Patrimoine culturel de Quimper

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Etude de la musique
Cycle de conférences organisées dans le cadre de l'université d'été du festival de Cornouaille, coorganisées par Ti Ar Vro Kemper, animées par Guy Riou et Loeiz Guillamot.

Par : Dastum

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Le Grand-Hôtel de Quimper

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Manoir de Park Poulic (Quimper)
Le manoir de Park Poulic se trouve au sein de terres agricoles, en écart de Quimper. Le manoir a conservé son logis et une partie de ses dépendances.Le logis seigneurial, de plan rectangulaire, s'élève sur un rez-de-chaussée, un étage et un niveau de combles. Il est maçonné en pierre de taille et couvert d'ardoises sur un toit en bâtière. Au rez-de-chaussée, sa façade principale, orientée au sud, est percée de deux portes et d'une fenêtre. A l'extrémité est, la porte d'origine est ornée d'un linteau sculpté et encadrée par deux pilastres engagés, munis de bases et de chapiteaux sculptés, sur lesquels s'appuient deux pinacles prismatiques. Au-dessus du linteau, le blason des Ansquer est sculpté. Cette porte est flanquée à l'est d'une ouverture de petites dimensions, munie d'un vitrail représentant le même blason. Au centre de la façade, la nouvelle porte d'entrée supplante une fenêtre originelle. Elle est couverte par un linteau comportant une série de moulures saillantes. A l'extrémité ouest se trouve une fenêtre au linteau mouluré. L'étage est percé de trois fenêtres similaires : toutes sont munies d'un encadrement mouluré et chanfreiné. Leurs appuis et leurs linteaux comportent une série de moulures saillantes. Les combles sont éclairés par deux lucarnes à fronton triangulaire, qui ont été rajoutée, sinon transformées par les propriétaires. L'égout du toit est orné d'une corniche à moulure concave. Les deux pignons, découverts, supportent chacun une souche de cheminée. Le pignon ouest est orné à sa base d'une figure animale sculptée. A l'intérieur, l'édifice est divisé en deux espaces, chacun muni d'une cheminée. La cheminée de la salle, située dans la partie est, est ornée du blason des Ansquer.A l'est, une extension contemporaine a été ajoutée. En face du logis, le puits à margelle circulaire est maçonné en pierre de taille. Il est inclus dans un jardin d'agrément, limité par des murets de clôture, et constitué en partie d'essences exotiques. A l'ouest du logis et accolé à celui-ci, se dresse un édifice sur un niveau au rez-de-chaussée et un niveau de combles de surcroît auquel on accède par un escalier droit extérieur. Maçonné en moellons et couvert d'ardoise, il semble postérieur à la construction du logis. En retour d'équerre, une aile de bâtiments annexe se dresse sur un rez-de-chaussée et un niveau de combles. Le premier mètre de mur est maçonné en pierre de taille, ce qui nous permet de dire que ces bâtiments sont construits sur des bases plus anciennes. La partie haute est maçonnée en moellons et daterait du XXe siècle au regard des ouvertures percées dans le mur. Les premières mentions des Ansquer résidant à Park Poulic remontent au milieu du XVe siècle. La réformation de 1443 cite Jean Ansquer comme noble homme demeurant à Parc Poulic. En 1481, un autre Jean Ansquer, petit fils du premier, a été archer lors de la monte de Cuzon. Son fils, Charles Ansquer rend aveu au fief des Réguaires en 1540 et fait état de bois, d'une moulin et de terres. Jucquel Ansquer rend aveu en 1556 pour le manoir de Parc Poulic d'une volière, d'un moulin, d'un bois et d'un étangs. La descendance de cette famille s'est fondue dans celle des Keroulas, qui a par alliance repris le manoir de Parc Poulic. La famille de Keroulas possédait le domaine de Kerversiou. En 1740, dans un aveu, sont mentionnés un corps de logis dans une cour close, un moulin à eau, un moulin à vent en ruine, des jardins et des vergers.La famille des actuels propriétaires a acquis le manoir il y a une centaine d'année et effectué plusieurs modifications pour rendre le manoir compatible avec le confort. Des fenêtres et des portes ont alors été murées. Les propriétaires actuels se sont efforcés de restituer le plus possible l'aspect originel du manoirPlus récemment, .
Auteur(s) du descriptif : Mottay Louise ; Belzic Céline

