Patrimoine culturel de Quimper

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Témoignage d'une ouvrière travaillant dans une con
Gabrielle travaille dans une conserverie de poissons : des sardines et des maquereaux. Elle parle de la difficulté physique du métier à la chaîne, l'impossibilité de se parler, l'évaluation du travail en fin de journée, la fatigue engendrée par le bruit.

Par : INA

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An Templ consacret dar Passion Jesus-Christ, batis

Par : Gallica

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Château de Kistinic (Quimper)
Edifice de plan massé irrégulier ; le corps de bâtiment principal est encadré de plusieurs pavillons et d'une tour circulaire. La maçonnerie est enduite avec encadrements de baies, chaînes d'angles, corniche à modillons en pierre de taille. Les lucarnes sont surmontées de fronton à gâble, la porte d'entrée d'une accolade. (Elise LAURANCEAU, 2004) Cette étude sur le château de Toulven a été complétée en 2015 par Jeanne Guéguen, par des recherches approfondies sur l'édifice en question ainsi que par une étude sur le terrain.Le château est bâti sur les hauteurs, il surplombe la vallée du Steïr en contrebas et jouit d’un point de vue exceptionnel sur Quimper. En outre, il est entouré d’un parc de 15 hectares contemporain du château. Au sein du parc 8 hectares sont occupés par des chênes, hêtres, séquoia et marronniers. Divers chemins sinueux partent du château pour s’enfoncer dans les bois. Des étendues de pelouses ainsi que des plantes diverses comme des azalées, des camélias, des rhododendrons s’épanouissent sur 7 hectares. En outre, de tous le parc sont visibles des éléments anciens provenant d’autres manoirs ou châteaux des environs comme des puits, un lavoir, etc. Construit selon un plan complexe, il est enduit et les éléments de décor ou de couvrement sont en pierre de taille granit. Il est orienté au sud et la porte d’entrée principale est percée dans la façade nord. Ce château comporte un sous-sol, un rez-de-chaussée, un étage ainsi que des combles aménagés. Le soubassement évasé est en pierre de taille à bossage rustique et une corniche à modillon couronne l’ensemble des façades. Sur la route de Guengat, l’entrée du château est marquée par un portail en fer forgé circulaire encadré par deux piliers surmontés d’un couronnement crénelé. Juste après l’entrée monumentale, se dresse à gauche l’ancienne maison de gardien aménagée en gîte. La maison de gardien présente un plan carré avec une aile en retour d’équerre, elle est enduite en blanc et la pierre de taille granit est employée pour les éléments de décor ou de couvrement.La façade nord du château est flanquée d’une courte aile en retour d’équerre à l’ouest. Cette aile est couronnée par une toiture en pavillon. Elle s’organise autour d’une travée au nord et d’une travée à l’ouest. Les fenêtres du rez-de-chaussée et du premier étage de la travée nord sont couvertes d’un linteau à double accolade alors que celles de la travée ouest sont plus étroites et classiques. Les combles de la travée au nord sont éclairés par une lucarne gerbière en pierre de taille granit avec fenêtre à traverse et pignon à chevronnière. La partie est de la façade est rythmée par deux travées. La travée à l’extrémité est, éclaire l’escalier intérieur. Ellepossède une fenêtre couverte d’un linteau en accolade au rez-de-chaussée, une fenêtre à meneau couverte d’un linteau en accolade au premier étage ainsi qu’une lucarne en pierre de taille avec pignon à chevronnière au niveau des combles. La travée centrale est traitée avec une attention particulière, elle se distingue par ses ouvertures. En effet, la porte d’entrée à laquelle on accède par un perron à degré convexe est surmontée d’un linteau en accolade, lui-même souligné par un bandeau décoratif couronné par un fleuron. Au premier étage est percée une fenêtre à meneau avec linteau en accolade également souligné par un bandeau décoratif. Les combles sont éclairés par une lucarne avec pignon à chevronnière couronné d’un fleuron et dont le tympan est orné d’une bécasse sculptée dans le granit. Sur la façade est, un clocheton sur bretèche sur lequel est inscrite la date de 1874, est aménagé au niveau de la corniche. A l’angle de deux ailes en retour d’équerre qui sont dotées d’ouvertures étroites est logée une petite échauguette. Sur une des deux ailes en retour d’équerre une petite porte est percée au niveau du sous-sol pour accéder aux caves et l’autre aile est flanquée dans un angle d’une tour à demi hors-œuvre. La tour est surmontée d’une toiture en poivrière, et est percée sur sa façade est et sud de quatre fenêtre avec linteau en accolade. Des mâchicoulis décoratifs qui rappellent le vocabulaire castral classique, séparent le premier étage du deuxième étage. Le deuxième étage est éclairé par deux fenêtres à meneau couvertes d’un linteau à double accolade souligné par un bandeau décoratif. La façade sud domine une vaste étendue de pelouse. Elle comprend la tour à l’est, un corps de bâtiment central et une aile en retour d’équerre. Le corps de bâtiment principal comprend une travée avec deux fenêtres jumelées surmontées de linteaux à double accolade au rez-de-chaussée et au premier étage. Les combles sont éclairés par une lucarne avec pignon à chevronnière couronné d’un fleuron et dont le tympan est orné par un quadrilobe sculpté. L’aile en retour d’équerre est rythmée par deux travées, le rez-de-chaussée qui est occupé par un salon laisse pénétrer la lumière par deux portes fenêtres couronnées d’un linteau en accolade. Le premier étage accueille deux fenêtres avec le même type de couvrement. Les combles sont percés d’une unique lucarne semblable à celle du corps principal mais dont le tympan est orné d’un trilobe sculpté. Un perron ajouté dans les années 1950 permet d’accéder directement au salon pour assurer une meilleure communication avec le parc au sud. Edifice construit au cours de la 2e moitié du 19e siècle dans le style néogothique. Il appartient à M. L. Cosset au début du 20e siècle. (Elise LAURENCEAU, 2004)L'historique a été complété par des recherches approfondies en 2015 par Jeanne Guéguen.Le château de Kistinic a été construit en 1874 par Louis Mouillade, un notaire vendéen et non loin du manoir du même nom. Actuellement, le château est occupé par des propriétaires anglais qui l’ont acheté en 2004.
Auteur(s) du descriptif : Lauranceau Elise ; Gueguen Jeanne

