Patrimoine de Paimpol

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Vies d'ouvrières
Il y a dix ans, paraissant "le voyage à Paimpol", qui racontait l'histoire de Maryvonne, ouvrière de Saint Brieuc qui, un jour d'extrême lassitude, fait une fugue et se paye le voyage en autocar pour Paimpol. Dix ans après, l'auteure du roman, elle même ancienne ouvrière, Dorothée Letessier a fait le voyage en autocar entre Saint Brieuc et Paimpol. Entretiens et montage d'entretiens avec Dorothée Letessier, ses anciens collègues d'usine de Chaffoteaux, revues après dix ans d'absence : le travail à l'usine, le manque d'alternative surtout pour les femmes, l'évolution professionnelle de certains collègues

Par : INA

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Coffret aux saintes huiles

Par : L'inventaire du patrimoine

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Plouezec - Une Meule d'Ajonc au Moulin Traca
Un homme sur la meule, un autre au pied, au fond le moulin à vent

Par : Dastum

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Front de mer du Trieux
Le front de mer à l'embouchure de l'estuaire du Trieux forme la limite Nord-Ouest de la commune. A ce niveau, le Trieux est une ria bordée de collines boisées et de falaises entre lesquelles se nichent des grèves de galets. Le front de mer de l'estuaire du Trieux est peu urbanisée, en dehors- du plateau Ouest du port de Loguivy. Les sites archéologiques de Mélus et de l'éperon rocheux sont remarquables en haut de la micro-falaise. Dans la partie boisée de l'estuaire, on peut remarquer les vestiges d'un ancien four à chaux. Quelques épaves de bateaux de pêche forment un petit cimetière à bateaux dans l'une des anses. Le balisage de l'estuaire, daté de la seconde moitié du 20ème siècle est remarquable. On peut encore remarquer l'îlot de Roc'h Arhant avec son ancien corps de gardes et une petite habitation privée.Le bâti littoral de l'estuaire du Trieux est daté du 19ème et du 20ème siècle. Les habitations les plus anciennes sont du 19ème siècle (Landiris). Le four à chaux est daté au moins du 1er quart du 19ème siècle.Les vestiges archéologiques sont de l'âge du Bronze (allée de Mélus et Roch ar Evned, la roche Cornec ('Karreg ar Yelan', le 'rocher de l'épeautre').Les artistes ont été nombreux à la fin du 19ème siècle et au début du 20ème siècle à dessiner et peindre l'estuaire duTrieux : H. Rivière (1864-1960), Louis-Marie Faudacq (1840-1916), Paul Sébillot (1843-1918), Paul Signac (1863-1935), Charles Lapicque (1898-1988), Etienne Bouillé (1858-1933), Charles Hall Thorndike (1875-1935) pour n'en citer que quelques uns.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Environs de Paimpol : Le bateau de passage de Breh

Par : Dastum

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Ploubazlanec ; chapelle de Perros-Hamon ; petit po

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Ploubazlanec ; chapelle de Perros-Hamon ; chapelle