Par : L'inventaire du patrimoine

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Libération de Quimper
Libération de Quimper, 5 août 1944 ; 9 août 1944, les FFI victorieux ; 13 août 1944, Jean Marin vous parle... A l'hôtel de l'Epée ; 7 octobre 1944, défilé des FFI, Notre Dame de Boulogne ; 11 novembre 1944, défilé au mur des fusillés ; 27 juillet 1945, le Général de Gaulle à Quimper.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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QUIMPER.- La Cathédrale (côté Nord)
Quimper.- La cathédrale Saint-Corentin, côté Nord.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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4J Quimper /61

Par : Archives départementales d

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4J Quimper /17

Par : Archives départementales d

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Le culte de la très Sainte Vierge dans le diocèse

Par : Gallica

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Le barbier de village
Sujet représenté : scène (discussion ; homme ; barbier ; poule ; cour ; maison ; rasage, Quimper, vêtement : Breton) - N° d'inventaire : 16

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Biographie du vénéré et discret prélat Monseigneur

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Locronan (sans précision) - Porte
PORTE de confessional 4 feuilles

Par : Dastum

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Deux ordonnances de police à Quimper (1404-1719)
La Revue Historique de l'Ouest est un recueil consacré à des monographies relatives à l'histoire de la Bretagne dont le premier numéro est paru en 1885.

Par : Revue historique de l'oues

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Arrondissements de Quimper. , Chapelle Notre Dame
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Petite Troménie
Vues de Locronan, la procession sort de l'église, belles images de la procession, Plas ar horn (belles images de coiffes et de costumes) retour et arrêt à Saint-Maurice, entrée à l'église, vêpres et vénération des reliques, la chapelle de Plas ar horn (documentaire)

Par : Cinémathèque de Bretagne

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IA404 aux Rencontres Trans Musicales de Rennes (20
« IA » pour « Intelligence Artificielle » et « 404 » comme le code d'erreur qui indique que la page web demandée n'a pas été trouvée. Originaire de Quimper, ce trio d'humanoïdes masqués a, lui, trouvé son chemin en extrayant des entrailles des machines une electro-pop marmoréenne sur laquelle sillonne une sublime voix féminine capable de toutes les acrobaties. Gardant toujours en point de mire l'émotion, le spectre d'action du groupe est large et en perpétuelle mutation. Ses productions méticuleuses évoquent aussi bien la soul serpentine de Massive Attack, la pop expérimentale de Son Lux que les reliefs sonores de la bass music. IA404 est un groupe accompagné par Les Trans, en collaboration avec Bonjour Minuit à Saint-Brieuc et Le Novomax à Quimper, dans le cadre du dispositif de production mutualisée de la région Bretagne.

Par : Association Trans Musicale

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Hommage à Saint Yves, Patron des avocats
Le traditionnel Pardon de Saint-Yves s'est déroulé le 22 mai à Tréguier. Cette manifestation reçoit chaque année des milliers de pélerins pour la célébration du Saint Patron des avocats. Cette année le Pardon a été présidé par Monseigneur Laurent Dognin, évêque de Quimper, entouré de nombreux dignitaires venus du grand Ouest, dont Monseigneur Denis Moutel, évêque de St Brieuc et Tréguier, et l'Abbé Caous, Curé de Tréguier. Après la cérémonie à la Cathédrale de Tréguier, procession des bannières en direction de Minihy-Tréguier, paroisse d'origine de Yves Hélory de Kermartin (1253-1303), qui a été canonisé par le Pape Clément VI en 1347.

