Les documents du Pays d'Auray

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Bulletin paroissial de Locmariaquer et Crac'h - no
novembre 1917. 20ème siècle

Par : Gallica

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Ancienne mairie et école primaire, Mendon (Locoal-
L'école-mairie comprend un étage carré, elle présente une élévation ordonnancée à cinq travées avec deux portes d'entrée, chacune située aux extrémités du rez-de-chaussée. Il est probable qu'à l'origine la mairie ait occupée l'étage et l'école le rez-de-chaussée. L'escalier en bois à retours est en place, face à l'entrée située sur la gauche du bâtiment. Un petit bâtiment est construit en retour d'équerre au sud-est.L'école-mairie du bourg de Locoal-Mendon est édifiée en 1844, sur les plans de l'architecte d'arrondissement Lussault, par Jean-François Lévrard aîné, entrepreneur à Hennebont. Le projet est approuvé dès le 2 novembre 1839 sur un terrain communal au centre du bourg, l'adjudication des travaux est passée le 22 octobre 1842 avec l'entrepreneur, tandis que le procès verbal de réception des travaux est rendu le 23 novembre 1844. Sur le premier cadastre napoléonien de 1810, le terrain communal au centre du bourg est vide, sur le deuxième cadastre de 1845, l'école des garçons et la mairie viennent d'être construites. En 1901, de gros travaux de réfection à faire à l´ecole-mairie sont adjugés à Cadudal entrepreneur à Auray, sur les plans de Rault, agent-voyer. Les murs aujourd'hui désenduits étaient à l'origine enduits afin de mettre en valeur les encadrements des baies, le bandeau qui souligne le soubassement et la corniche moulurée. Dès 1921, la place qui occupe l'emplacement de l'ancien cimetière sert de cour de récréation aux garçons de l'école publique.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Tanguy Judith

Par : L'inventaire du patrimoine

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Chantier ostréicole, Pointe de Pen Inez (Locoal-Me
Le logis de l'ostréiculteur est de type ternaire, orienté au sud, construit en moellon enduit avec des ouvertures à angles abbatus. Un mur d'enclos en pierre sèche délimite la propriété au nord et à l'ouest. Au sud, la clôture d'entrée relie le logis au chantier proprement dit construit perpendiculairement sur un terre-plein en moellon au bord de la rivière d'Etel. Il est en rez-de-chaussée, ouvert à l'est avec une cheminée d'angle. Les ouvertures percée à l'ouest sont modernes. Une cale permet la descente et l'accès aux parcs à huîtres.Cet ancien chantier ostréïcole est créé sur la rivière d'Etel, à l'extrême pointe de Pen Inez. La maison, les bassins, le terre-plein et le chantier, bien que remanié dans la seconde moitié du 20e siècle, datent de la fin du 19e siècle. Le logis des exploitants est agrandi dans les années 1930, surélevé d'un étage.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Tanguy Judith

Par : L'inventaire du patrimoine

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Départ d'Eric Tabarly pour les Etats Unis
A bord de son bateau, le Pen Duick II, Eric Tabarly a quitté hier La Trinité sur Mer en direction des États Unis. Cette traversée de 45 jours en solitaire a réclamé de nombreux préparatifs.