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Croix de chemin, chemin du Porjou, Kergrist (Paimp
Croix de chemin mutilée en granite dressée sur un socle à griffes posé sur un soubassement moderne. Elle est ornée d'un décor en mauvais état, dont un Christ en croix (face).Croix de chemin remaniée du 17ème siècle (probable datation) dressée sur un soubassement moderne.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Construction navale : chantiers navals sur la comm
Les chantiers navals paimpolaisEn 1860, il existait à Paimpol plusieurs chantiers de construction navale : Julien et Yves Pilvin et Tanguy, associés, et Laboureur. Ces chantiers construisaient des bateaux tant de pêche que de plaisance, comme le yacht-bisquine 'L'Hirondelle', sorti du chantier Laboureur en 1889 et le cotre 'Illico' de 3,10 tonneaux, long de 11 mètres et lancé en 1888 par le chantier Laboureur, qui remporta le premier prix des régates de Tréguier. Louis Laboureur (1812-1888), charpentier, fut l'un des premiers constructeurs de bateaux installés à Paimpol au 19ème siècle. Louis (dit "Louis aîné" était "pouleyeur" c’est à dire fabricant de poulies pour cordages de navires comme l'était son père Yves. Mais il a aussi construit quelques bateaux de travail.Il avait installé deux chantiers dans le quartier de Kernoa à Paimpol, au Four à Chaux. Son fils Louis-Pierre-Marie Laboureur (1836-1892), maître constructeur, diplômé de l´arsenal de Cherbourg en 1854, reprit le chantier familial en 1860. Situé sur les cales du Four-à-Chaux, ce chantier est à l´origine de la naissance de la goélette paimpolaise.1 Laboureur fut honoré par de nombreux diplômes et médailles, non seulement pour ses morutiers, mais aussi pour ses caboteurs et ses yachts. Ces derniers sont les enseignes du chantier et, par leurs résultats en régates, lui assurent une formidable publicité. À la mort de Laboureur en 1892, son entreprise est si florissante que, faute de place, elle avait dû ouvrir deux autres chantiers à La Richardais. Entre 1894 et 1898, les chantiers Laboureur auront construit 37 navires ! Léon-Pierre-Marie Laboureur (1878-1941) prendra la suite de cette lignée de constructeurs. D’autres chantiers navals vont s’installer à Poulafret, Goasdoué, Perrot, comme Bonne qui allait étendre le potentiel industriel paimpolais jusqu’à la crise des années 1930. En 1902 et 1903, les chantiers paimpolais ne livrent pas moins de 85 navires aux armateurs.2 En 1877, les constructeurs demandèrent la construction d'une passerelle mobile à Kernoa, aux abords des chantiers, afin de faciliter les déplacements. L'absence de cale sèche impliqua d'édifier un platier de carénage entre le môle de Kernoa et le bassin à l'intérieur du port, ce qui permettait de poursuivre la construction de navires lorsque les chantiers étaient encombrés. Ce platier, approuvé en 1890, fut réalisé et accueille encore aujourd'hui plusieurs ateliers de mécanique et de construction navale. Il servit surtout aux constructeurs qui ne disposaient pas d’installations portuaires, mais aussi au débarquement des engrais marins et pour les entrepôts Dauphin. Au début du 20ème siècle, les chantiers navals étaient à leur apogée, bien que les travaux du nouveau bassin et de la nouvelle jetée gênassent leurs ateliers. Le chantier Bonne, en particulier, ne put satisfaire toutes les commandes en 1903. Bonne installa une première scie à vapeur pour accélérer le travail et la livraison. Cette année 1903, 51 navires étaient mis à l'eau, à la faveur notamment de la prime à la construction. En 1909, plus de 200 ouvriers travaillaient dans les chantiers navals paimpolais.Avant 1922, Laboureur construisait des goélettes au Four à Chaux, à la place du chantier actuel Pierre-Louis Dauphin, dont Bonne fut le contremaître avant de s'installer à son compte à Kernoa. Le chantier Goasdoué construisait des bateaux de pêche et de plaisance, dont le 'Bois Dormant' en 1913. En 1930-35, Antoine Kerbiguet était installé près des abattoirs (Kerpalud). Jean Huon, son ouvrier, prit plus tard la suite du chantier et s'installa sur le quai Loti, près de l'ancienne école hydrographique. Il vendit son affaire à Raynaud. Kerbiguet et Chevert construisaient des navires de moindre importance en plein air. Chevert fut l'un des derniers grands constructeurs paimpolais, pendant la seconde guerre mondiale, quai de Kernoa, après qu'il eut quitté Binic en raison de la fin de la grande pêche. Ses ouvriers travaillaient encore à l'herminette. L'un de ses derniers canots de 8 mètres fut 'La Pensée'. Les chantiers navals Huon et Le Chevert vont connaître une activité considérable en 1940-42 du fait de la construction de petites unités pour la pêche côtière (5-8 tonneaux). Jean Huon fit construire nombre de langoustiers et de petits chalutiers dont le '17 Août' (chalutier) mais aussi des voiliers de plaisance, dont la série des 'Mordicus'. Chevert était installé rue Labenne. Il existait aussi avant guerre le chantier naval et d'accastillage François Dauphin et après guerre, le chantier de Louis Marie et de Guillememon Henri, associés. Les Chantiers navals Yves Daniel et Louis Marie représentent les derniers constructeurs traditionnels. La relève a été prise aujourd'hui par le chantier naval Gilles Conrath et le charpentier de marine Klass Stelman. Le chantier naval Bonne (aujourd'hui disparu) a été étudié.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ancienne ferme, chemin de Kerano (Paimpol)
Ancienne ferme datant de la fin du 19ème siècle ou du début du 20ème siècle.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Hôtel de voyageurs, rue Saint-Vincent (Paimpol)
Ancien hôtel de voyageurs datant du 1er quart du 20ème siècle.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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École Sainte-Anne, Plounez (Paimpol)
Élément de décor : niche à statue.École datant de la fin du 19ème siècle ou du début du 20ème siècle.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Paimpol - La Procession de la Fête-Dieu

Par : Dastum

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Souvenirs de bistrot à Paimpol
A Paimpol, la "Cité des Islandais" où la pêche à la morue et le départ des hommes, chaque hiver, pour six mois, ont rythmé la vie entre 1852 et 1935, rencontre avec Jean-Paul Cadic. Il a grandit dans le bistrot que tenait sa mère, le café des caboteurs et nous raconte, ses souvenirs des conversations des marins et anciens capitaines.

Par : INA

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Vierge près de Beauport (Paimpol)

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Cales et murets littoraux de La Corderie (île-de-B
L'anse de la Corderie, ancien port de Bréhat, est sillonnée sur son pourtour de nombreuses ouvrages littoraux : cales, modestes jetées de pierres, escaliers de desserte et murets de défense contre la mer. Ces cales, construites en moellons de granite, parfois maçonnés, sont bordées de marche-pied. Certains ouvrages privés sont à l'état de ruines alors que les ouvrages communaux sont entretenus et restaurés.Les nombreuses cales et petits ouvrages littoraux de l'anse de la Corderie ont été construits au cours du 19ème siècle, lors de l'implantation du service des Ponts-et-Chaussées pour la réalisation du balisage local, entre la phare des Héaux de Bréhat et les nombreuses balises de l'archipel. Les Ponts-et-Chaussées ont aussi aménagé des cales pour les abris de sauvetage et l'aménagement du littoral de a commune de Bréhat. Des talus et des murets ont été aménagés par cette administration entre 1848 et 1852 en particulier au fond de la Corderie.De nombreuses petites cales et simples jetées de pierre, ainsi que des murets littoraux ont été réalisés par les propriétaires riverains de la Corderie à la fin du 19ème siècle.La commune de Bréhat entretient régulièrement ces petits ouvrages littoraux, qui donnent accès la grève. Quatre cales situées au fond de l'anse de la Corderie ont été étudiées pour leur ancienneté, la qualité de leur construction et de leur restauration.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ile de Brehat : La distribution du courrier

Par : Dastum

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Ile Brehat : La cale au Port Clos et le bateau pas

Par : Dastum

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L'Ile de Bréhat
A l'occasion des vacances de printemps, les îles bretonnes, et notamment l'Ile de Bréhat, sont une destination pour de nombreux touristes. Bréhat offre aux vacanciers charme et tranquillité.

Par : INA

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