Patrimoine culturel de Quimper

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usine Verascope Richard ; Quimper

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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La cathédrale de Quimper ; vue prise des remparts

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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La cathédrale Saint Corentin à Quimper
Après dix années, la restauration de la cathédrale Saint Corentin de Quimper est achevée. Cette restauration redonne à la cathédrale son faste d'origine.

Par : INA

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Bretagne Fêtes de Cornouaille
Imprimerie PAM Brest

Par : Dastum

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Gavotenn ar vro vigouden (gavotte + bal + jabadao)

Par : Dastum

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La faïencerie de Quimper
Quimper a su conserver un savoir-faire artisanal : la faïencerie. Un retour sur les pièces de céramiques issues de la collection du musée de l'entreprise Henriot est l'occasion d'un bref historique de cette technique. Cela permet aussi de découvrir l'origine et le succès du style "breton". Nous assistons ensuite à la méthode de fabrication de cette faïencerie de Quimper. Les installations se sont modernisées mais de nombreuses étapes restent manuelles.

Par : INA

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Les Grandes Fêtes Interceltiques et de Cornouaille
Les Fêtes de Cornouailles réunissent à Quimper les pays Celtes de Bretagne, d'Irlande, d'Ecosse, du Pays de Galles qui célèbrent leur amitié. Ils défilent dans les rues de la ville en costume folklorique, au son de la musique traditionnelle.

Par : INA

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Manoir du Loc'h, 16 chemin des églantines (Quimper
Le manoir du Loc'h appartenait autrefois à un vaste domaine. Il est désormais entouré d'habitations du XXe siècle. Il est composé de trois bâtiments principaux : le logis, dont la façade principale est orientée au sud, un autre bâtiment dont la façade est orienté à l'est, et une longère disposée sur l'axe nord sud. Au centre de cet ensemble, le logis s'élève sur un rez-de-chaussée, un étage et un niveau de combles, présentant une façade du XVIIIe siècle, crépie et ordonnancée en cinq travées. Celles-ci sont marquées par des baies alignées au rez-de-chaussée et à l'étage, toutes dans le même style : de forme rectangulaire et dotées d'un chanfrein à angle droit. Une porte-fenêtre, située sur la deuxième travée en partant de l'est, permet l'accès au rez-de-chaussée. Les combles sont éclairés par trois lucarnes au linteau cintré et mouluré. La façade est de plus caractérisée par des chaînages d'angle apparents, en pierre de taille. Une corniche à moulure concave fait la jonction entre le mur et le toit en bâtière, couvert d'ardoises. Les deux pignons de cet édifice portent des souches de cheminée. En retour d'équerre, à l'est, un édifice maçonné en pierres de taille s'élève sur un rez-de-chaussée, un étage et un niveau de comble. Les baies sont similaires aux précédentes. On remarque la présence sur la façade est de deux lucarnes à fronton triangulaire, qui encadrement une souche de cheminée. Cet édifice est couvert par une toiture à pavillon. Il se prolonge vers le nord par une longère maçonnée en moellons, s'élevant sur un seul niveau et couverte par un toit en bâtière en ardoise. Du manoir du XVIe siècle, il ne reste que des linteaux en remploi sur des ouvertures de bâtiments annexes, en mauvais état de conservation. Situé à l'ouest du logis, cet édifice maçonné en moellons ne s'élève que sur un rez-de-chaussée, couvert par un toit en bâtière. Cet édifice est percé de baies chanfreinées, ornées d'arcs en anse de panier et moulurés d'accolade. L'avant du logis présente un jardin doté d'essences exotiques, auquel on accède par un portail forgé à deux vantaux, permettant l'entrée dans la propriété. Le manoir du Loc'h est mentionné dans l'aveu pour le fiefi des Régaires en 1541, sous le nom de manoir du Louch. En plus du manoir, le domaine se composait d'une cour, d'un colombier, des taillis et futaies. Jehan de Doucyc, seigneur des lieux, possédait également le manoir de Bécharles et le manoir de Kerscau. Au XVIIe siècle le manoir appartient à la famille Kermerien, qui se fond dans la famille Le Saulx.
Auteur(s) du descriptif : Mottay Louise ; Belzic Céline

Par : L'inventaire du patrimoine

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Vue panoramique de Quimper

Par : Archives municipales de Qu

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Annuaire diocésain année 1781
Annuaire diocésain annuel (ou Ordo) du diocèse de Quimper et Léon.

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Elevage poussins
Thème n°1 : agro-alimentaire (élevage). Thème n°2 : agro-alimentaire (transformation). Thème n°3 : agro-alimentaire (autres). Thème n°4 : autres recherches. Images de l'élevage de poussins, de la fabrique d'aliments (Goasduff), d'ADRIA à Quimper, de l'interview de M. Bellec.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Ar person barveg, victorius var e Escop : Var ton
Feuille volante dont le titre peut être traduit comme suit : "Le recteur barbu victorieux de son évêque".

