation nouvelle ne permet plus d'enseigner aux enfants, dans les écoles primaires, leurs devoirs envers Dieu. Elle supprime l'obligation de l'Instruction religieuse, [4 mai] 1882, p. 3-15.

Lettre N° 57 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, évoquant les Retraites pour méditer. Et annonce les dates d'examens des jeunes prêtres. Il parle également de sa dernière Lettre Pastorale sur l'Instruction chrétienne des enfants, [24 juin] 1882.

Lettre N° 58 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, annonçant le décès de M. l'abbé Jégou, Vicaire Général, [14 novembre] 1882, p. 3-4.

Lettre N° 59 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, annonce l'envoi d'un rapport émis par la Commission des Conférences ecclésiastiques, ainsi que les modifications apportées au règlement, [6 janvier] 1883, p. 2-3.

Lettre de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, annonçant les prières demandées par la loi constitutionnelle, pour appeler le secours de Dieu sur les travaux des Assemblées législatives. Ces prières devront avoir lieu le Dimanche 14 janvier prochain, [6 janvier] 1883.

Lettre Pastorale N° 60 et mandement de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, pour le Carême de l'année 1883, [20 janvier] 1883, p. 2-12. [suivi] d'un avis, sur décision du Saint-Siège, prescrivant de faire revivre l'ancien usage des parrains de Confirmation. Mgr rappelle à MM. Les Curés et Recteurs les recommandations, concernant la sécurité du Saint Tabernacle et de la Sacristie.

Une circulaire du Ministre de l'intérieur et des cultes en date du 22 décembre dernier, rappelle l'article 55 du décret du 30 décembre 1809 sur l'obligation d'un inventaire général et d'un recollement annuel des objets religieux, (un double devant être déposé à la mairie).

Mgr rappelle à MM. Les Curés et Recteurs d'annoncer les Retraites.

Les prêtres, ordonnés le 16 mars 1872, pourront se présenter à l'examen de cette année.

Tableau de la Visite Pastorale et des Confirmations en 1883,

Lettre N° 62 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, évoquant l'enseignement de la doctrine chrétienne. Ceci est une question de vie ou de mort pour les populations auxquelles vous avez, sur la vocation de Dieu, consacré votre vie. Vous avez fait appel à votre zèle pour chercher dans toutes les classes de la société et dans tous les villages de vos paroisses, des catéchistes volontaires, votre voix a été entendue par nos populations chrétiennes.

Mgr, parle également d'une Archiconfrérie placée sous la protection de son Éminence le Cardinal Vicaire a été établie à Rome dans l'église de Notre-Dame-des-Larmes (La confrérie est une association de prières, d'oeuvres et d'aumônes).

Pour recueillir ces aumônes, vous pourriez établir cette oeuvre de la même manière que fonctionne l'oeuvre de la Propagation de la foi. [2 mars] 1883.

Église Cathédrale de Saint-Corentin de Quimper, Confrérie de la doctrine Chrétienne, [suivi] du développement de cette confrérie et des Indulgences).

Lettre N°63 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, (rapport suite à sa Visite Pastorale), [20 juin] 1883.

Lettre Pastorale N° 65 et Mandement pour le Carême de l'année 1884, [10 février] 1884, p. 4-13. [suivi] de notes diverses : Notre Saint-Père le Pape Léon XIII, dans un bref communiqué du 24 décembre 1883, rappelle avec quelle piété le monde catholique répondant à son appel a, dans le mois d'octobre dernier, imploré le secours de la Trés-Sainte Vierge, contre les ennemis de la religion.

Chaque dimanche et chaque jour de fête dans les églises paroissiales, il ordonne que dans les litanies de la Sainte-Vierge, on ajoute des invocations.

Mgr l'Évêque exhorte vivement MM. Les Curés et Recteurs et Aumôniers à se conformer aux désirs exprimés par le Souverain-Pontife.

Par un autre décret du 6 janvier 1884, Notre Saint-Père le Pape Léon XIII, ordonne à tous les prêtres de réciter à genoux, à la fin de chaque messe basse, les diverses prières enrichies d'une indulgence de 300 jours, ceci pour obtenir les bienfaits de la miséricorde divine.

(Suivi] d'un avis : Rappel de la décision du Saint-Père de faire revivre l'ancien usage des Parrains de Confirmation. Rappel pour la sécurité dans les églises et d'annoncer les Retraites. [suivi] de quatre pages en Latin].

Tableau de la Visite Pastorale et des Confirmations en 1884, [10 février] 1884.

Lettre N° 66 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, évoquant les renseignements reçus, suite aux différentes demandes exprimées dans sa dernière circulaire. Donnant en P.S. Deux précisions : l'autorité municipale étant autorisée à faire sonner les cloches pour la fête du 14 juillet, vous donnerez l'ordre à vote sacristain de faire les sonneries demandées. Par contre, dans le cas où, en vertu de la nouvelle loi municipale, on vous demanderait la clef du clocher ou de l'Église, vous répondrez que vous ne pouvez pas le faire sans mon autorisation et vous auriez soin de m'en référer, [21 juin] 1884.

