Patrimoine culturel de Quimper

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Le portail de la cathédrale de Quimper

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Gavotte de Fouesnant

Par : Dastum

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Gavotenn bro an Aven

Par : Dastum

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Demeure de Roz-Maria, 2 rue du 19 mars 1962 (Quimp
La demeure Roz-Maria est construite sur les terres du domaine de Roz Maria appartenant à la famille de la Hubaudière et où se trouvait une ancienne propriété. Sur le cadastre napoléonien de 1834 de la commune d’Ergué-Armel, la propriété actuelle est construite sur le même emplacement que l’ancienne. La façade principale est orientée vers le nord-ouest. Cette demeure est construite sur une butte, le jardin s’épanouit en contre-bas et vient l’entourer. Elle est de plan rectangulaire, possède un sous-sol, un rez-de-chaussée et des combles. Par ailleurs, elle a la particularité d’être constituée de différents corps de bâtiments plus au moins en saillie et dont les toitures s’élèvent à des hauteurs variables. Cela introduit des jeux d’ombre et de lumière. L’ensemble est construit en pierre de granit à taille droite. Les éléments de couvrement ou de décor ainsi que le soubassement sont en pierre de taille de granit à bossage rustique. Un perron mène à une plateforme qui se prolonge vers l’est du bâtiment, les piliers d’angle sont surmontés d’un pot à feu en granit. Autrefois, cette plateforme permettait de rejoindre un serre située à l’extrémité est du bâtiment comme l’atteste une carte postale ancienne. Cette serre a été remplacée au XXème siècle par un bâtiment qui a repris les caractéristiques principales de la demeure : pierre de taille à bossage rustique, linteau en arc surbaissé, deux ou trois baies jumelées, chaînages d’angle, etc. La façade nord comporte un avant-corps, deux ailes latérales ainsi qu’un pavillon d’angle carré à l’ouest. Le rez-de-chaussée et le premier étage des deux ailes latérales bénéficient d’un large ensoleillement de par la présence de larges baies ou bien de deux ou trois baies jumelées. Ces baies permettent d’éclairer deux chambres d’enfant au nord et une vaste chambre à l’ouest où se trouve le pavillon d’angle. Les combles des deux ailes latérales et du pavillon central sont éclairés par des lucarnes. Les lucarnes des ailes latérales étaient avant qu’elles ne soient remplacées, similaires à celle du pavillon central. C’est-à-dire une lucarne en pierre de taille de granit avec pignon à chevronnière ainsi que jambages et linteau en pierre de taille de granit à bossage rustique. Le pavillon d’angle çà l’ouest, de plan carré et placé à demi hors œuvre est percé d’une ouverture au rez-de-chaussée, ainsi que d’une autre ouverture au premier étage qui est précédée d’un balcon en granit. L’ouverture du premier étage permet d’apporter une large luminosité à la grande chambre déjà éclairée par deux baies jumelées. On trouve les mêmes ouvertures sur la façade ouest du pavillon.A la différence de la façade nord les façades ouest et sud sont enduites. La façade sud est constituée de trois corps de bâtiment, un pavillon central et deux corps de bâtiment à l’ouest et à l’est. Chacun des corps de bâtiment comprend de nombreuses ouvertures semblables à celles de la façade nord. A l’instar de la façade nord, les lucarnes des façades est et ouest ont un fronton ou un pignon à chevronnière en pierre de taille de granit. Le pavillon central accueille l’escalier permettant de desservir les étages. Le jardin d’agrément d’environ 600m² et qui renferme de nombreuses espèces d’arbre est cerné par un ruisseau. L’eau se déverse dans un bassin de rocailles et est ponctué de petits ponts. A l’est un mur de soutènement en moellon granit, est percé d’une ouverture couverte d’un arc en plein cintre. Le mur et l’ouverte paraissent anciens à la vue des pierres employées. L’eau du ruisseau stagne dans la travée comblée et des marches permettaient de descendre au ruisseau. Ces éléments laissent supposer qu’à cet endroit se trouvait peut être un lavoir ou bien que l’ouverture laissait passer l’eau et qu’au-dessus il y avait un pont. Le terrain sur lequel elle est implantée appartenait à la famille de la Hubaudière. Il semblerait que la demeure ait été construite dans les années 1910 pour Monsieur Joseph Villard photographe, sur l’ancienne demeure de la famille de la Hubaudière. En outre, un plan réalisé en 1908 par Jean-Marie Abgrall atteste de la présence d’un pavillon de ferme aux abords de la demeure. Actuellement, la demeure est le foyer de l’Enfance et appartient à la ville de Quimper.
Auteur(s) du descriptif : Gueguen Jeanne