Par : INA

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Chapelle Saint Cado (Belz)
L'édifice primitif est de plan rectangulaire avec nef à trois travées, flanquée de deux bas côtés que séparent des arcades en plein cintre reposant sur quatre piliers ornés de simples larmiers ou tailloirs. L´abside du choeur est cantonnée à l'extérieur de minces contreforts. De part et d'autre dans le prolongement des bas-côtés, on devine la présence initiale d'absidioles dont il ne subsiste que les arcs des ouvertures (bouchées). Il subsiste également de cette première période trois ouvertures d'origine : deux petites fenêtres à larges ébrasements intérieurs, une dans le bas côté sud, une dans le choeur, et, jouxtant cette dernière, une baie axiale qui dans des proportions plus importante est soulignée à l'intérieur par un large tore sculpté. La crédence ou sacraire de l´abside du choeur à traverse et accolade est postérieure. Plus significative encore est l'arcade à double rouleau qui ouvre la nef sur le choeur. Elle repose sur des colonnes engagées coiffées de chapiteaux sculptés de motifs géométriques ou d'inspiration végétale telles ces volutes symétriques évoquant le calice d'une fleur. Leurs astragales sont moulurés de deux tores. Au cours des travaux de restauration de l'édifice en 1960, des colonnettes à chapiteaux romans prismatiques ont été observées noyées dans la maçonnerie de la partie haute du pignon orientale. Il s'agit sans doute des vestiges du clocheton roman ouvert de petites arcades à claire voie. L'une de ces colonnettes est toujours visible dans le parement extérieur du pignon oriental au-dessus de l'abside.La façade occidentale épaulée de minces contreforts identiques à ceux de l´abside, est remaniée partiellement. Elle présente une porte en anse de panier du début du 16e siècle dont l´ébrasement extérieur est mouluré de tores reposant sur des colonnettes. Elle est surmontée d´une accolade sculptée. Au-dessus un oculus éclaire la tribune intérieure. La façade nord conserve une porte cintrée ancienne et deux fenêtres rectangulaires à feuillures (19e siècle). La sacristie au nord-est, accolée à l´abside date du 19e siècle, comme la chapelle sud qui porte la date de 1842. De plan allongé, elle est éclairée d´une fenêtre rectangulaire au sud. Son pignon est coiffé d´un clocheton de plan carré, ajouré, entièrement réalisé en pierre de taille. On y accède par un escalier ménagé sur le rampant ouest du pignon. Dans l´angle un porche couvert en dalles de pierres protège la porte sud.Au cours du Moyen Âge la charpente est modifiée afin de couvrir sous deux longs pans l´ensemble des bas côtés et de la nef. Les deux pignons découverts de la chapelle accusent ainsi une légère rupture de pente. Un couvrement en bois repose sur chacun des volumes de l´édifice, dont un berceau brisé dans la nef.Le sol est entièrement recouvert de dalles de granite. Les murs intérieurs sont enduits et chaulés. Les inscriptions peintes dans la nef au dessus des arcades ont été restaurées en 1960. Elles accompagnaient des tableaux suspendus en dessous, illustrant la vie de saint Cado. L´ensemble des maçonneries extérieures de la chapelle est réalisé en moellons de granite, à l´exception de quelques reprises de la fin du Moyen Âge tel l´angle sud-ouest de la nef.En 1089, les Bénédictins de l'abbaye de Quimperlé recueillent l'ermitage de l'île de Saint-Cado dont la fondation est attribuée à Cadoc moine breton du 6e siècle ou, plus probablement, à Catwodus, cité dans le cartulaire de Quimperlé comme émissaire du comte Waroch. Ils garderont les bénéfices de ce prieuré jusqu'à la Révolution.La chapelle romane date des 11e et 12e siècles. Des travaux d'embellissement touchant essentiellement la charpente, le couvrement, les portes ouest et sud et l'installation d'une tribune, remontent à la fin du 15e-début 16e siècle. La chapelle sud qui existe sur le plan cadastral de 1811 est remaniée en 1842 comme l'indique la date portée au dessus de la baie du pignon sud. C'est aussi à cette époque que l'on a édifié le clocheton. La sacristie au nord-est date également du début du 19e siècle.En 1921 quelques travaux de grosse réparation furent réalisés sur la charpente et la couverture, mais la restauration d'ensemble date de 1959-1960.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Locmariaquer : Noce bretonne, la table des maries

