Croix et calvaires de Bretagne

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Calvaire de Guiscriff (Morbihan)
Homme et petites filles en cotume breton près du calvaire ; écolier regardant le photographe.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Calvaire de KERGOAT près Châteaulin
Quéménéven.- Le calvaire de la chapelle Notre-Dame de Kergoat.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Le calvaire à la pointe de Penmarch : [photographi

Par : Gallica

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Plougastel, type d'écolières, 11-1-10 [groupe de f

Par : Gallica

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Croix processionnelle en vermeil de Eglise de Guen
Guengat.- Croix de procession en vermeil, église Saint-Fiacre.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Environs de Brest. Le Calvaire de Guimilliau : [ca
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Pont-Croix 1937

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Palmarès du Petit séminaire de Pont-Croix 1883-190

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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plaque de verre
Sujet représenté : portrait collectif (famille ; homme ; costume ; cravate ; noeud-papillon ; clergé ; lunettes ; femme ; costume traditionnel ; coiffe ; robe ; bijou ; croix ; enfant ; fillette ; noeud) - N° d'inventaire : 2015.0.252

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Pluzunet
Conférence de Guy Castel sur Marc’harit Fulup, passeuse de mémoire, et ses relations avec Le Bras, Luzel, Le Gofic, Vallée. Visite d’une partie du riche patrimoine de Pluzunet : les manoirs de Coat-Nizan (restes de l’ancien château-fort), de Kermenguy, de Runeubet et de Guermarquer, l’église St Pierre, la chapelle du Loc et celle de Saint Idunet (avec sa croix de 1743) et sa fontaine à la forme rarissime de calice.

Par : L'ARSSAT

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Vivre en Bretagne - de Jean V à la Duchesse Anne
La mer, le sel, le vin. La terre. Les métiers de la ville. Des échanges à échelle modeste, mais une expansion marquée. La masse des paysans, une abondante petite noblesse, une aristocratie très puissante. Autant de notes concrètes, quotidiennes, que le film ordonne et insère dans une culture –exclusivement en breton pour la moitié de la population- dominée par la religion, par la très grande importance de la vie paroissiale, le culte des saints, les pèlerinages. L’Eglise y enseigne par l’image, celle des calvaires comme à Tronoën, celle des jubés comme à Saint-Fiacre du Faouët, celle des fresques comme à la chapelle de Kermaria en Plouha. Danse macabre, crainte de l’Enfer… La Bretagne du XVe siècle est celle de l’éclat de la puissance ducale (qu’a présentée un premier film, l’Etat breton de Jean V à la Duchesse Anne), celle d’une réelle prospérité économique, celle d’une paisible religion quotidienne, mais aussi une Bretagne de misère, de souffrance et de peurs.

Par : L'aire d'u

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La Tordue aux Rencontres Trans Musicales de Rennes
Issus des pavés et des troquets parisiens, La Tordue joue de la voix, du piano, avec et sans bretelles, de la contrebasse, de la guitare, du bandonéon, des mots et de la scie. Un doigt de mélo, un doigt d’humour et une grosse dose de poésie. Trio bohème aux chansons immédiatement accrocheuses, tant pour le sens (intelligent) que par le son (goût marqué pour la mélodie), La Tordue privilégie l’acoustique et la simplicité sans pour autant faire une croix sur les prestations électriques. Apaches ou poulbots, aura certaine et présence scénique garantie. En ouverture des Trans.

Par : Association Trans Musicale

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L'Echo Râleur aux Rencontres Trans Musicales de Re
Ils sont environ 60 choraleurs sans-culotte issus de la Mano Negra, des Bernadette Soubirou, des Endimanchés, des Chihuahua, des Satellites et autres Négresses Vertes qui chantent à capella. Alternatifs, ils sont passés par les terrains vagues et les pelouses interdites pour crier (chanter) haut et fort avec un aplomb de tous les diables. Ils sont à leur actif un album Sang Neuf en 89 avec les meilleurs groupes de la scène indépendante française. Une création inspirée de la Révolution qui remet à flot l'immortelle Carmagnole II y a eu les Petits Chanteurs à la Croix de Bois, aujourd'hui on a des petits keupons à la pêche d'enfer.

