Patrimoine culturel de Quimper

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Arrondissements de Quimper. , Calvaire de Saint Vé
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Chapelle de Kerdévot (Ergué-Gabéric)
Plan et ordonnance intérieureLe plan, d´une simplicité extrême, est celui des grandes chapelles du 15e siècle, un édifice rectangulaire à trois vaisseaux de dimensions comparables à celles de l´église paroissiale d´Ergué-Gabéric. Un grand arc-diaphragme, également présent dans les collatéraux, sépare les deux travées de la nef des deux travées du choeur et retombe sur de puissantes piles octogonales, flanquées de faisceaux de colonnettes et renforcées vers l´est par des portions de murs de refend, comme le sont les murs-pignons est et ouest. L´importance de ces supports et l´épaisseur des contreforts au droit de l´arc triomphal suggèrent que le projet initial était, comme à Quilinen, de placer le clocher au-dessus de celui-ci, au mitan de la chapelle. Ce parti général reprend sur un mode mineur celui mis en oeuvre dans le second quart du 15e siècle à Locronan, mais les voûtes de pierre ont fait place ici à des lambris (en berceau sur le vaisseau central ; en demi-berceau sur les bas-côtés). Toutefois, des départs de nervures croisées visibles au revers du même arc médian semblent correspondre à un projet initial de voûtement assez rapidement abandonné. La partition de l´espace était encore accentuée par la présence d´un jubé de menuiserie. On peut voir dans la pile qui flanque le mur gouttereau nord deux portes murées, l´une qui devait donner accès à un escalier en vis conduisant vers le clocher, l´autre au-dessus sur une passerelle de bois enjambant le collatéral et menant à travers une des piles de l´arc-diaphragme sur la tribune du jubé. Au milieu du choeur et de la nef, les moulures des grandes arcades filent en pénétration dans de hautes colonnes. En revanche, aux extrémités est et ouest et sur l´arc triomphal, elles retombent par l´intermédiaire de petits chapiteaux sur des colonnettes fréquemment ornées d´un réglet.Tout en observant que les premières colonnes du chœur sont encore dans la tradition du gothique de la première moitié du 15e siècle, R. Barrié propose néanmoins pour l´édifice une chronologie basse : implantation du chœur dans les années 1470, achèvement du mur du chevet vers 1480, construction de la nef dans les premières décennies du 16e siècle. Il nous semble au contraire, à voir l´homogénéité du parti, que l´oeuvre peut fort bien s´inscrire en totalité dans la seconde moitié du 15e siècle. À cet égard, la simplicité des chapiteaux et des grandes arcades de la nef peut être interprétée comme une volonté de hiérarchiser les espaces par le biais du décor, plutôt que comme l´indice d´une campagne tardive. L´édifice est largement éclairé, dans l´axe longitudinal par la maîtresse-vitre à six lancettes et réseau flamboyant surmonté d´une rose formée de quatre soufflets tournoyant et par la fenêtre ouest, beaucoup plus modeste, latéralement par les baies des bas-côtés. La maîtresse-vitre accueille, depuis la restauration exécutée en 1938, des éléments de deux cycles distincts : une Passion du Christ des années 1480, peut-être à son emplacement d´origine, et une Vie de la Vierge, un peu plus récente, provenant d´une verrière latérale. Au-dessus, intégrée dans le glacis de la maîtresse-vitre, un socle à décor d´arcatures devait recevoir la statue de la Vierge. Tout ce décor architectural, comme le mobilier liturgique intégré dans les murs latéraux, est traité avec beaucoup de soin et de finesse.Ordonnance extérieureUne toiture à deux versants couvre la nef et ses bas-côtés. Le mur du chevet, où s´équilibrent harmonieusement les pleins et les vides, est fortement scandé par deux contreforts d´angle et deux contreforts médians encadrant la maîtresse-vitre dans l´axe des grandes arcades, tous amortis par des pinacles à 45°, ornés à la base de figures animales, très comparables à ceux de la cathédrale de Quimper. Les parties hautes de la façade ouest, avec son clocher à coursière en surplomb couronnant le mur-pignon, accosté de deux tourelles octogonales, transcrivent dans le vocabulaire classique un parti répandu en Cornouaille dans la seconde moitié du 15e siècle et dont la chapelle Saint-Fiacre du Faouët offre le prototype. On peut donc imaginer que l´architecte intervenu en 1702 a restitué les dispositions générales de la partie renversée, allant d´ailleurs jusqu´à réemployer des pierres moulurées du clocher médiéval pour former les pilastres corinthiens de la chambre des cloches