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Quimper, la préfecture : [photographie de presse]

Par : Gallica

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Appel à la population du Finistère

Par : Archives municipales de Qu

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4J Quimper /59

Par : Archives départementales d

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L'Echo de Douarnenez-Ploaré 1969

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Recueil. Album d'estampes. Lithographies / Jean-Fr
Source: Le Guyader. Album titré "Croquis" en 1ère de couv.. Recueil de 63 lithographies (signées pour la plupart de Villain) à partir des dessins de Charlet et Raffet

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Traversée vers l'île de Sein
Traversée vers l'île de Sein, vie sur l'île. Fête de Cornouaille à Quimper, danses en costume, cercle celtique.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Deux ordonnances de police à Quimper (1404-1719)
La Revue Historique de l'Ouest est un recueil consacré à des monographies relatives à l'histoire de la Bretagne dont le premier numéro est paru en 1885.

Par : Revue historique de l'oues

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Carte particulière de la coste sud de la Bretagne,
Ancien possesseur : Argenson, Antoine-René de Voyer (1722-1787 ; marquis de Paulmy d'). Ancien possesseur

Par : Gallica

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Lancement... Troménie
1/ Lancement d'un bateau à Léchiagat, 1949 env. ; 2/ Embarquement des fraises au port de Brest, 1949 env. ; 3/ 8 septembre 1947, pardon du Folgoët ; 4/ Troménie de Locronan 1959 ; 5/ Troménie de Locronan 1959.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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IA404 aux Rencontres Trans Musicales de Rennes (20
« IA » pour « Intelligence Artificielle » et « 404 » comme le code d'erreur qui indique que la page web demandée n'a pas été trouvée. Originaire de Quimper, ce trio d'humanoïdes masqués a, lui, trouvé son chemin en extrayant des entrailles des machines une electro-pop marmoréenne sur laquelle sillonne une sublime voix féminine capable de toutes les acrobaties. Gardant toujours en point de mire l'émotion, le spectre d'action du groupe est large et en perpétuelle mutation. Ses productions méticuleuses évoquent aussi bien la soul serpentine de Massive Attack, la pop expérimentale de Son Lux que les reliefs sonores de la bass music. IA404 est un groupe accompagné par Les Trans, en collaboration avec Bonjour Minuit à Saint-Brieuc et Le Novomax à Quimper, dans le cadre du dispositif de production mutualisée de la région Bretagne.

Par : Association Trans Musicale

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Hommage à Saint Yves, Patron des avocats
Le traditionnel Pardon de Saint-Yves s'est déroulé le 22 mai à Tréguier. Cette manifestation reçoit chaque année des milliers de pélerins pour la célébration du Saint Patron des avocats. Cette année le Pardon a été présidé par Monseigneur Laurent Dognin, évêque de Quimper, entouré de nombreux dignitaires venus du grand Ouest, dont Monseigneur Denis Moutel, évêque de St Brieuc et Tréguier, et l'Abbé Caous, Curé de Tréguier. Après la cérémonie à la Cathédrale de Tréguier, procession des bannières en direction de Minihy-Tréguier, paroisse d'origine de Yves Hélory de Kermartin (1253-1303), qui a été canonisé par le Pape Clément VI en 1347.