Par : Association Trans Musicale

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Franck II Louise aux Rencontres Trans Musicales de
Instinct Paradise Lorsque la première vague hip hop submerge la France au début des années 80, Franck Il Louise est encore adolescent. Immédiatement, il se plonge dans ce monde nouveau. Il apprend à danser, rencontre Afrika Bambaata, part à New York et, surtout, crée le premier groupe de breakdance d'ici, Paris City Breakers. La mode passe mais le jeune homme continue de vivre sa passion au jour le jour. Il s'initie à la technique de Di, se met à la musique. Aujourd'hui, il compose pour les compagnies de danse les plus prestigieuses de l'Hexagone, comme Kâfig (Récital) ou AktueI Force, alors qu'il reste un chorégraphe de croix, travaillant sur maints films publicitaires ou événements spécifiques. Avec Instinct Paradise, il crée sa première pièce chorégraphique, qui met en scène trois danseurs. Inspirée par la science-fiction des années 70, cette création pose le problème de l'identité - de son affirmation plutôt - dans un univers où tout semble dépersonnalisé, aussi bien dans le microcosme du rap que dans la société actuelle. À l'instar des œuvres kafkaïennes, Instinct Paradise montre du doigt cette absurdité et, surtout, prône la connaissance de soi, étape essentielle pour connaître l'ivresse de la liberté universelle.

Par : Association Trans Musicale

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Genver 1967
Famille. Enfants qui jouent. Youenn Olier. Repas de famille. Femme puis enfants qui jouent du piano. Affiche "Sav-Breizh" sur le mur (ou Sav Breizh, "Debout Bretagne", mouvement nationaliste progressiste breton et titre de son organe de presse). Sortie d'une cérémonie religieuse. Chats. Pique nique. Rassemblement en extérieur, beaucoup de drapeaux bretons, stands. Banderole "Sked"(...). Affiche : "Brezhoneg er gêr da gentañ ! Emglev an Tiegezhioù (EAT). Kenstrivadeg tresañ : Ar Vretoned o tont da Arvorig. Kas an tresadennoù (ment 21x27) da EAT, 30 leurgêr al Lisoù, 35 Roazhon." (= Du breton à la maison d'abord ! "L'Alliance des familles". Concours de dessin : les Bretons arrivent en Armorique. Envoyer les dessins (taille 21x27) à EAT, 30 place des Lices, 35 Rennes). Affiche : "Brezhoneg e Breizh gant Brudañ ha Skignañ. Ho skoazell, ho menozioù, a vo degemeret mat amañ !" (= Du breton en Bretagne avec Brudañ ha Skignañ (promouvoir et diffuser). Votre aide, vos idées, seront les bienvenues !) Défilé d'un bagad de musiciens. Drapeau rouge, croix noire entourée de blanc et triskell blanc au milieu. Discours. Glenmor (Milig ar Skañv) discute. Stand "L'avenir"(...) : L'avenir de la Bretagne, journal créé en 1957 ? Balade en forêt, baignade. Camion EVEN. Autres personnalités à l'image : Youenn Drezen, Alan Al Louarn, Vefa de Belaing, Kerlann.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Eglise paroissiale Saint-Sauveur, rue du Général d
Gros-oeuvre en assises alternées de kersantite, de granite et de microdiorite quartzique. Porche sud en kersantite. Sacristie en moellons enduits.Ancienne croix de cimetière datée 1526 déplacée dans le cimetière actuel. Eglise à chevet plat achevée au milieu du 16e siècle (date portée 1544) ; conservation de sablières et de blochets contemporains dans l'angle sud ouest du transept. Porche sud érigé entre 1598 et 1613. Massif occidental, tour, clocher et lanternon construits entre 1628 et 1647 avec remploi d'une porte datant du milieu du 16e siècle. En 1680, transformation du chevet plat d'origine en chevet à pans multiples (chevet Beaumanoir), rajout de la sacristie nord et obturation des baies du choeur et du transept lors de la mise en place de retables et de lambris. Au 18e siècle, doublement présumé du transept avec remploi d' éléments datant du milieu du 16e siècle. Sacristie sud construite en 1877 sur l'emplacement d' une sacristie plus ancienne. Vestiges d'un arc monumental érigé à la fin du 17e siècle. Cimetière transféré en 1866. L' ossuaire qui datait de 1603 est démantelé en 1892 lors de l' élargissement de la route. Une litre funéraire peinte couvrant les murs de la nef et figurant les armoiries de Nicolas Magon de la Gervaisis est encore en place au début du 20e siècle. Monument aux morts érigé vers 1920. Site classé le 9 juillet 1927.
Auteur(s) du descriptif : Douard Christel

Par : L'inventaire du patrimoine

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