et à couronner celle-ci d´une flèche gothique. Encadrée par deux pinacles prismatiques, la porte ouest présente un ébrasement en plein-cintre à quatre tores retombant sur des colonnettes à chapiteaux, surmonté d´une accolade à fleuron et de plusieurs écus effacés. Là encore, elle offre beaucoup de ressemblances avec la porte percée dans la quatrième travée du bas-côté nord de la cathédrale, qui date des années 1450. Les deux autres portails, ouverts dans le mur méridional, en sont des versions simplifiées.Au sud de la chapelle, s´élève un calvaire monumental du 16e siècle dont la base rectangulaire, cantonnée de contreforts angulaires, est creusée de douze niches privées depuis la Révolution de leurs statues d´apôtres. Elle sert de socle à trois fûts écotés, qui ont conservé l´essentiel de leur statuaire. À 300 m vers l´est, une fontaine armoriée abrite une petite Vierge à l´Enfant.Les convergences stylistiques avec la cathédrale de Quimper sont nombreuses : la coexistence des formes en plein-cintre et des arcs brisés, des nervures en pénétration et des chapiteaux, la modénature qu´on retrouve identique à la croisée du transept de Quimper et à l´arc triomphal de Kerdévot, le répertoire formel des portes, des remplages et des pinacles sont autant de points communs entre les deux monuments. En bref, tout indique que les travaux de la chapelle ont été conduits en parallèle avec le grand chantier quimpérois, ou du moins dans sa suite immédiate, par des maîtres formés sur celui-ci.Selon une tradition ancienne, la chapelle aurait été construite en action de grâces à la Vierge pour avoir protégé le pays du fléau de la peste. Or, plusieurs épidémies jalonnent en Cornouaille les derniers siècles du Moyen Âge, depuis celle qui ravagea Quimper en 1349. En 1412, les bourgeois de la ville se vouent à Notre-Dame du Guéodet pour y échapper ; en 1472, on évoque encore la peste qui a sévi récemment, et le compte des trésoriers de Quimper signale le même fléau en 1480. Quoi qu´il en soit, la chapelle existait en 1439, date à laquelle le Quimpérois Jean Lemoine lui lègue par testament deux livres de cire. Jadis desservie par un réseau routier beaucoup plus dense qu´aujourd´hui, elle était située au sud du grand chemin de Quimper à Coray, lui-même héritier d´une antique voie romaine, et était de ce fait une des plus fréquentées du diocèse.L´hermine passante, sans doute remontée au 18e siècle sous la balustrade du clocher, les images des ducs de Bretagne, la couronne en tête, décrites dans les vitraux par P. de Courcy, l´écu plein de Bretagne sur un poinçon de la charpente du choeur, pourraient suggérer une fondation ou du moins une protection princière, que ne confirme cependant aucun texte. En revanche, il n´est pas douteux que toutes les familles féodales des environs, qui servaient la dynastie des Montfort comme gens de finances ou officiers, ont pris part à la construction. Au premier rang d´entre elles, figurent les Tréanna, et dont les armes figuraient en haut à gauche de la maîtresse-vitre. Dans la seconde moitié du 15e siècle, on peut citer Yvon III de Tréanna, écuyer du duc en 1457, capitaine de Concarneau en 1479, et son frère Charles. Plusieurs membres de la famille, clercs, comme Geoffroy de Tréanna, chanoine de Saint-Corentin en 1486, ou laïcs, sont représentés en donateurs dans les verrières hautes de la cathédrale de Quimper, et leurs blasons figurent en bonne place sur les clés de la voûte. Leur mécénat s´exerça également sur l´église de Rosporden et dans la belle chapelle de Locmaria-an-Hent en Saint-Yvi. Si la date du début des travaux est incertaine, on peut considérer que le choeur au moins était achevé en 1489, millésime porté sur un fragment de verrière à décor architectural remonté dans la maîtresse-vitre. La couverture de l´édifice devait être mise en place autour de 1500, puisque la sablière nord de la nef porte le blason d´alliance France-Bretagne, correspondant aux règnes successifs de la duchesse Anne (1491-1514). Toutefois, une consécration tardive aurait eu lieu, selon R. Couffon, le 26 octobre 1556.En 1701, le clocher est renversé par une tempête. Il est restauré l´année suivante par le recteur Ian Baudour, comme l´indique une inscription gravée sur le linteau sud de la chambre des cloches. La sacristie qui flanque au sud le choeur de la chapelle porte le millésime 1705. En 1795, la chapelle est acquise au prix de 6 000 livres par un cultivateur, qui en fait don à la commune d´Ergué-Gabéric en 1804. La charpente a fait l´objet d´une restauration en 2002-2004.
Auteur(s) du descriptif : Bonnet Philippe

