Patrimoine de Paimpol

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Vies d'ouvrières
Il y a dix ans, paraissant "le voyage à Paimpol", qui racontait l'histoire de Maryvonne, ouvrière de Saint Brieuc qui, un jour d'extrême lassitude, fait une fugue et se paye le voyage en autocar pour Paimpol. Dix ans après, l'auteure du roman, elle même ancienne ouvrière, Dorothée Letessier a fait le voyage en autocar entre Saint Brieuc et Paimpol. Entretiens et montage d'entretiens avec Dorothée Letessier, ses anciens collègues d'usine de Chaffoteaux, revues après dix ans d'absence : le travail à l'usine, le manque d'alternative surtout pour les femmes, l'évolution professionnelle de certains collègues

Par : INA

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Lanleff - Chapiteau / Motif
CHAPITEAU motif tressé

Par : Dastum

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Bouteille de décoration
Une croix aux outils est placée dans cette bouteille en verre minéral de 15 cm de hauteur et de 7 cm de diamètre à sa base. Un béret de la Marine Nationale (en miniature) a été rajouté sur le goulot.Cette bouteille contient une croix aux outils, comparable à la croix aux outils de Plouézec. Elle est la propriété d'un particulier.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Deux portes cierges

Par : L'inventaire du patrimoine

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Anciens quais et anciennes cales du port de Loguiv
La cale Ouest de l'avant-port mesure 48, 50 m de longueur et va de la cote 10, 00 m à la cote 7, 55 m. La cale Est mesure 89, 45 mètres de longueur et va de la cote 12, 00 m à la cote 8, 45 m. Ces deux cales ont la même largeur 1, 50 mètres et la même hauteur 1,10 m. Les murs des deux quais sont maçonnés avec des moellons de granite et n'ont pas de fruit (verticaux). Les deux cales sont sensiblement orientées dans le prolongement l'une de l'autre. Cette disposition favorise l'accès à l'embarquement mais protège insuffisament le plan d'eau.La cale Ouest de l'avant-port a été construite en 1853 et la cale Est, en 1865. Ces deux cales devaient être élargies de 1 mètre et exhaussées de 1, 50 mètre en 1953, mais ce projet ne fut pas réalisé.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ferme
Ferme à cour fermée construite en moellons de granite. Elle comprend probablement un logis de type ternaire.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ensemble cultuel dit le 'Mur des Disparus', cimeti
Le 'Mur des Disparus' est le mur d'enclos Ouest du cimetière de Ploubazlanec, au centre du bourg et jouxte l'ancien presbytère. Il mesure une centaine de mètres sur une hauteur d'environ 2, 50 mètres. Il est maçonné en moellons de schiste et de granite. Les modestes panneaux en bois, croix et couronnes de perles sont apposés directement sur le mur et forment une série de 'mémoires' ou encore un ensemble cultuel, en souvenir des 'Disparus en mer'.27 plaques en bois, 'reconstituées', ont été repérées, dont les mesures les plus récurrentes sont de : 70 x 50 cm. 12 plaques plus anciennes en marbre, de dimensions différentes, ont aussi été relevées. Le 'Mémoire' dédié aux naufragés de la 'Mathilde' (1867) mesure 90 cm x 59 cm. La plaque en granite rappelant l'ensemble des naufrages 'à Islande' mesure 88 cm x 65 cm (Fig. 16) . La plaque en marbre en mémoire de Guillaume Caous, mesure 45 x 30 cm.Témoignage rédigé par Louis Corouge, ancien adjoint au maire de Ploubazlanec : Progressivement depuis 1859 et seulement jusqu'en 1913, suivant l'impitoyable succession des naufrages particulièrement 'à' Islande, les familles des 'péris en mer' de Ploubazlanec prirent l'habitude d'apposer sur un mur du cimetière, des croix, des couronnes et des panneaux de bois appelés 'Mémoires' parce qu'ils commençaient tous par la formule 'à la mémoire de', 'en mémoire de'. Elles voulaient ainsi perpétuer le souvenir de leurs chers disparus et venaient ici se recueillir et prier devant ce mur, comme les autres familles, dans le respect du culte des morts.La datation précise de l'ancien cimetière de Ploubazlanec n'est pas connue, cependant, on peut considérer comme Louis Corouge, que l'habitude de fixer sur le vieux mur du cimetière des 'Mémoires', sous la forme particulière de panneaux en bois, est datable du 3ème quart du 19ème siècle, à la suite des premiers naufrages avec pertes humaines des goélettes, armées pour la grande pêche à Islande.En 1939, la municipalité décidait d'agrandir le cimetière du côté du jardin du presbytère recteur et donc de détruire le 'Mur des Disparus'. Les familles furent invitées à reprendre provisoirement les croix, les couronnes et les 'mémoires', le temps de reconstruire le mur (à des fins de culte mais aussi pour des raisons à la fois touristiques et de patrimoniales). Les travaux furent ajournés à cause de la guerre et d'autres priorités de l'après-guerre. En 1947, on commença à relever les noms des marins disparus auprès des familles et à refaire les premières plaques. Mais ce ne fut qu'au début des années 1950 que le maire et le recteur, après plusieurs réclamations de part et d'autre, demandèrent le retour de tous les 'mémoires' sur le nouveau mur. Cette démarche fut vaine.Les "mémoires" remplacés par des répliques : En 1952, d'importantes manifestations eurent lieu à Paimpol pour célébrer le centenaire du premier départ de la goélette 'Occasion' pour l'Islande. La commune de Ploubazlanec voulut alors perpétuer le souvenir de cette période islandaise. Elle décida de donner de donner un nouveau lustre au 'mur des Disparus'. En s'inspirant des propositions de l'abbé Pouhaer et de l'ouvrage de Mgr Kerlévéo 'Paimpol au temps d'Islande', la municipalité installa des plaques neuves de couleur noire dans un ordre chronologique des naufrages. Elle fit inscrire sur le modèle des précédentes les nom des goélettes naufragées et les noms des marins disparus en mer.En 1992, une seconde restitution et reconstitutions des plaques ou 'mémoires' fut opérée à la demande de Louis Kermarec, un des deux derniers islandais de la commune, en complétant le liste des goélettes ayant sombré en Islande entre 1913 et 1935.Les 'mémoires' furent replacés dans leur historicité et les panneaux furent en partie refaits, en prenant en compte les 83 années de la pêche 'à Islande'.Les marins décédés sur les bancs de Terre-Neuve et les graviers de Saint-Pierre et Miquelon ne furent pas oubliés. On rajouta aussi les noms des goélettes dont les membres d'équipage furent sauvés. Le 'Mur des Disparus' reçut encore les noms des marins décédés à bord ou parfois enterrés dans les cimetières islandais.Désormais, les seuls 'Mémoires' authentiques des 'Disparus' en mer se trouvent sous le porche de la chapelle de Perros-Hamon.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ploubazlanec ; mur des disparus en mer