Par : L'inventaire du patrimoine

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Vue panoramique de Quimper

Par : Archives municipales de Qu

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Un couple de mariés de Quimper en costume

Par : Archives municipales de Qu

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L'Usage local de l'Evesché et Comté de Cornouaille

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Carnet de dessins / Jean-Marie Abgrall
Dessins, notes et croquis réalisés au crayon par le prêtre-architecte Jean-Marie Abgrall entre 1891 et 1893.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Kroaz-Breiz 028-029

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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4J Quimper /22

Par : Archives départementales d

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Voyage au pays d'Armor
Alignement de Menhirs de Carnac. La mer s'écrase sur les rochers de la presqu'île de Quiberon. Embarquement des voitures et des passagers à bord de la navette maritime reliant le continent. Navires de pêche par mer agitée. Des pêcheurs jouent au jeu de la galoche, réparent leurs casiers. Bigoudènes allant à la messe. Plusieurs édifices religieux dont la Cathédrale de Quimper.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Le barbier de village
Sujet représenté : scène (discussion ; homme ; barbier ; poule ; cour ; maison ; rasage, Quimper, vêtement : Breton) - N° d'inventaire : 16

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Histoire du Comité révolutionnaire de Quimper
La Revue Historique de l'Ouest est un recueil consacré à des monographies relatives à l'histoire de la Bretagne dont le premier numéro est paru en 1885.