Par : Dastum

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Maison de prêtre ; ferme
La maison de prêtre devenu dépendance construite en moellon régulier de granite est aspectée au sud. Elle se compose d'une salle avec cheminée dont la porte à linteau sur corbelets a été élargie. Il n'y a pas de communication avec l'étable accessible par une seconde porte au sud. La façade nord est aveugle. Un escalier extérieur en pierre, droit, mène à l'étage, aujourd'hui un comble à surcroît, qui n'a pas été vu.L'alignement à l'est se compose de deux unités d'habitation. A l'extrémité nord, la maison à étage carré en moellon régulier avec tour d'escalier postérieure carrée se compose d'une pièce par étage. Dans la tour d'escalier à l'étage, une porte ouverte sur l'extérieur avec arrachement signale la disparition de latrines. En prolongement de ce logis, la ferme est composée d'un logis enduit de type ternaire et sous le même toit d'une étable à haut surcroît à usage de grenier ; dans le mur gouttereau de l'étable, on note la présence de deux niches à poules avec larmier servant de perchoir. Le cellier dans l'aire à battre enclose au nord et à l'est de la dépendance isolée devenue maison est ouvert d'une porte plein cintre en pignon.La maison de prêtre qui s'accompagne d'une ferme se compose de plusieurs bâtiments d'époques différentes. Au nord de la ferme actuelle, le logis de prêtre (cheminée marquée d'un calice gravé) construit au milieu ou dans la 2e moitié du 16e siècle a été transformé en dépendance peut-être au 19e siècle, la toiture transformée et l'étage abaissé ; la porte haute date du 19e siècle, l'escalier est antérieur à 1845. Le puits devant le logis date de la fin du 19e siècle.Au sud-est, un alignement comprend un logis édifié dans la 2e moitié du 17e siècle, sans doute construit pour Guillaume Madec, recteur de la paroisse entre 1633 et 1642, sans doute comme plus tard Laurent Kerzerho à Kerivin, pour pallier à l'éloignement de Kerbernès, alors siège du presbytère. Ce logis est associé à une ferme plus ancienne d'après la disposition de sa souche de cheminée, mais reconstruite au milieu du 19e siècle ; elle conserve dans l'étable des éléments du 16e ou du début du 17e siècle, sans doute remployés lors de la reconstruction du logis : une porte dans le mur nord, deux jours de comble au sud.En retour à l'est du logis du 17e siècle, la dépendance figurant sur les plans du 19e siècle a été transformée en logis au 20e siècle. Une crèche sur la cour figurant sur les plans de 1811 et 1845 a disparu. Le cellier au nord du logis à étage date du 17e ou 18e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Tanguy Judith ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Le drame d'Etel
Les habitants d'Etel restent choqués par l'expérience menée par Alain Bombard. L'essai d'un canot de sauvetage sur la barre d'Etel a échoué et a causé la mort de neuf hommes. Trois mois après la catastrophe, le scientifique revient sur l'évènement.

Par : INA

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Bulletin paroissial de Quiberon - paroisse Saint-
octobre 1919. 20ème siècle

Par : Gallica

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Une noce a Erdeven : Les danses, la ridee

Par : Dastum

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Les naturistes
En s'installant dans les dunes et sur les plages d'Erdeven, les naturistes provoquent la polémique. Certains agriculteurs et commerçants locaux songent à créer une milice, pour protéger leur village. Car la réputation de la région est en jeu...

Par : INA

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Josiane la sémaphoriste
A la mort de son mari, Josiane a repris l'activité de son époux au sémaphore d'Etel. Elle a appris son métier en observant la nature, et, s'est petit à petit imposée auprès des marins, qui se laissent guider à travers la barre, réputée dangereuse.

Par : INA

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Carnac Plage : La vendange

Par : Dastum

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Les menhirs de Carnac
Le maire et le président du syndicat d'initiative de Carnac sont inquiets face au nombre toujours grandissant de visiteurs du site de mégalithes. Les menhirs touristes ne sont en effet pas toujours respectueux du lieu.

Par : INA

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Alignements de Kerlescan

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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