Patrimoine culturel de Quimper

vignette
picto
Le portail de la cathédrale de Quimper

Par : Musée de Préhistoire de Ca

vignette
picto
La cathédrale de Quimper ; vue prise rue Brizeux

Par : Musée de Préhistoire de Ca

vignette
picto
Quimper : Vieilles maisons du XIVe siecle de la ru

Par : Dastum

vignette
picto
La faïencerie de Quimper
Quimper a su conserver un savoir-faire artisanal : la faïencerie. Un retour sur les pièces de céramiques issues de la collection du musée de l'entreprise Henriot est l'occasion d'un bref historique de cette technique. Cela permet aussi de découvrir l'origine et le succès du style "breton". Nous assistons ensuite à la méthode de fabrication de cette faïencerie de Quimper. Les installations se sont modernisées mais de nombreuses étapes restent manuelles.

Par : INA

vignette
picto
Hôtel de ville de Quimper, vue des élévations et c

Par : Archives municipales de Qu

vignette
picto
Pont-Aven : le port.

Par : Diocèse de Quimper et Léon

vignette
picto
4J Quimper /20

Par : Archives départementales d

vignette
picto
4J Quimper /120

Par : Archives départementales d

vignette
picto
Deuz da gaout Jesus / Dre N., L. L, D. D. ; [Lakke
Feuille volante, d'obédience protestante, dont le titre peut être traduit comme suit : Viens retrouver Jésus.

Par : Médiathèques de Quimper Br

vignette
picto
La rue du Parc et l'Hôtel de l'Épée

Par : Archives municipales de Qu

vignette
picto
Lettre au chapitre

Par : Diocèse de Quimper et Léon

vignette
picto
Sainte-Anne d'Auray : Le petit séminaire : tome II

Par : Diocèse de Quimper et Léon

vignette
picto
Le barbier de village
Sujet représenté : scène (discussion ; homme ; barbier ; poule ; cour ; maison ; rasage, Quimper, vêtement : Breton) - N° d'inventaire : 16

Par : Musée d'Art et d'Histoire

vignette
picto
Histoire du Comité révolutionnaire de Quimper
La Revue Historique de l'Ouest est un recueil consacré à des monographies relatives à l'histoire de la Bretagne dont le premier numéro est paru en 1885.

Par : Revue historique de l'oues

vignette
picto
De Quimper à Vannes
CARNET DE NOTES D'UN TOURISTE A TRAVERS LA BRETAGNE de René Arcy-Hennery 1928 - n&b - 5 épisodes de 10' chacun environ René Arcy-Hennery, opérateur professionnel, parcours la Bretagne en 1928, de Dinan à Quiberon. Il saisit un univers social préservé à peine changé par la guerre 14-18 mais qui sera effacé par les bouleversements économiques, structurels et industriels qui succéderont à la 2e guerre mondiale. À travers ses cartes postales animées : paysages bucoliques, lavandières, scènes quotidiennes ou de marché, il nous fait découvrir une Bretagne d'un autre siècle, de la fin du XIXe, du début du XXe.

Par : Cinémathèque de Bretagne

vignette
picto
IA404 aux Rencontres Trans Musicales de Rennes (20
« IA » pour « Intelligence Artificielle » et « 404 » comme le code d'erreur qui indique que la page web demandée n'a pas été trouvée. Originaire de Quimper, ce trio d'humanoïdes masqués a, lui, trouvé son chemin en extrayant des entrailles des machines une electro-pop marmoréenne sur laquelle sillonne une sublime voix féminine capable de toutes les acrobaties. Gardant toujours en point de mire l'émotion, le spectre d'action du groupe est large et en perpétuelle mutation. Ses productions méticuleuses évoquent aussi bien la soul serpentine de Massive Attack, la pop expérimentale de Son Lux que les reliefs sonores de la bass music. IA404 est un groupe accompagné par Les Trans, en collaboration avec Bonjour Minuit à Saint-Brieuc et Le Novomax à Quimper, dans le cadre du dispositif de production mutualisée de la région Bretagne.