Par : L'inventaire du patrimoine

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Enquêtes sur la paroisse de Plounéour-Ménez sous l

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Chanson ar vevierez / H. Labory
Feuille volante dont le titre peut être traduit comme suit : La chanson de l'ivrognesse.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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4J Quimper /6

Par : Archives départementales d

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4J Quimper /43

Par : Archives départementales d

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Enfants - De Gaulle - Mariage
Enfants à la plage ; De Gaulle à Quimper le 12 juin 1949 avec le maire, M. Halléguen, discours ; mariage à Locronan.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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La rue du Parc et l'Hôtel de l'Épée

Par : Archives municipales de Qu

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Portrait en pied d'une jeune garçon et d'une jeune

Par : Archives municipales de Qu

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[Gwerziou Breiz-Izel, Chants populaires de la Bass
Recueil manuscrit de chants, de la main de François-Marie Luzel, ayant servi à l'édition imprimée en deux volumes de "Gwerziou Breiz-Izel, Chants populaires de la Basse" de 1868 et 1874.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Maro sant Tremeur

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Enquête diocésaine sur le culte marial de 1856 : r

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Album de cartes postales de Quimper (4 Fi 851-4 Fi
Les numéros de pages devant la cote et la description de la carte postale correspondent aux numéros de pages de la visionneusepage 1 : 4 Fi 851 le Likès page 2 : 4 Fi 852 école normale d'institutrices page 3 : 4 Fi 853 infirmerie du Likès page 4 : 4 Fi 854 revue du 118ème page 5 : 4 Fi 855 cérémonie des anciens combattants page 6 : 4 Fi 856 atelier de peinture de la faïencerie page 7 : 4 Fi 857 musée des faïenceries page 8 : 4 Fi 858 Saint Jean Discalceat page 9 : 4 Fi 859 chapelle de la retraite du sacré cœur page 10 : 4 Fi 860 monseigneur Duparc page 11 : 4 Fi 861 le château du Marhallach page 12 : 4 Fi 862 tombola à Quimper page 13 : 4 Fi 863 cavalcade à Nantes char de Quimper en 1910 page 14 : 4 Fi 864 expo philatélique de Quimper en 1946 page 15 : 4 Fi 865 le port à Locmaria page 16 : 4 Fi 866 au confluent page 17 : 4 Fi 867 l'autorail partant de Quimper page 18 : 4 Fi 868 le jardin des remparts en 1959 page 19 : 4 Fi 869 le pont Sainte Catherine et la cathédrale page 20 : 4 Fi 870 les passerelles sur l'Odet page 21 : 4 Fi 871 le musée départemental et la société générale page 22 : 4 Fi 872 la rue du Parc page 23 : 4 Fi 873 Au petit Paris page 24 : 4 Fi 874 la rue Kéréon page 25 : 4 Fi 875 la crêperie du Bon vieux temps page 26 : 4 Fi 876 pose de la quille du Lougre en 1990 page 27 : 4 Fi 877 vue avant du bateau bordé en 1990 page 28 : 4 Fi 878 le chantier du lougre sous la neige en 1990 page 29 : 4 Fi 879 vue panoramique de Quimper en 1908 page 30 : 4 Fi 880 vue générale de Quimper page 31 : 4 Fi 881 le confluent et le kiosque page 32 : 4 Fi 882 le cirque à Quimper page 33 : 4 Fi 883 vue générale de l'Odet et du boulevard page 34 : 4 Fi 884 vue aérienne de la cathédrale et du marché page 35 : 4 Fi 885 les rails et la vallée du Steïr page 36 : 4 Fi 886 vue aérienne de la cathédrale et du marché page 37 : 4 Fi 887 la préfecture en construction en 1904 page 38 : 4 Fi 888 Quimper vue du mont Frugy en 1921 page 39 : 4 Fi 889 Ploneïs page 40 : 4 Fi 890 chapelle Sainte Anne à Ploneïs page 41 : 4 Fi 891 chapelle de la Boissière à Ploneïs page 42 : 4 Fi 892 pont pissette page 43 : 4 Fi 893 le jardin des remparts ou des vieux page 44 : 4 Fi 894 inondations de 1928 page 45 : 4 Fi 895 rue du parc page 46 : 4 Fi 896 autocar Romain à Combrit page 47 : 4 Fi 897 vue panoramique de Quimper page 48 : 4 Fi 898 le gymnase page 49 : 4 Fi 899 place Terre au Duc en 1960 page 50 : 4 Fi 900 manifestations de Plogoff, le procès de Quimper en 1980