Par : Revue historique de l'oues

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Les Trois-Clochers (XVe siècle) : [carte postale]
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Deux ordonnances de police à Quimper (1404-1719)
La Revue Historique de l'Ouest est un recueil consacré à des monographies relatives à l'histoire de la Bretagne dont le premier numéro est paru en 1885.

Par : Revue historique de l'oues

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Clocher de l'Eglise St-Théleau : [carte postale]
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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IA404 aux Rencontres Trans Musicales de Rennes (20
« IA » pour « Intelligence Artificielle » et « 404 » comme le code d'erreur qui indique que la page web demandée n'a pas été trouvée. Originaire de Quimper, ce trio d'humanoïdes masqués a, lui, trouvé son chemin en extrayant des entrailles des machines une electro-pop marmoréenne sur laquelle sillonne une sublime voix féminine capable de toutes les acrobaties. Gardant toujours en point de mire l'émotion, le spectre d'action du groupe est large et en perpétuelle mutation. Ses productions méticuleuses évoquent aussi bien la soul serpentine de Massive Attack, la pop expérimentale de Son Lux que les reliefs sonores de la bass music. IA404 est un groupe accompagné par Les Trans, en collaboration avec Bonjour Minuit à Saint-Brieuc et Le Novomax à Quimper, dans le cadre du dispositif de production mutualisée de la région Bretagne.

Par : Association Trans Musicale

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Verrière 7 (verrière figurée, verrière à personnag
Baies libres en plein cintre ; sauf 9 et 10 : oculi.Les verrières 0 à 4 ont été réalisées par Toulhoat dans l'atelier Le Bihan Saluden de Quimper en 1953 ; les verrières 5 et 6 sont dues à Hubert de sainte Marie de Quintin en 1960.
Auteur(s) du descriptif : Douard Christel ; Quillivic Claude ; L'Haridon Erwana

Par : L'inventaire du patrimoine

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Eglise, dite église du Port ou église Saint-Thomas
Plan allongé à trois vaisseaux. Pas de transept. Chevet plat. Clocher à chambre de cloches ajourée amortie d´une flèche ornée de crossettes et encadrée à sa base de quatre frontons ajourés et de quatre pinacles. Gros oeuvre en moellon de granite enduit, à l´exception des encadrements des baies, des chaînages d´angle et du massif occidental, en pierre de taille de granite. Nef à trois travées plus larges que le choeur. Arcades en arc brisé retombant sur les chapiteaux soutenus par des piliers carrés chanfreinés. Voûte à croisées d´ogives, bas-côtés voutés d´arêtes. Choeur de deux travées flanqué d´une sacristie au nord. Sol couvert de dalles de granite.Bénodet est érigée en paroisse au début du 19e siècle au détriment du Perguet. Une chapelle, fondée sous le vocable de saint Thomas-Becket devient église paroissiale en 1802. Elle existe en 1231 puisque Eudes de Fouesnant la donne à l´évêque de Quimper qui en fit don à l´abbaye de Daoulas. Choeur du 13e siècle. Façade occidentale du 15e siècle. Nef, bas-côtés et clocher édifiés en 1873 par les entrepreneurs Auguste Michel et Jean-Louis Le Naour, d´après les plans de l´architecte diocésain Joseph Bigot. Restauration du choeur et refection du voûtement en 1889 d´après les plans du même architecte, par les entrepreneurs Pérodeau et Le Moyne.
Auteur(s) du descriptif : Fauchille Gwénaël

