Les documents du Pays d'Auray

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Vieux calvaire à Portivy (Quiberon)

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Stèle christianisée dit stèle de Prostlon et croix
La stèle et la croix associées de Pen-er-Pont sont implantées en bordure du chemin vicinal de Mendon à Locoal. Le monument de forme aproximativement cylindrique est terminé par une sorte de calotte limitée par un tore et un motif à torsade retombant verticalement sur les faces sud et nord. Sur les faces ouest et est sont gravées une croix grecque sur hampe encadrée de motifs côté est. Une gravure linéaire en creux commence à mi-hauteur de la stèle.La croix de chemin est formée d'un soubassement carré en pierre de taille, d'un socle, d'un fût chanfreiné en deux parties et d'un croisillon à bras tréflés.Stèle d'époque gauloise associée à une croix du 17e siècle, toutes deux implantées à Pen-Pont, à l'entrée de la presqu'île de Locoal. On appelle ce monument, la stèle de Prostlon d'après l'inscription Crux Prostlon gravée dessus, probablement au 9e siècle, en souvenir de l'épouse de Pascueten, comte de Vannes qui régnait sur cette partie sud de la Bretagne à la fin du 9e siècle. Elle est probablement christianisée à cette époque comme le montre la croix sculptée en creux à son sommet. Une charte du cartulaire de Redon rédigée en 874 rapporte que Pascueten a fait d'importants dons aux moines de l'abbaye de Redon afin qu'ils prient pour la mémoire de son épouse enterrée à l'abbaye. La croix de chemin voisine est édifiée au 17e siècle à côté de la stèle pour la christianiser, comme d'autres exemples de monuments gaulois inventoriés sur la commune. Le cadastre de 1845 situe la croix à son emplacement actuel sous le nom de croix de Penpont. Son socle porte la date de 1807 qui semble correspondre à une date de restauration.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Tanguy Judith

Par : L'inventaire du patrimoine

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Bulletin paroissial de Locmariaquer et Crac'h - av
avril 1916. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Locmariaquer et Crac'h - ju
juin 1919. 20ème siècle

Par : Gallica

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Statue de sainte Brigitte
Statue en bois en plusieurs éléments.Statue de sainte Brigitte du 19e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Tanguy Judith

Par : L'inventaire du patrimoine

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Statue de saint évêque
Statue de saint évêque probablement réalisée au 16e siècle, remaniée après sa restauration. Selon Danigo, elle aurait été découverte en 1944 dans la soupente de la toiture avec la statue du saint Vincent Ferrier.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Tanguy Judith

Par : L'inventaire du patrimoine

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Brech (Eglise) - Chapiteau
CHAPITEAU

Par : Dastum

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Écart dit village de Keriscoarn
Le village est constitué de deux fermes dont la structure est très proche, mais dont la propriété n'est plus aujourd'hui identique à celle du cadastre ancien. Au sud, la ferme était constituée d'un logis-étable, à comble à surcroît. Les deux pignons sont pourvus de cheminées, celle de l'ouest ayant été ajoutée postérieurement. Un nouveau logis à haut surcroît est construit en prolongement à l'ouest, un appentis à l'est. La seconde ferme est également de type logis-étable, mais à haut surcroît et porte haute. Il est prolongé d'un logis à haut surcroît à trois travées vers l'est. Isolés à proximité, deux fournils dont celui longeant le chemin actuel est en ruines. Puits en pierre de taille de type morbihannais.Le hameau de Keriscoarne est situé à la frontière d'Erdeven, dont il jouxte le village de Keroulard. Modeste hameau, il était constitué de deux fermes du 17e siècle dont les bâtiments figurent sur les plans cadastraux de 1811 et 1845. Ces deux bâtiments principaux ont été complétés par de nouveaux logis en alignement au cours du 19e siècle, les anciens logis devenant alors étables. Celui du sud voit sa cheminée d'origine détruite et reconstruite au pignon est, la suppression de l'escalier extérieur au nord et le remplacement de sa toiture en chaume par de la tôle. Celui du nord a été vu la suppression de l'escalier extérieur au sud desservant le comble, probablement lors de l'écroulemnt d'une partie de la façade sud : la fenêtre du logis est alors changée. La toiture en chaume est également changée pour de l'ardoise. Le nouveau logis construit dans la seconde moirtié du 19e siècle remplace en partie l'ancien ; il voit la transformation d'une partie du grenier à haut surcroît en étage carré avec chambre. Au nord, un des deux fours à pain, du 18e siècle (?) est en ruines, tandis que le plus proche de la ferme qui existe en 1845 est conservé. Le puits date du 19e siècle.La route qui traverse le village au 19e siècle est détournée au nord des bâtiments anciens au 20e siècle. Sur son côté nord sont en cours de construction des maisons contemporaines.
Auteur(s) du descriptif : Tanguy Judith ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Bro hon tadoù

Par : Dastum

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Commémoration à Etel
Les Etélois commémorent l'armistice de 1945. Un ancien résistant, Capitaine Albert, revient sur la capitulation allemande de la poche de Lorient. La phase décisive de la reddition allemande débuta le 7 mai. Le cessez-le-feu fut signé le 8 mai à Etel.