Par : Archives municipales de Qu

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Manoir de Kerlagatu, par Quimper (Finistere)

Par : Dastum

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Kan an douar-01

Par : Dastum

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R. QUILLIVIC (Hors Concours) - Chien à l'écuelle
Quimper.- "Chien à l'écuelle", faïence de R. Quillivic, faïencerie HB.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Arrondissements de Quimper. , Eglise Saint Nonna :
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Arrondissements de Quimper. , Chapelle Notre Dame
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Déclaration C15 - 1. Petit abrégé du chevalier c

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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CONCARNEAU. - Fête des Filets Bleus
Concarneau.- Portrait de quatre femmes et d'un homme, lors d'un concours de costumes pour la Fête des Filets Bleus. Costumes anciens de Pontivy, Pont-L'Abbé, Pont-Aven et Quimper. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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IA404 aux Rencontres Trans Musicales de Rennes (20
« IA » pour « Intelligence Artificielle » et « 404 » comme le code d'erreur qui indique que la page web demandée n'a pas été trouvée. Originaire de Quimper, ce trio d'humanoïdes masqués a, lui, trouvé son chemin en extrayant des entrailles des machines une electro-pop marmoréenne sur laquelle sillonne une sublime voix féminine capable de toutes les acrobaties. Gardant toujours en point de mire l'émotion, le spectre d'action du groupe est large et en perpétuelle mutation. Ses productions méticuleuses évoquent aussi bien la soul serpentine de Massive Attack, la pop expérimentale de Son Lux que les reliefs sonores de la bass music. IA404 est un groupe accompagné par Les Trans, en collaboration avec Bonjour Minuit à Saint-Brieuc et Le Novomax à Quimper, dans le cadre du dispositif de production mutualisée de la région Bretagne.

Par : Association Trans Musicale

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Hommage à Saint Yves, Patron des avocats
Le traditionnel Pardon de Saint-Yves s'est déroulé le 22 mai à Tréguier. Cette manifestation reçoit chaque année des milliers de pélerins pour la célébration du Saint Patron des avocats. Cette année le Pardon a été présidé par Monseigneur Laurent Dognin, évêque de Quimper, entouré de nombreux dignitaires venus du grand Ouest, dont Monseigneur Denis Moutel, évêque de St Brieuc et Tréguier, et l'Abbé Caous, Curé de Tréguier. Après la cérémonie à la Cathédrale de Tréguier, procession des bannières en direction de Minihy-Tréguier, paroisse d'origine de Yves Hélory de Kermartin (1253-1303), qui a été canonisé par le Pape Clément VI en 1347.