Par : L'inventaire du patrimoine

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Le Port de Lanvéoc
Le port de Lanvéoc se développe sur deux grèves : l'une à l'ouest du Fort (petite grève), l'autre à l'Est (Castel-bihan). La cale, construite en 1840, délimite la partie ouest de la grève de Castel-bihan, le môle, d'une longueur de 45,5 mètres, construit en 1885, délimite le port dans sa partie est ; une cale de 36 mètres lui est accolée en 1894. Ces deux derniers ouvrages ont été bombardés durant la Seconde Guerre mondiale. Un môle existe actuellement à l'est de la petite grève.Un corps de garde complète l'espace portuaire. Edifié en 1820, restauré en 1845, il est en ruine en 1881. Le corps de garde actuel, devenu local de l'association nautique du port, construit après 1881, est toujours en place.La portée stratégique de Lanvéoc est mentionnée par le Marquis de Langeron, lieutenant général en chef de la division de Bretagne, en 1776 : "[Lanvéoc] croise parfaitement avec l´île ronde, l´île longue et bat l´anse de Landévennec, c´est à ce port qu´aboutit la grande route Quimper l´Orient qui fait communication avec Brest." Si le port de Lanvéoc a été très emprunté du 16e siècle à la moitié du 19e siècle (ambassadeur de Siam, soldats envoyés aux colonies anglaises durant la guerre d'indépendance des Etats-Unis, passage des troupes vers Brest), il n'a jamais bénéficié d'une infrastructure portuaire conséquente, au contraire du Fret. Lanvéoc n'a donc pu conserver une activité portuaire économiquement viable à partir de la seconde moitié du 19e siècle en raison du développement du port du Fret et du Chemin de fer desservant Brest.Le rapport d'activité de l'ingénieur en chef des Ponts et Chaussées, M. David, indique, en 1793 : "le port de Lanvaux situé au sud de la rade de Brest, sert à l´embarquement de la majeur partie de l´approvisionnement journalier de cette dernière ville, et entretient pour cet effet dix bateaux de passage du port de 5 à 6 tonneaux chacun". Il signale qu'il conviendrait de construire une cale. L'Annuaire du Finistère détaille les échanges de marchandises : entre 1872 et 1876, le tonnage annuel moyen des marchandises à transiter par Lanvéoc est de 1250 tonneaux auxquels s´ajoutent 2000 tonneaux d´engrais marins ; le trafic annuel est de 180 bateaux tandis qu'au Fret, il est de 3 200 tonneaux de marchandises, 800 tonneaux d´engrais marins avec un trafic de 400 bateaux. A Lanvéoc se sont essentiellement des céréales et légumes qui partent à destination de Brest et des engrais marins qui arrivent.Les liaisons maritimes avec Brest étaient effectuées par un "traversier" : le bateau de Lanvéoc. Son faible tirant d'eau permettait des déchargements à dos d'hommes. Les descriptions des traversées faites par Bachelot de La Pylaie en 1843 et Jean-François Brousmiche montrent que les bateaux étaient surchargés et ne quittaient le port que lorsque le voyage était économiquement rentable. Bachelot de La Pylaie : "le passage est 25 centimes, les bateaux sont de petites chaloupes non pontées et à deux mâts : le départ se fait dès lors qu´on atteint les 6 francs, prix du fret. La cargaison est composée de pommes de terres, navets, ballots de marchandises, porcs."Une cale est enfin créée en 1840, permettant l'accostage des Vapeurs assurant la liaison avec Brest à partir de cette date (deux fois par semaine). Plusieurs compagnies maritimes ont géré cette liaison : Société brestoise des bateaux à vapeur (Brest-Quimper via Port-Launay avec escale à Lanvéoc-société fondée en 1840 par Auguste Bouet-faillite en 1843) ; Compagnie de Pennors après 1870 ; la Société Anonyme des vapeurs brestois en 1894. Un môle (1885) et une cale (1894) complètent l'ensemble. Ces deux ouvrages sont détruits à la fin de la Seconde Guerre mondiale et sont remplacés par le parc aux hydrocarbures de la Marine nationale (1961-1962). L'appontement pétrolier construit au début des années 1960 a modifié la physionomie du port jusqu'à récemment. Aujourd'hui, la cale cohabite avec les ducs d'Albe et les gabions, vestiges de cet appontement pétrolier.
Auteur(s) du descriptif : L'Haridon Erwana

Par : L'inventaire du patrimoine

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