Lettre Pastorale N° 66 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, sur la Franc-Maçonnerie. Il parle des avertissements que Léon XIII, Le Vicaire de Jésus-Christ sur la terre, vient de donner dans une encyclique adressée à tous les Évêques de la chrétienté, pour vous prémunir contre les doctrines et les manoeuvres impies de la Franc-Maçonnerie et des autres sociétés secrètes qui ont les mêmes tendances et partagent les mêmes erreurs. Cette dernière est sous la puissance de Satan et obéit à ses inspirations. Ses membres méprisent la loi divine et multiplient leurs efforts pour se passer de Dieu, ou même pour agir directement contre Dieu, [20 août] 1884, p, 2-10.

En P.S. De cette lettre, Le Souverain-Pontife, pour réparer les outrages et les blasphèmes proférés par l'impiété contre la Mère de Dieu, demande un Triduum de prières qui auront lieu les 6, 7 et 8 septembre,

De Secta Massonum – Epistola Encyclica (lettre en latin de Saint-Père Léon XIII, [30 août] 1884, p. 12-23.

Lettre Pastorale N° 68 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, évoque une Encyclique adressée à tous les Évêques du monde catholique, pour demander à votre pitié les prières qui avaient été adressées l'année dernière à la Très-Sainte Vierge pendant le mois du Rosaire, [15 septembre] 1884.

Lettre Pastorale N° 69 et Mandement de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, pour le Carême de l'année 1885, [30 janvier] 1885, p. 2-13. [suivi] d'un avis : décision du Saint-Siège qui prescrit de faire revivre l'ancien usage des parrains de Confirmation, puis rappel des recommandations faites pour la sécurité du saint tabernacle et de la sacristie. MM. Les Curés et Recteurs doivent annoncer les Retraites avec d'autant plus d'exactitude que des modifications ont été apportées à l'époque de ces exercices.

Tableau de l'itinéraire de la Confirmation pendant l'année 1885, [30 janvier] 1885.

Lettre N° 71 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, qui évoque que la conduite du clergé du diocèse est gravement incriminée par les ennemis de l'Église. Mais dit-il, ces accusations n'ont aucun fondement, et je suis heureux de vous rendre ce témoignage. Il évoque aussi qu'une seule retraite ecclésiastique commencera au Grand Séminaire de Quimper, le dimanche 16 août, à 6 heures du soir. Il joint également le règlement sur la sonnerie des cloches, arrêté conformément à la loi du 5 avril 1884. [29 juin] 1885.

Lettre N° 72 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, évoquant la demande du Saint-Père, le Pape Léon XIII, la continuation des prières qui, dans les deux dernières années, on été adressées à la Très-Sainte Vierge, pendant le mois du Rosaire. Les Périls qui menacent l'Église et la Société sont toujours les mêmes, ou plutôt la guerre faite à la Religion par ses ennemis a pris un tel caractère de gravité qu'il nous est nécessaire de nous appuyer sur une prière plus ardente et plus multipliée pour obtenir le secours divin dont nous sentons le besoin. [20 septembre] 1885, [suivi] du décret Urbis et Orbis, [20 août] 1885.

Epistola Encyclica du Saint-Père, le Pape Léon XIII (en latin) [1er novembre] 1855, p. 2-14.

Lettre N° 73 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, évoque l'encyclique magistrale de Léon XIII, Immortale Dei, sur la constitution chrétienne des États. Pour procurer le fruit de ces grands enseignements qui ont produit sur les esprits une profonde impression, Léon XIII nous demande d'employer tous nos efforts et accorde la grâce d'un jubilé extraordinaire que les fidèles pourront gagner dans le courant de l'année 1886, [1er janvier] 1886. [suivi] de la lettre encyclique en latin du Saint-Père, le Pape Léon XIII, p. 3-7.

Lettre N° 74 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, demandant de veiller à la perpétuité du sacerdoce, et par suite d'étudier, avec une vigilante sollicitude, la situation da, s laquelle se trouvent les séminaires dont la mission est de former à la science et à la piété sacerdotales, les jeunes gens qui, par l'imposition des mains , deviennent les auxiliaires dans l'oeuvre de la sanctification des diocésains, [30 janvier] 1886.

Lettre Pastorale et Mandement N° 75 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, pour le Carême et le Jubilé de l'année 1886, [30 janvier] 1866, [suivi] d'un avis du Saint-Siège, qui prescrit de faire revivre l'antique usage des parrains de Confirmation. En raison des travaux du Jubilé, il n'y aura pas cette année de Conférences ecclésiastiques, les Retraites auront lieu comme à l'ordinaire. L'Administration de l'Enregistrement nous a fait connaître que la vente aux enchères publiques des offrandes en nature faites à l'Église était défendue par la loi de pluviôse an 7, à moins qu'il n'y eût un procès-verbal rédigé sur timbre et enregistré.