Par : TV Trégor

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Le patrimoine ferroviaire de la commune de Château
La commune de Châteaulin présente la particularité de se situer au croisement de deux réseaux ferrés : le réseau Breton (ligne reliant Carhaix à Camaret, au plus fort moment de son développement) et le réseau de la Compagnie Paris-Orléans qui relie Quimper à Landerneau. Si cette liaison est toujours en activité, la première a cessé de fonctionner en 1967 alors qu'elle ne servait plus qu'au trafic de marchandises. Voie métrique, il reste quelques vestiges sur le territoire communal (Le Vastil), et son trajet est encore visible, matérialisé soit par des chemins, des talus, ou mis en valeur par sa transformation en voie verte (Stang forn).Dès 1840, l'Etat souhaite l'arrivée du chemin de fer en Bretagne. L'objectif premier est de relier les arsenaux de Indret, Lorient et Brest. Le second objectif est économique puisque le train permet des échanges commerciaux avec Paris (denrées diverses et nombreuses provenant de Bretagne ; engrais et machines agricoles pour la Bretagne). Quant à l'intérêt politique, il est aussi sous-jacent : A. Hamon, secrétaire du ministre Guizot en 1842, dont les propos sont repris par Joël Cornette, dans l'Histoire de la Bretagne, explique que l'arrivée du chemin de fer permet de "civiliser cette province, si belle mais encore si sauvage" ; ainsi, "le train apportera plus de français aux Bretons que les plus habiles instituteurs primaires et avancera de plus d'un siècle la fusion de cette vieille province avec nos jeunes départements."La décision de créer une voie de chemin de fer entre Nantes et Châteaulin, via Napoléonville (Pontivy), est prise par décret impérial n°2831 du 14 juin 1855. La part financière de l'Etat est de 25 millions de francs pour la réalisation des travaux. La convention signée entre l'Etat et la Compagnie du Chemin de fer d'Orléans établit que les travaux entre Quimper et Châteaulin devront être réalisés en 9 ans. Ainsi, la section Quimper-Châteaulin, dont les travaux sont supervisés par l'ingénieur en chef Jégou et les ingénieurs François Watier et de Fréminville, est inaugurée le 12 décembre 1864.Concernant la section Châteaulin-Landerneau, bien que non comprise dans la convention de 1855, un décret du 6 juillet 1863, lance le projet dont la concession est attribuée à la Compagnie Paris-Orléans. Les travaux commencent en septembre 1865 pour un durée initialement prévue de 8 ans : l'inauguration a lieu le 16 décembre 1867. La consultation des Annales des Ponts et Chaussées (1868), nous renseigne sur les coûts financiers engendrés par les travaux de la ligne Châteaulin-Landerneau ; coûts non seulement dus à la création des stations, des maisons de garde barrières et des voies, mais aussi en raison du relief extrêmement accidenté.« [La ligne] présente de très grandes difficultés de tracés parce qu'elle coupe à peu près perpendiculairement les derniers contre-forts des monts d'Arrée qui entourent la rade de Brest». «Il a fallu prendre le parti de couper [ses promontoires] et de traverser [les vallées]. De là sont résultés des terrassements considérables». En totalité sur la ligne de 52, 478 km, 2 590 000m2 de terrassement, 112 ouvrages d'art en plus des viaducs de Port-Launay, Pont-de-Buis, Daoulas et du tunnel de Neiz-Vran, 35 passages à niveau ont été réalisés, le tout pour un total de 17 912 905 francs. Les travaux ont été suivis par les ingénieurs des Ponts et Chaussées, MM. Croizette-Desnoyers et Arnoux. Le projet réalisé a été celui effectué par l'ingénieur Moreau. Quant aux travaux des viaducs et tunnels ils ont été supervisés par les ingénieurs Bouret, Moulinot et Farcy.En 1881, est déclarée d'utilité publique la construction de lignes de chemin de fer jugées complémentaires au réseau de la Compagnie des Chemins de fer de l'Ouest et de la Compagnie Paris-Orléans. La Compagnie des chemins de fer de l'Ouest en obtient la concession par convention du 17 juillet 1883.Partant en étoile depuis Carhaix, ce nouveau réseau irriguait de multiples zones de Bretagne permettant leur désenclavement.En 1885, il fut décidé de créer la ligne Carhaix-Châteaulin. La prolongation de cette ligne jusqu'à Camaret est décidée en 1909 mais n'est effective qu'en 1925.La jonction entre les deux gares de Châteaulin (Châteaulin-ville et Châteaulin-Embranchement) est effective le 11 août 1907 grâce à la construction du pont ferroviaire, actuellement routier, qui enjambe l'Aulne.
Auteur(s) du descriptif : L'Haridon Erwana

Par : L'inventaire du patrimoine

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