Par : Association Trans Musicale

vignette
picto
Hommage à Saint Yves, Patron des avocats
Le traditionnel Pardon de Saint-Yves s'est déroulé le 22 mai à Tréguier. Cette manifestation reçoit chaque année des milliers de pélerins pour la célébration du Saint Patron des avocats. Cette année le Pardon a été présidé par Monseigneur Laurent Dognin, évêque de Quimper, entouré de nombreux dignitaires venus du grand Ouest, dont Monseigneur Denis Moutel, évêque de St Brieuc et Tréguier, et l'Abbé Caous, Curé de Tréguier. Après la cérémonie à la Cathédrale de Tréguier, procession des bannières en direction de Minihy-Tréguier, paroisse d'origine de Yves Hélory de Kermartin (1253-1303), qui a été canonisé par le Pape Clément VI en 1347.

Par : TV Trégor

vignette
picto
Château
Un manoir, attesté au 16e siècle, appartenait à la famille Des Portes. Le logis, divisé en appartements, conserve des éléments d´une construction de la première moitié du 17e siècle, notamment le corps de logis central avec l´escalier monumental en pierre, la cheminée avec four à pâtisserie et un évier en pierre. L´intérieur à été sans doute modifié au milieu du 18e siècle, comme en témoignent plusieurs cheminées et lambris, au temps où l'ensemble appartient à la famille Du Couëdic. Grand maître des eaux et forêts de Bretagne, Thomas-Louis Du Couëdic émigre, mais la propriété est rachetée par son petit-fils, Louis-Corentin, conseiller général, maire et député, qui en fait un grand domaine agricole d´environ 200 hectares situé à la sortie nord de la ville ; il l´exploite d´une manière rationnelle tout en préconisant la mise en place d´un vaste système d´irrigation entourant ses fermes de Botlan, Combout, Kerneuzec et Rosglaz. A partir de 1850, il transforme la métairie qui figure sur le cadastre de 1824 en écuries et remises. En 1846, il fait construire, d´après le projet de l´architecte Joseph Bigot, de Quimper, une chapelle au nord-est du logis. Le pavillon, ancien logement de gardes situé près de la route de Quimper, date également de cette époque. Les documents iconographiques de 1855 donnent une bonne idée de l´état de la propriété. Du Couëdic fait également modifier le logis par la suppression d´une aile en retour d'équerre - elle figure encore sur le premier cadastre -, le rajout de pavillons latéraux et l´aménagement intérieur (peinture murale, cheminées, cloisonnement, lambris), tout en conservant l´escalier d´origine et une partie des cheminées et des lambis du 18e siècle. Egalement fondateur de l´usine à papier de Kerisole, il consacre sa fortune à la modernisation agricole ; en 1861, il fonde au Lézardeau une « Ecole pratique d´irrigation et de drainage » qui fonctionne jusqu´en 1910. La zone entourant le Lézardeau (parc, prairies, fermes) a été entièrement urbanisée après la Seconde Guerre mondiale ; seul le logis et l´ancien logement de gardien (5, rue Marthe de Maisonfort) subsistent actuellement. Les cheminées et les lambris, déposés en 1996 lors de la transformation de l´ensemble en logements sociaux, sont conservés dans les services techniques de la ville de Quimperlé, propriétaire du bâtiment.
Auteur(s) du descriptif : Douard Christel

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Mairie (Châteaulin)
Corps de bâtiment principal aligné sur les quais, rive droite, orienté ouest-est. Composé d'un rez-de-chaussée surélevé et d'un étage carré sous un toit à croupe dominé par une tour de type beffroi cantonnée d'échauguettes. Soubassement de granite, deux séries de travées de fenêtres encadrent la composition centrale en façade principale. Les façades de pignons présentent un rythme moins symétriques autour d'une arche centrale couronnée d'un fronton triangulaire. La distribution s'effectue depuis un grand hall éclairé par une verrière. L'arrière de l'édifice est occupé par une halle constituée d'un vaisseau à trois travées.Dès 1910, le conseil municipal de Châteaulin décide de construire une nouvelle mairie à l'emplacement de la halle au blé. C'est le projet de Charles Chaussepied, architecte des Monuments historiques à Quimper, qui est choisi sur un programme comprenant une halle et une salle de gymnastique (non réalisée). La mairie est partiellement achevée en 1914 ; les travaux sont interrompus durant le Première Guerre mondiale, elle n'est inaugurée qu'en 1925.Charles Chaussepied est l'auteur de plusieurs oeuvres en Finistère au style éclectique et historiciste : églises à Concarneau, maison à Pont-Aven de Théodore Botrel. L'ancienne halle au blé sert actuellement de salle municipale.
Auteur(s) du descriptif : L'Haridon Erwana