Par : INA

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Bulletin paroissial de Quiberon - décembre 1916
décembre 1916. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Quiberon - août 1916
août 1916. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Quiberon - janvier 1917
janvier 1917. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Quiberon - juin 1917
juin 1917. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Quiberon - décembre 1917
décembre 1917. 20ème siècle

Par : Gallica

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Manoir, puis château de Kercadio (Erdeven)
Situé à l'est du bourg, sur la route de Ploëmel et Auray, le manoir et château de Kercadio est construit dans un enclos dont il occupe la partie sud-est.Logis, communs, ancien logis composent un plan d'ensemble en U autour d'une cour (plan masse). Le corps de logis principal est orienté au sud. Les communs sont en retour à l'est et à l'ouest. Le logis-tour ancien est situé à l'extrémité sud des communs est (sous dossier). Le mur fermant la cour au sud, s'apparente à un saut de loup avec portail à deux piliers en bossage au centre.L'ensemble de ces bâtiments fermant la cour, s'inscrit dans un grand enclos quadrangulaire, avec chapelle (ruine) dans l'angle nord-ouest et orangerie (ruine) dans l'angle nord-est.L'ancien logis, logis-tour construit à l'angle sud-est de la cour du manoir, est aspecté à l'ouest et aveugle vers l'extérieur, y compris sa façade nord, contre laquelle sont venus s'adosser des communs au 17e siècle.Edifice de plan carré avec tour d'escalier hors oeuvre dans l'angle sud-ouest, échauguette en encorbellement dans la partie supérieure de l'angle sud-est et tourelle très peu saillante à l'angle nord-est, intégrant des latrines.Les parements extérieurs, aux assises régulières, sont réalisés en moellons équarris, mêlés de pierres de taille de moyen et grand appareil (remplois).Planchers et charpente de toit n'existent plus. L'ensemble s'apparente à une tour-logis, réminiscence des anciens donjons.La façade principale ouvre à l'ouest sur la cour. L'élévation et à deux étages carrés avec une seule pièce par niveau de faible hauteur.La salle du rez-de-chaussée présente une cheminée en pignon nord, dont les piédroits aux larges chanfreins se terminent en consoles superposées profilées en doucine. Une petite crédence cintrée et à feuillure est aménagée dans le mur sud. Le sol est dallé et la fenêtre à arc en anse de panier également à large chanfrein, conserve des coussièges. La porte d'entrée présente un linteau à double accolade au milieu desquelles figure un blason sculpté, non identifiable.La cheminée de la salle du premier étage est sur le mur sud. Ses consoles sont en quart de rond. A droite, une petite crédence intégrée à la maçonnerie, en anse de panier et à feuillure, conserve l'attache de sa charnière et un enduit intérieur. Dans l'angle nord-est une porte à linteau droit orné d'une accolade, ouvre vers les latrines et/ou poste de guet intégrés à la tourelle d'angle. Dans le mur est subsiste l'ébrasement d'une ancienne meurtrière (bouchée). La grande fenêtre du mur ouest, est à linteau à arc segmentaire et palâtre ou arrière voussure en bois (18e siècle). La salle du 2e étage présente une petite cheminée sur le mur est, sans décor. Comme au niveau inférieur, l'angle nord-est est ouvert d'une porte, cette fois à linteau cintré donnant vers les latrines. Dans l'angle sud-est une autre porte ouvre sur l'échauguette d'angle surveillant l'ancien chemin. La grande fenêtre du mur ouest, est à linteau à arc segmentaire et palâtre en bois (18e siècle). La tour d'escalier de l'angle sud-ouest, renferme une vis en pierre de grande qualité. La terrasse qui lui servait encore de couverture au début du 20e siècle est probablement une rénovation du 19e siècle. Pour y accéder il fallait passer par le comble du logis. L'escalier distribue chacune des salles des trois niveaux par une porte cintrée.Les ouvertures éclairant l'escalier sont à ébrasement intérieur. A l'exception d'un jour orné d'une accolade dans la partie basse de la tour, et d'un oculus éclairant le dernier niveau de la tour, elles ont la forme de meurtrières ou bouches à feu pour armes légères (simples mousquets). Deux formes sont identifiables : simple carré ouvert dans une dalle monolithe posée de chant sans ou avec faible ébrasement extérieur ; double ouverture circulaire superposées, réunies au centre, taillée dans dalle monolithe posée de chant sans ébrasement extérieur.L'échauguette est en encorbellement sur l'angle sud-est, au niveau du second étage. Régulièrement appareillée en pierre de taille, elle présente dans sa partie supérieure les vestiges d'une corniche. Un jour, chanfreiné à l'extérieur est ouvert au sud et une meurtrière semble être orientée à l'est (inaccessible).Le logis procède de la rénovation au 18e siècle d'un logis ancien. De plan allongé, à onze travées côté sud, il est couvert d'une charpente à longs pans sur pignons découverts. Le comble est un simple grenier éclairé de quatre lucarnes à frontons