Par : TV Trégor

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Les anciennes ardoisières de la commune de Saint-C
L’origine de l’extraction d’ardoises dans le bassin de Châteaulin est inconnue, bien qu’elle soit attestée au moins depuis le 15e ou 16e siècle. Plusieurs historiens ont noté son utilisation dans plusieurs monuments anciens : couverture de la cathédrale de Quimper en ardoises de Laz et de Saint-Goazec aux 15e et 16e siècles, couverture de l’église Saint-Maclou de Rouen en 1526 avec de l’ardoise achetée à Châteaulin, présence près du prieuré de Châteaulin de « carrières d’ardoises très excellentes » d’après l’histoire du royal monastère de Landévennec de 1640, don du roi au sieur de Lançon d’une carrière d’ardoise proche du château de Châteaulin en 1671 …Plus récent, les témoignages de contemporains à la fin du 18e siècle et au début du 19e siècle évoquent l’activité intensive des ardoisières du bassin de Châteaulin. Dans son dictionnaire de Bretagne paru en 1778-1780, Ogée rapporte que « les environs [de Châteaulin] fournissent un grand nombre de carrières d’ardoises qu’on y vient chercher des pays étrangers ». Cambry, dans son Voyage dans le Finistère en 1794 et 1795, décrit Châteaulin comme un pays « formé de montagnes schisteuses, de carrières d’ardoise », tandis que Brousmiche, dans son Voyage en 1829, 1830 et 1831 parle des « carrières d’ardoises […] en pleine exploitation sur les deux rives de l’Aulne ».L’exploitation du sous-sol géologique pour la construction est alors déterminée par deux facteurs importants : sa nature même, largement dominée par des schistes bleu foncés produisant des ardoises de couverture fines, mais ayant également largement servi comme moellons dans les constructions locales, et l’accès immédiat par transport fluvial, les carrières étant toutes situées à proximité des bords de l’Aulne.Au 18e siècle, les principales ardoisières étaient situées à Châteaulin, Saint-Coulitz, Saint-Ségal, Lothey, Gouézec et Pleyben. Il semble bien que jusqu’au début du 19e siècle, l’activité ardoisière se soit bornée aux alentours de Châteaulin, exploitée dans des carrières à ciel ouvert, mais aussi dans quelques carrières souterraines sous voûte, puis exportées via le port de Port-Launay.Un rapport de 1840 nous apprend que 32 carrières étaient alors en activités sur 9 communes du bassin sud de Châteaulin (Châteaulin, Saint-Ségal, Saint-Coulitz, Lothey, Gouézec, Pleyben, Lenon, Châteauneuf et Saint-Goazec) employant 486 ouvriers. Durant la première moitié du 19e siècle, l’aire d’exploitation de l’ardoise s’est ainsi étendue jusqu’à Chateauneuf-du-Faou.La quasi-totalité de l’activité ardoisière des alentours de Châteaulin s’est arrêtée à partir de la fin des années 1880. Simultanément, l’aire d’extraction d’ardoises s’est étendue vers l’est, avec l’ouverture de nombreuses carrières au sud de Carhaix, se développant dans le secteur de Motreff, et proche de Locarn, facilité par l’ouverture du canal de Nantes à Brest au 19e siècle, que de nombreuses nouvelles exploitations longent.Deux ardoisières à Saint-CoulitzLa carrière de Poullpichou, au lieu Ty ar Vengleuz (la maison de la carrière) à l’est du bourg de Saint-Coulitz, en bordure de l’Aulne, est la plus importante et la plus grande carrière de la commune. Le site, qui est déjà mentionné sur le premier cadastre napoléonien de 1809, puis sur la deuxième version en 1847, semble avoir été actif au moins depuis le 18e siècle.L’exploitation à ciel ouvert de cette grande carrière s’est effectuée sur un front de taille en demi-cercle d’environ 80 mètres de diamètre et dont le fond se situe à 250 mètres du canal, formant une large zone jonché de débris et chutes d’ardoises. Le front de taille s’élève aujourd’hui à 10 mètres de hauteurs en moyenne, allant jusqu’à 15 mètres. La végétation aujourd’hui abondante rend l’accès au site difficile et ne permet pas de savoir si des galeries existaient et ont été rebouchées.A proximité immédiate du site, les vestiges d’une petite maison de carrier construite en schiste ardoisier rappellent la vocation industrielle du site qui porte aujourd’hui son nom, « Ty ar Vengleuz », littéralement la « maison de la carrière ». D’autres maisons, figurées sur le cadastre de 1847 et disparues aujourd’hui, ont existé.A environ 400 mètres au sud se situe la carrière de Kernévez, moins large (environ 50 mètres) mais ayant un front de taille pouvant atteindre une vingtaine de mètres (aujourd’hui très difficile d’accès et en partie remblayée). La carrière semble être plus récente, car non indiquée sur le cadastre napoléonien de 1809, bien que toute proche de celle de Poullpichou. Elle est toutefois mentionnée dès 1840 dans le rapport sur les carrières des environs de Châteaulin, puis indiquée sur le cadastre napoléonien de 1847.Une troisième carrière, mentionnée sur le cadastre napoléonien de 1847 au nord-ouest de Kertanguy (mais absente du cadastre de 1809 et du rapport de 1840) semble avoir été active durant la deuxième moitié du 19e siècle. De petites dimensions, il n’en existe plus aucune trace actuellement.Les recensements de population effectués à partir de 1836 montrent un nombre élevé de carriers sur la commune de Saint-Coulitz dans les années 1830-1840 : 36 carriers recensés en 1836, puis 32 en 1841, pour une population d’environ 500 habitants. Le rapport de 1840 sur les carrières des alentours de Châteaulin ne mentionne pour Saint-Coulitz que 7 ouvriers employés à Poullpichou, et 4 à Kernévez. Il semble que si ces deux exploitations étaient les plus importantes, de petites extractions d’ardoises locales ai pu exister, et qu’une partie des « carriers » de Saint-Coulitz travaillaient sur des carrières situées sur les communes avoisinantes.Jusqu’aux années 1880, l’activité ardoisière se maintient sur la commune mais diminue sensiblement (24 carriers en 1851 ; 21 carriers en 1881 ; 15 carriers en 1886), avant de disparaitre définitivement à la fin du 19e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Blanchard Romain

Par : L'inventaire du patrimoine

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