Par : L'inventaire du patrimoine

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Toponymie Kroashent Guilly, Quilihouarn

Par : Dastum

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La cathédrale de Quimper ; vue prise rue de Brizeu

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Allocution du général de Gaulle à Quimper
Le général de Gaulle prononce à Quimper un discours resté célèbre, dans lequel il évoque la régionalisation. Il annonce le référendum pour la réforme du Sénat et achève son discours en chantant la Marseillaise, accompagné par la foule.

Par : INA

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Chanson Kemener
Yann Fanch Kemener interprète Koat-houarn (composé par Jean-Michel Veillon) et Fañchig bihan (air traditionnel breton). Spectacle donné au Théâtre de Quimper.

Par : INA

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Manoir de Toulgoat, 74 chemin de Toulgoat (Quimpe
Le manoir de Toulgoat est installé au sein d'une zone boisée. Il a conservé son logis, ses dépendances et ses jardins. On y entre par un double portail, muni d'une porte cochère et d'une porte piétonne. La porte piétonne est couverte par un arc en anse de panier mouluré, tandis que la porte cochère, couverte par un arc en plein cintre, est surmontée d'une accolade sculptée. Ce double portail est flanqué d'une tour hexagonale. Le logis, de plan rectangulaire, est organisé en cinq travées, et s'élève sur un rez-de-chaussée, un étage et des combles. Il est maçonné en pierre de taille et couvert d'ardoises. Sur la travée centrale se trouve la porte d'entrée, coiffée d'un fronton triangulaire. L'étage est percé de cinq fenêtres et les combles sont doté de cinq lucarnes cintrées. Ses deux pignons sont munis d'une souche de cheminée. En face du logis se trouve une chapelle, qui s'élève, selon un plan en L, sur un seul niveau. Elle est maçonnée en moellons et pourvue d'un clocheton sur le pignon nord. A l'arrière du logis, et formant une cour, des bâtiments communs, s'élevant sur deux niveaux, sont couverts d'ardoise. A l'est de cet ensemble se trouve une parcelle carrée ceinte de murs de clôture et doté d'une orangerie. L'accès se fait devant le logis par un porche surmonté d'un fronton cintré et muni de deux pots à feu. Au sud de cette parcelle se trouve un autre espace clos, auquel on accède par des escaliers. .Le manoir actuel, édifié aux XVIe et XVIIe siècle, s'est bâti sur l'emplacement d'un ancien logis noble, remontant au XIIIe siècle. Jusqu'en 1530, le domaine appartenait à l'ancienn famille noble des Toulgoat, puis il est passé à la famille Agnès. En 1551, c'est la famille du Guilly qui acquière le manoir par alliance. A la fin du XVIe siècle ce sont les Kerloaguen qui sont les propriétaires du manoir. Les Le Goazre de Kervélégan l'acquièrent sous Louis XV.En 1826, le domaine passe aux Kernaflen de Kergos.
Auteur(s) du descriptif : Mottay Louise ; Belzic Céline