triangulaires ou cintrés. La travée centrale à fronton triangulaire ouvre sur l'escalier d'honneur. En légère avancée elle est de style classique ornée de pilastres de granite et de pierre blanche en ressaut. La porte-fenêtre de l'étage ouvre sur un balcon en fer forgé. L'enduit a disparu.Sur la façade postérieure on décèle l'antériorité de la partie est du logis et la phase de remaniement du 18e siècle sur les huit travées ouest.Les pièces sont en enfilade avec corridor antérieur pour certaines (plan de distribution à RDC). A l'extrémité ouest était la cuisine avec four à pain et cheminée fin 15e siècle en remploi. Un escalier secondaire avec rampe en fer forgé jouxte cette pièce. La pièce à l'ouest de l'escalier d'honneur conserve lambris et meuble d'attache de la seconde moitié du 18e siècle. La travée centrale est réservée à l'escalier principal, tournant avec jour. Il est en charpente, avec rampe en fer forgé. A l'étage deux chambres conservent des boiseries des 18e et 19e siècles.Le commun ouest servait d'écurie et de charetterie, mais aussi d'ancien corps de passage cocher dans sa partie sud. Le grenier en surcroît est couvert d'une charpente brisée, à croupe, éclairée à l'est d'une lucarne à fronton triangulaire. Les ouvertures sont remaniées 20e siècle.Le commun est qui conserve ses ouvertures d'origine est également couvert d'une charpente brisée, à croupe, avec à l'ouest deux lucarnes à frontons triangulaires. Il est constitué d'une remise au sud et d'une dépendance au nord, avec cheminée sur gouttereau. Une rénovation récente a fait disparaître l'enduit.Au sud et de l'autre côté de la route, subsistent les vestiges de la métairie noble de Kercadio, et dans l'axe du portail, un troisième enclos cerné d'un muret au centre duquel se trouvait le colombier (détruit), représenté sur les plans cadastraux de 1811 et 1845.Siège d'une seigneurie qui apparaît dans les sources de la fin du Moyen Âge, Kercadio doit son nom à la famille de Kercadiou, dont Alain est nommé lors de la réformation du domaine ducal en 1427.A compter de 1466, ce sont les de Larlan qui deviennent seigneurs de Kercadio et de Coëtquintin en Ploëmel et le resteront jusqu'à la fin du 17e siècle. La chapelle est d'origine du 15e siècle, remaniée à l'époque moderne. L'ancien logis-tour, probablement construit sur les bases d'un édifice médiéval, remonte à la fin du 16e siècle, début 17e siècle. Cette partie de l'actuel château est la plus ancienne, en élévation, probable vestige du manoir de Kercadio, cité dès 1427 dans la paroisse d´Erdeven (Laigue, 1902).Cependant, bien qu'elle reprenne le plan d'un logis-tour de la fin du Moyen Âge, cette construction date de la fin du 16e début du 17e siècle, comme l'indiquent les cheminées des trois salles superposées, les ouvertures du rez-de-chaussée et les portes de la tour d'escalier, dont les meurtrières pour armes à feu légères sont sans doute des aménagements liés aux conséquences de la Ligue.A l'époque ce sont les de Larlan qui jouissent de la seigneurie de Kercadio. En 1595, le seigneur écuyer de Larlan a la garde de toute la côte de Quiberon jusqu'au bras de mer d'Etel (Danigo et Le Tallec, 1971). En 1625, Pierre de Larlan est conseiller au Parlement de Bretagne.La façade ouest de ce logis est remaniée par le percement de hautes fenêtres au 18e siècle, dans l'esprit de celles du château, rénové à l'époque des Gouyon de Vaudurant. Nommé le pavillon en raison de la forme de sa toiture, il sert de cuisine, de buanderie et de logis pour les domestiques (Textes d'archives réunis par S. Despas, 2000).Une carte postale du début du 20e siècle, montre qu'il était encore couvert d'une charpente vers 1910-1920.Cet ancien logis est actuellement très dégradé. Ces ruines sont protégées (ISMH) depuis 1998.Les communs est et ouest sont de la seconde moitié du 17e siècle.Au 18e siècle le domaine passe aux mains des Gouyon de Vaudurand, bâtisseurs du nouveau logis, dont Jean-Louis Gouyon de Vaudurant, évêque de Saint-Pol-de-Léon, qui y décède en 1780. La date 1780 d'une écriture malhabile portée sur le piédroit de la grande porte du logis ne peut correspondre à des travaux.A la Révolution le domaine appartient au marquis de Rougé.L'orangerie et le colombier (détruits partiellement ou en totalité) sont représentés sur les plans cadastraux de 1811 et 1845.L'édifice est inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques, en totalité, par arrêté du 8 juin 1998.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Berthou Marie ; Toscer Catherine ; Pierre L. et M.

Par : L'inventaire du patrimoine

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photo post-mortem ; un bébé

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Dolmen ouest du Mané Kerioned

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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soldat devant les portes du musée

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Saint-Pierre-Quiberon - Maison / Architecture mode
Maison station essence

Par : Dastum

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