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Ploubazlanec ; chapelle de Perros-Hamon ; intérieu

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Ploubazlanec ; mur des disparus en mer

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Croix de chemin dite croix de Pen-an-Run, rue Béco
Croix à haut fût monolithe écoté dressée sur un socle posé sur un soubassement en maçonnerie rapporté.Croix de chemin datant probablement du 17ème siècle, posée sur un soubassement moderne (20ème siècle).
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Usine de produits agro-alimentaires (sécherie de m
Le bâtiment de la sécherie de morues est composé de trois ensembles. Tout d'abord un bâtiment de plan rectangulaire en bois, orienté est-ouest, couvert par un toit à longs pans en tuile mécanique, qui a servi de hangar à voiles. On trouve ensuite un bâtiment rectangulaire orienté nord-sud, en brique, percé de hautes fenêtres avec un linteau à arc surbaissé, et couvert par 4 sheds. Chaque partie est cloisonnée intérieurement avec des colonnes en briques supportant des arcs en plein cintre.Au nord, ce bâtiment est encadré par deux tours. Celle du nord ouest est une tour de cheminée carrée construite en moellon de grès avec des angles en briques. Celle du nord, de plus grande taille, est plus élaborée. Sa base présente deux assises de granite avec des angles en brique puis un mur de moellon en granite rose traité légèrement en bossage. La partie supérieure forme un lanterneau fermé par des planches à claire-voie. Ces cheminées semblent être en communication avec une fosse intérieure qui longe les façades du bâtiment. Il pourrait s'agir d'un système de chauffage pour accélérer le séchage des morues. A l'est, une cheminée ronde frettée avec des bandes de fer, visible rue de l'Yser, maintenant isolée dans un jardin, était probablement à l'origine liée à la sécherie.Intérieurement, l'espace est cloisonné par des murs en grès soutenant les sheds. Ils sont percés à intervalles réguliers de passages en plein cintre à encadrement de brique.Cette usine a été construite pour le comte de Labenne, fils naturel de Napoléon III, par l'ingénieur Tellier, à partir de 1880. C'était une sècherie de morues destinée à traiter la pêche d'Islande. Mais le comte meurt en 1882, ce qui explique que l'usine n'a jamais servi à cet usage. Elle abritera ensuite une usine de menuiserie puis une voilerie pour la famille Dauphin. Selon des témoignages oraux, le bâtiment par lequel on rentre actuellement aurait abrité un hangar à sel pour les goélettes en partance, mais il a plus vraisemblablement été construit au début du 20e siècle par Dauphin pour étaler ses voiles. C'est d'autant plus plausible que lorsqu'il a décroché le marché pour la fourniture des voiles de l'Etoile et de la Belle Poule l'entrepreneur a utilisé d'autres bâtiments car le hangar était trop petit. Après sa fermeture, la voilerie a été rachetée par la ville, qui y a installé son musée de la mer en 1990.
Auteur(s) du descriptif : Cucarull Jérôme

Par : L'inventaire du patrimoine

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Paimpol - Porte / Anse de panier / Tête / Fronton
PORTE granit, anse de panier, tête, fronton - Pots tournés appareillage 3 U, triangle 3 U

Par : Dastum

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Souvenirs de bistrot à Paimpol
A Paimpol, la "Cité des Islandais" où la pêche à la morue et le départ des hommes, chaque hiver, pour six mois, ont rythmé la vie entre 1852 et 1935, rencontre avec Jean-Paul Cadic. Il a grandit dans le bistrot que tenait sa mère, le café des caboteurs et nous raconte, ses souvenirs des conversations des marins et anciens capitaines.

Par : INA

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Chapelle de Lancerf ; tombeau du comte de Labenne

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Chapelle de Lancerf ; tombeau du comte de Labenne

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Chapelle de Lancerf près Paimpol ; le clocher

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Chapelle de Lancerf près Paimpol

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Abbaye de Beauport

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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L'Ile de Bréhat
A l'occasion des vacances de printemps, les îles bretonnes, et notamment l'Ile de Bréhat, sont une destination pour de nombreux touristes. Bréhat offre aux vacanciers charme et tranquillité.

Par : INA

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