Par : L'inventaire du patrimoine

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Demeure de Créach Gwen, 34 rue du président Sadate
Au sud-est de la demeure, deux séries de trois piliers placés de part et d’autres d’un chemin marquent l’entrée dans le domaine. Ce chemin est bordée de vieux chênes, de châtaigniers et permet d’accès à la façade sud ou est de la propriété. La demeure est construite en hauteur sur une vaste parcelle partiellement clôturée par un mur d’enceinte en moellon de granit. Elle aujourd’hui entourée d’arbres et de bâtiments neufs servant au centre de loisir. La demeure est divisée en deux volumes de plan rectangulaire et quelques autres bâtiments se sont greffés sur la façade nord. Elle est enduite mais la pierre de taille de granit est employée pour les éléments de décor ou de couvrement. L’ancien manoir de Créach Gwen se situe au nord et une aile du XXème siècle au sud. Le bâtiment actuel semble en effet être venu remplacer le manoir plus ancien qui se trouve sur le cadastre napoléonien de 1834. Sur le cadastre, un chemin mène à une cour centrale et à l’entrée du manoir à l’ouest. Actuellement, l’entrée du manoir est située à l’est ce qui nous permet d’avancer l’hypothèse selon laquelle l’ancien manoir a été détruit et un autre a été construit au XIXème siècle. Le manoir reconstruit dans la deuxième moitié du XIXème siècle s’élève sur un rez-de-chaussée, un étage et des combles. La façade principale à l’est, est organisée de façon symétrique. Les percements sont disposés de manière régulière, et sont alignés verticalement autour de l’axe de symétrie du bâtiment. Elle est divisée en cinq travées. Le rez-de-chaussée possède quatre fenêtres, et une porte d’entrée à laquelle on accède par un perron à degré convexe. L’étage est percé de cinq fenêtres. Les ouvertures se caractérisent par des jambages harpés en pierre de taille de granit, et sont couverte d’un linteau en arc surbaissé. L’ensemble de l’élévation est, est enduite et couverte par une corniche à doucine en pierre de taille de granit. La façade ouest est semi-enterrée et s’organise autour de quatre travées. Trois travées sont occupées par des fenêtres et une porte-fenêtre. Une des quatre travées comporte deux petites ouvertures qui traduisent la présence d’un escalier. Une petite lucarne en bois ajoutée tardivement éclaire l’étage de combles. Par ailleurs, au niveau de la façade nord qui a été remaniée se greffent trois bâtiments de taille réduite. Ces bâtiments sont construits en moellon de granit, les jambages, linteaux et chaînages d’angles sont en moellon de granit équarri. Ces bâtiments semblent être antérieurs au manoir.Attenant au sud se dresse une aile du XXème siècle. Celle aile construite sur les plans de l’architecte Jacques Lachaud était la maison des domestiques. Elle se compose de deux corps de bâtiment, un avant-corps à l’est de plan carré et un corps de bâtiment à l’ouest de plan rectangulaire. Les deux bâtiments sont enduits, possèdent un soubassement en pierre de taille de granit à bossage rustique et sont couronnés d’une corniche décoratif. Le soubassement et la corniche sont présents uniquement sur la façade sud. L’avant-corps comporte un rez-de-chaussée, un étage et des combles aménagés. En outre, elle est ordonnancée en trois travées. Au rez-de-chaussée, la porte d’entrée est percée au niveau de la travée centrale et elle est flanquée de deux étroites fenêtres couvertes d’un linteau droit monolithe. L’étage accueille trois fenêtres semblables. Le niveau de combles est éclairé par trois lucarnes, dont le style dénote avec le reste de l’élévation. On distingue deux types de lucarnes : des lucarnes de taille réduite avec linteau en arc surbaissé et pignon à chevronnière ainsi que des lucarnes de plus grande taille avec pignon aigu à chevronnière. Ces lucarnes proviennent sûrement d’un autre bâtiment, ce type de lucarne se retrouve régulièrement au niveau des combles de châteaux des alentours qui ont été bâtis à la fin du XIXème siècle. En outre, la façade est possède une travée et le niveau de combles est également occupé par une lucarne du même type et est flanquée de deux souches de cheminée de forme hexagonale. L’autre corps de bâtiment comprend deux travées au rez-de-chaussée et trois travées au premier étage. Le rez-de-chaussée est percé de deux larges ouvertures avec jambages harpés et qui sont couvertes d’arc surbaissé. Quant au premier étage, il est éclairé par des fenêtres étroites identiques à l’avant-corps et une petite ouverture. Une petite lucarne avec pignon à chevronnière comme celles présentes sur l’avant-corps éclaire les combles. Appartenant à la famille de Pagnac, la propriété a été vendue à la ville de Quimper dans les années 1970 et est devenue le centre de loisir de Créach Gwen. Aujourd’hui elle est entourée de part et d’autres par des bâtiments modernes qui ont été bâtis sur des terrains appartenant au manoir et acquis par la ville pour former une zone d’activité. Un bâtiment apparait à ce même emplacement sur le cadastre napoléonien de 1834 de la commune d’Ergué-Armel. Il y avait un manoir avant le XIXème siècle qui a surement été détruit puis reconstruit.
Auteur(s) du descriptif : Gueguen Jeanne

Par : L'inventaire du patrimoine

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Fêtes de Cornouailles
Film en couleur puis en noir et blanc tourné à l'occasion des fêtes de Cornouaille à Quimper. Défilés en costumes traditionnels, danseurs traditionnels, bagad dans les rues de la ville, sous le regard de nombreux spectateurs.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Arbres et rivière

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Quimper, les halles : [photographie de presse]

Par : Gallica

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Entrée du lycée et de la chapelle

Par : Archives municipales de Qu

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Vieille maison du XVIe siècle rue du Guéodet

Par : Archives municipales de Qu

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Réactions des Bretons au discours du Général de Ga
Suite au discours du Général de Gaulle, les Bretons de la rue et les personnalités politiques et économiques de la région réagissent. Les préoccupations des Bretons sont liées au développement économique de la Bretagne et à la régionalisation.