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Hôtel particulier
L´édifice s´élève sur un terrain à forte dénivellation, aménagé en jardin en terrasse suivant les dessins du projet. Accès, depuis la rue, par des escaliers à volées droites flanqués d´une remise (détruite ou non réalisée) et d´écuries surmontées d´un logement de domestiques qui diffère du projet initial. Gros-oeuvre du logis en moellon couvert d´enduit, à l´exception du soubassement et de l´encadrement des baies, en granite, et des chaînes d´angle, en brique et calcaire à assises alternées, matériaux également utilisés pour la tourelle sur l´angle nord-ouest. Toitures en ardoise, à l´exception de la fabrique de jardin, en tuile mécanique. Tourelle couvert d'une flèche en charpente couverte d'ardoise. Fermettes débordantes de la charpente figurant sur le projet non réalisées ou disparues. Plan allongé double en profondeur avec avant-corps est légèrement saillant sur lequel se greffe, montant de fond, un oriel à pans coupés surmonté d´un balcon. L´étage de soubassement abritait cuisine, bûcher et cave. Escalier tournant à retours avec jour en bois, avec rampe en fer forgé.Hôtel particulier construit en 1863 d'après le projet de Gustave Bigot, architecte à Quimper, pour Lostie de Kerhor et Maria-Mélanie Briant du Lescouët. Apparemment contemporaine, la tourelle sur l'angle (latrines ?) ne figure pas sur le projet de Bigot.
Auteur(s) du descriptif : Douard Christel

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Papeterie de Meilh Nevet (Plogonnec)
Le moulin à papier a disparu. Seul le bief est encore là pour témoigner de sa présence.En 1822, le moulin à papier de Meilh Nevet travaille avec une cuve et produit dans l’année plus de 5 700 rames de papier. Lors de l’enquête de 1828, il en sort, à partir de 15 milliers de chiffons, 10 000 livres de papier. Le rapport de 1829 de la sous-préfecture indique que 6 à 8 ouvriers travaillent avec une seule cuve pour les différentes qualités de papier. Le fabricant ne peut déterminer, au juste, le nombre de rames qu'il fabrique de chaque espèce.L’état civil de la commune nous livre peu trace de mariages, naissances ou décès dans des familles papetières. Le recensement de 1836 nous indique les personnes travaillant et habitant à la papeterie de Plogonnec. Le ménage 233 est composé de Pierre Marie Affichard, 30 ans fabricant de papier, Pierre Moulin, 28 ans, domestique, François Alexandre, 28 ans et Yves Louis François David, 23 ans. Le lieu d’habitation n’est pas précisé mais tout laisse à croire que ce soit Meilh Nevet. Le 9 octobre 1843, Marie Joséphine Huet, papetière, travaillant à Plogonnec épouse, dans cette commune, Guillaume le Gall. Elle est la fille de Jean-Marie Huet, papetier et Marie Joseph Guédon, papetiers à Kerfeunteun. Le recensement de 1856 ne donne plus aucune indication. On ne peut donc être certain d’une activité de la papeterie qu'entre 1822 et 1843.
Auteur(s) du descriptif : Leroy-Déniel Caroline

Par : L'inventaire du patrimoine

Afficher le widget sur mon site Voir tous les documents
X

Afficher le widget sur mon site

Vous pouvez afficher le ce widget sur votre site en insérant le code suivant :

<iframe src="https://breizhapp.net/widgetbretania/index.php?set=wgt_Quimper"></iframe>

Vous pouvez également voir la liste de tous les widgets à l'adresse suivante Liste des widgets