Par : TV Trégor

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Château de Kernuz (Pont-l'Abbé)
Château construit au 16e siècle sur le site d'une ancienne place forte ; le bâtiment a été fortement restauré et agrandi au 19e siècle par Armand du Châtellier qui s'adresse à Joseph Bigot, architecte à Quimper. Les travaux, qui constituent la première grande "restauration" de l'architecte sont menés en plusieurs campagnes : construction de la partie ouest en 1843, restauration de la tour est en 1845, construction de la partie est en 1847. Surélévation au-dessus de l'arc en accolade, et construction en pendant, par Jean-Marie Abgrall à la fin du siècle. Paul-Armand du Châtellier y créa un musée d'art préhistorique (collection au musée des Antiquités nationales à Saint-Germain-en-Laye).
Auteur(s) du descriptif : Lauranceau Elise

Par : L'inventaire du patrimoine

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Eglise paroissiale Notre-Dame de Bonne-Nouvelle (H
Edifice de plan irrégulier comprenant une nef avec bas-côté sud de deux travées et bas-côté nord de deux travée, séparée du choeur par un arc diaphragme sauf sur le bas-côté nord. Le choeur comprend deux travées avec bas-côtés formant au sud faux transept ; il est terminé par un chevet polygonal. La sacristie est adossée au chevet à l'ouest. Porche sud en kersanton, pignon du bras nord du transept en pierre de logonna. Façade ouest en kersanton de provenance différente. Niches recevant statues. Ornementation animale et végétale abondante. Vocabulaire renaissance.Balustrade, premier niveau de cloches, second niveau pyramidal flanquée de pinacles et flèche à crossettes décoratives.L’église paroissiale Notre-Dame de Bonne-Nouvelle aurait été construite au 16e siècle à l’emplacement d’un prieuré établi par les moines de Landévennec au 11e siècle. Située en bord de rivière, en limite de grève, elle était entourée d’un cimetière jusqu’en 1884.Selon André Mussat « Le chantier venu édifier la façade de Rumengol mena parallèlement la construction tout à fait similaire de l’église voisine de l’Hôpital-Camfrout ». La façade ouest de l’église de l’Hôpital-Camfrout présente en effet de grande similitude avec celle de Notre-Dame de Rumengol au Faou.Les Vicomtes du Faou, dont un écusson est présent sur la façade ouest, sont les contributeurs de l’église dont les travaux débutent vers 1537. Le massif occidental développe un décor Renaissance ; décor repris lors de la construction du porche sud en 1611. L’utilisation du kersanton a permis de réaliser des ornements d’une très grande finesse. De nombreux blasons, muet pour la plupart, sont répertoriés autant à l’extérieur qu’à l’intérieur de l’église. La sacristie, ajoutée en 1734, porte l’inscription : MATHURINLEBRISFABRIQUE : Mathurin Le Bris, président du conseil de fabrique, mort le 21/10/1764 à 72 ans. Le bras sud du transept, en pierre de taille de Logonna, est édifié en 1736. Les fonts baptismaux portent la date de 1792.Un incendie détruit la couverture de l’église la nuit du 11 au 12 février 1825. En 1873 les travaux de la façade occidentale terminent le dôme de la tourelle de l’escalier extérieur et la balustrade de la galerie des cloches. Les cloches ont été fondues en 1845 et 1850 par Alphonse Viel, fondeur à Brest. Un projet d’agrandissement de l’église paroissiale est réalisé vers 1866. Profitant de la modification récente de l'environnement de l'église, création des quais, déplacement du cimetière, la façade nord devait recevoir deux chapelles.Une partie de ces projets n'a été réalisé qu'un siècle plus tard : un arc plein cintre a été créé dans le bas de la nef ouvrant le bas-côté nord (taillé en 1915, placé en 1970).Les vitraux ont été réalisés par Auguste Talbouret (1955) et l’atelier Le Bihan de Quimper (1965-1967).
Auteur(s) du descriptif : L'Haridon Erwana

Par : L'inventaire du patrimoine

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