Par : INA

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Plogonnec (sans précision) - Acrotère
ACROTERE : Homme-poisson ?

Par : Dastum

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De Quintin au barrage de la Rance
Quintin : camp provincial en 1937, procession de scouts dans la ville et en campagne. Au Stangala (Kerfeunteun). Saint-Herbot : vues de l'église, les enfants en retraite de communion. Coiffe de Plonévez du Faou. Landévennec, vues du bâtiment (abbaye). Le barrage de la Rance en construction.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Arrondissements de Quimper. , Eglise, cimetiere :
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

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C'hoari-fentus ar bourc'hiz lorc'hus = Comédie du

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Portail de l'Eglise : [carte postale]
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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. 2943, Arc de Triomphe : [carte postale]
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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L'Eglise : [carte postale] : Tombeau de Saint Rona
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Ensemble de dessins de Louis Le Guennec, archives
Ce recueil numérique comprend un ensemble de dessins de Louis Le Guennec présent dans les archives de Jean-Marie Abgrall dont : la tombe de René-Théophile-Hyacinthe Laënnec à Ploaré (sur calque, 1920), le château de Kerouartz à Lannilis (sur calque, 1916), le manoir de Keriner à Pluguffan (1920), le manoir de Kerlosser à Lannéou (sans date), le château de Keroual à Guilers (1917), la chapelle de Coat-Quéau à Scrignac (1912) ici en ruine mais reconstruite en 1937, des fontaines à Gouesnou et Saint-Vougay (sans date), des ossuaires à Plougonven, Ploujean et Plourin (sans date) ainsi qu'une statue de la Vierge à l'enfant de Loquénolé (sans date).

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Ar merc'hed diwar ar maez [La vie des femmes à la
Un devezh gant ur vaouez war ar maez, etre buhez ar familh hag hini an atant. [La journée-type d'une femme à la campagne, entre gestion de la vie de famille et activités liées à l'exploitation agricole.]

Par : INA

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IA404 aux Rencontres Trans Musicales de Rennes (20
« IA » pour « Intelligence Artificielle » et « 404 » comme le code d'erreur qui indique que la page web demandée n'a pas été trouvée. Originaire de Quimper, ce trio d'humanoïdes masqués a, lui, trouvé son chemin en extrayant des entrailles des machines une electro-pop marmoréenne sur laquelle sillonne une sublime voix féminine capable de toutes les acrobaties. Gardant toujours en point de mire l'émotion, le spectre d'action du groupe est large et en perpétuelle mutation. Ses productions méticuleuses évoquent aussi bien la soul serpentine de Massive Attack, la pop expérimentale de Son Lux que les reliefs sonores de la bass music. IA404 est un groupe accompagné par Les Trans, en collaboration avec Bonjour Minuit à Saint-Brieuc et Le Novomax à Quimper, dans le cadre du dispositif de production mutualisée de la région Bretagne.

Par : Association Trans Musicale

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Juillet - août 1970
Juillet 1970 : voyage des élèves de l’école normale de Quimper en Tchécoslovaquie puis à Bucarest, la Roumanie communiste est alors sous le joug de Nicolae Ceaușescu. Hongrie. Bretagne, préparatifs d'une fête à l'abbaye du Relecq à Plounéour-Menez. Jeux de boules bretonnes. Danses bretonnes.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Hommage à Saint Yves, Patron des avocats
Le traditionnel Pardon de Saint-Yves s'est déroulé le 22 mai à Tréguier. Cette manifestation reçoit chaque année des milliers de pélerins pour la célébration du Saint Patron des avocats. Cette année le Pardon a été présidé par Monseigneur Laurent Dognin, évêque de Quimper, entouré de nombreux dignitaires venus du grand Ouest, dont Monseigneur Denis Moutel, évêque de St Brieuc et Tréguier, et l'Abbé Caous, Curé de Tréguier. Après la cérémonie à la Cathédrale de Tréguier, procession des bannières en direction de Minihy-Tréguier, paroisse d'origine de Yves Hélory de Kermartin (1253-1303), qui a été canonisé par le Pape Clément VI en 1347.

Par : TV Trégor

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