Itinéraire de la Confirmation pendant l'année 1886, [30 janvier] 1886.

Lettre N° 76 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, évoque la piété dont les fidèles de tous les siècles on été animés pour le glorieux Saint-Corentin, premier Évêque de Quimper. Nous devons aussi au zèle, à la piété et à la science de Monsieur l'abbé du Marhallach, notre vicaire général, le bonheur d'avoir retrouvé, avec les marques de son authenticité, la précieuse relique, qui, nous en avons la douce confiance, manifestera la puissance de Saint-Corentin pour défendre, contre les ennemis de la Religion, la foi chrétienne dont il fut l'apôtre dans notre diocèse, [19 mars] 1886, [suivi] d'un Corisopiten (en latin) du Cardinal Bartolinus, [26 janvier] 1886, et d'un avis concernant le Budget des Fabriques et le Compte arrêtés doivent être communiqués au Conseil municipal.

Lettre N° 77 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, qui évoque la fin de sa Visite Pastorale. Il a pu constater le zèle avec lequel les enfants ont été préparés à la Confirmation. Vous devez maintenant, jusqu'à l'ouverture des catéchismes préparatoires à la première communion, vous occupez des plus petits enfants. Il annonce deux retraites ecclésiastiques au Grand Séminaire, [26 juin] 1886, [suivi] d'une note sur les examens et d'une rectification à faire à l'Ordo.

Lettre N° 79 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, qui annonce avoir l'intention de célébrer cette année avec plus de solennité, la fête de Saint-Corentin, premier Évêque de Quimper, patron du Diocèse. Nous sommes en possession d'une Relique insigne, le bras de Saint-Corentin. Il est de notre devoir de la vénérer. Afin que tous les fidèles du Diocèse puissent, par l'union de leurs prières, recueillir les grâces que nous attendons de cette solennité, nous ordonnons que la bénédiction du Très-Saint Sacrement soit donnée, dans toutes les Églises et chapelles, le Dimanche 12 décembre, fête de Saint-Corentin, [30 novembre] 1886.

Lettre N° 80 de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, (en latin) p. 2-40.

Lettre de MM. l'abbé du Marchallac'h et l'abbé Serré, Vicaires Généraux, informant l'état de faiblesse de Mgr l'Évêque de Quimper et de Léon, à son retour de sa Visite Pastorale. Ils font un pressant appel aux prières, [27 mai] 1887.

Mandement du Vénérable Chapitre de l'Église Cathédrale de Quimper au Clergé du Diocèse, annonçant la nomination du Vicaire Capitulaire, M. l'abbé du Marchallac'h, Vicaire Général de Mgr l'Évêque défunt, [2 juin] 1887.

Mandement du Vénérable Chapitre de l'Église Cathédrale de Quimper annonçant la mort d'Illustrissime et Révérendissime Évêque de Quimper et de Léon, Dom Anselme Nouvel, de l'ordre de Saint Benoît. Il a succombé aujourd'hui, sous les étreintes du mal contre lequel il a lutté, pendant plusieurs mois, avec toute l'énergie de sa forte volonté. Nous avons fixé la sépulture au mercredi 8 juin, à 10 heures, [1er juin] 1887.

Mandement de M. Le Vicaire Capitulaire, au Clergé et aux fidèles du Diocèse. En nous confiant le soin d'administrer le Diocèse pendant la vacance du Siège, le Vénérable Chapitre de l'Église Cathédrale de Quimper et de Léon a tenu à rendre un dernier hommage à la mémoire du saint Évêque que nous pleurons. Nous avons ordonné et ordonnons ce qui suit : les prêtres réciteront, à toutes les messes, secrète et post-communion de Spiritu-Sancto, jusqu'au jour où nous apprendrons que le Souverain-Pontife a daigné instituer un Évêque de Quimper, [23 juin] 1887, [suivi] d'un avis informant qu'une seule Retraite ecclésiastique sera prêchée au Grand Séminaire, le Dimanche 21 août.

Mandement de M. Le Vicaire Capitulaire, au Clergé et aux Fidèles du Diocèse de Quimper et de Léon, annonçant l'envoi du récent décret Urbis et Orbis de la Sacrée Congrégation des Rites, [27 septembre] 1887

Mandement de M. Le Vicaire Capitulaire, au Clergé et aux Fidèles du Diocèse de Quimper et de Léon, annonçant que dans l’avis ajouté à la lettre pastorale, qui fut la dernière communication officielle de Mgr Nouvel avec son peuple, le saint Évêque demandait de la piété catholique pour célébrer les noces d’or de Léon XIII, [21 décembre] 1887, 3 p.

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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