Croix et calvaires de Bretagne

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Don de Martha Lindner
Calvaire de Comfort près de Douarnenez

Par : Archives municipales de Sa

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Croix monumentale n° 1, Kerloury (Paimpol)
Croix monumentale en granite composée d'un soubassement en forme de piédestal et d'un socle à griffes recevant un haut fût monolithe écoté portant une croix terminale ornée d'un Christ en croix surmonté du titulus (INRI) et d'une Vierge couronnée à l'Enfant.Croix monumentale datant du 18ème siècle.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Église dans un bourg
Sujet représenté : scène (curé ; arbre ; maison ; muret ; cour ; calvaire monumental ; croix de cimetière ; cimetière ; vitrail ; horloge ; clocher ; église ; prêtre) - N° d'inventaire : DOC 992.13.696 ; R992.13.696

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Calvaire de Plougonven
Sujet représenté : vue d'architecture (Plougonven ; Calvaire ; statue) - N° d'inventaire : DOC 992.13.1141 ; R992.13.1141

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Le calvaire de Plougastel Daoulas
Le calvaire de Plougastel Daoulas (Finistère), construit au XVIe siècle pour conjurer une épidémie de peste, a été restauré. Sa rénovation a été confiée à des sculpteurs et tailleurs de pierres, qui ont en partie gommé l'usure du temps des statues.

Par : INA

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Pont Croix : Jeune fille

Par : Dastum

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Croix de chemin, les Bignons (Lohéac)
Croix en bois sur base de maçonnerie en schiste pourpré.Croix en bois sans autre décor que les boules à ses extrémités.
Auteur(s) du descriptif : Quillivic Claude

Par : L'inventaire du patrimoine

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Croix monumentale, R.D. 328, près de la Châtaign
Croix latine en granite fichée sur un socle en granite. Inscription sur la croix : "MON JESUS MIS [...]". Inscription sur le socle : "SOUVENIR / DU Ct MAUDUIT / MORT [...] / LE 11 AVRIL 1900 / De Profundis".
Auteur(s) du descriptif : Pichot Malo

Par : L'inventaire du patrimoine

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. 405, Calvaire et Ossuaire : [carte postale]
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque num

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Pont-Croix 1930

Par : Diocèse de Quimper et Lé

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Balade à Trégastel
Pour les amateurs de sites naturels, de patrimoine religieux, voici quelques suggestions de randonnées à effectuer sur Trégastel... Calvaire Bouget - Trégastel bourg Cet édifice, à l'aspect original, a été édifié en 1872, à l'initiative du recteur Bouget. Au bas du calvaire, se trouve une chapelle-crypte dédiée à Notre-Dame de Pitié. Situation : le calvaire Bouget se trouve à environ 300 mètres au sud du bourg de Trégastel, en bordure de la route menant à Lannion. Château de Costaéres Le château de Costaéres, perché sur son île, uniquement accessible à marée basse. C'est là que Henryk Sienkiewicz acheva son roman Quo Vadis, qui a obtenu en 1905 le prix Nobel. D'ailleurs, le château se fait souvent appeler, depuis, « château de Quo Vadis » Grâce à son originalité, il est aujourd'hui l'emblème de la côte de Granit Rose. Le château ne peut pas être visité. Situation : l'île de Costaéres est située au large de la petite plage de Saint-Guirec, dans le village de Ploumanac'h (Perros-Guirec).

Par : TV Trégor

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Les chemins de Croix de Xavier de Langlais
Xavier de Langlais (1906-1975) est un grand artiste breton protéiforme, membre des Seiz Breur et de l'Atelier Breton d'Art Chrétien. Sa foi intense apparaît dans ses neuf chemins de Croix tous peints en Bretagne. Les rapprocher permet d'étudier la genèse de son travail, son originalité et son évolution picturale. L'expressivité magistrale de celui de la chapelle Saint-Joseph à Lannion s'épanouit particulièrement dans un contexte architectural remarquable.

Par : L'ARSSAT

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Sainte Hélène (titre ancien) ; La vision de sain
Sujet représenté : figure biblique (sainte Hélène ; angelot ; effet de tissu ; couronne ; La Croix ; colonne) - N° d'inventaire : 205 ; 9936 (Louvre) ; B 1942 (Louvre)

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Calendrier historique du Finistère : 1932 / J. Og
Calendrier historique du Finistère de l'année 1932 où sont traités les cantons de Fouesnant (suite), Plogastel-Saint-Germain et Pont-Croix avec une carte routière du Finistère.

Par : Médiathèques de Quimper

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Hommage du général de Gaulle à l'Ile de Sein
Le général de Gaulle, en visite à l'Ile de Sein, remet la Croix de la Libération à l'île. Il rend ainsi hommage au courage des Sénans, les premiers hommes libres l'ayant rejoint à Londres.

Par : INA

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Vieux noms, vieux souvenirs : le prieuré de Kerni
Article de presse de la main de Louis Le Guennec au sujet du prieuré de Kernitron à Lanmeur dans le Trégor finistérien.

Par : Médiathèques de Quimper

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Vivre en Bretagne - de Jean V à la Duchesse Anne
La mer, le sel, le vin. La terre. Les métiers de la ville. Des échanges à échelle modeste, mais une expansion marquée. La masse des paysans, une abondante petite noblesse, une aristocratie très puissante. Autant de notes concrètes, quotidiennes, que le film ordonne et insère dans une culture –exclusivement en breton pour la moitié de la population- dominée par la religion, par la très grande importance de la vie paroissiale, le culte des saints, les pèlerinages. L’Eglise y enseigne par l’image, celle des calvaires comme à Tronoën, celle des jubés comme à Saint-Fiacre du Faouët, celle des fresques comme à la chapelle de Kermaria en Plouha. Danse macabre, crainte de l’Enfer… La Bretagne du XVe siècle est celle de l’éclat de la puissance ducale (qu’a présentée un premier film, l’Etat breton de Jean V à la Duchesse Anne), celle d’une réelle prospérité économique, celle d’une paisible religion quotidienne, mais aussi une Bretagne de misère, de souffrance et de peurs.

Par : L'aire d'u

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Fort dit Fort Surville actuellement colonie de vac
Le fort Lacroix est un quadrilatère irrégulier d'environ 115 mètres sur 80. Il est flanqué par un bastion à chaque angle, sauf au nord-est où ce bastion est remplacé par l'ancienne batterie semi-circulaire du 18e siècle (batterie haute) amputée de son front de gorge. La caserne à l'épreuve occupe le centre de la courtine de gorge. Un fossé sec entoure entièrement le fort. Deux coupures font la jonction avec la falaise et protègent également la batterie basse établie en contrebas de l'angle nord-est du fort. Il n'y a pas de chemin couvert, mais un ravelin triangulaire terrassé couvre la gorge. L'accès à la porte du fort se fait en fond de fossé. L'intérieur du fort est occupé par d'importants massifs terrassés, vestiges du cavalier de la fin des années 1840 et compléments de la fin du 19e siècle. Le cavalier est une masse de terre disposée en U en retrait des courtines nord, est et sud du fort. Il est destiné à accueillir une partie de l'artillerie du fort et à servir de crête d'infanterie. Il supporte les emplacements pour pièces de côte et leurs abris-traverses, aménagés vers 1880. Sa branche orientale est épaissie à la même époque par l'ajout d'un massif terrassé recouvrant le magasin à poudre de 1851 transformé en magasin souterrain et un rang de quatre casemates. De ce fait, l'espace de la cour est réduit. La communication entre la cour et la batterie haute se fait par un tunnel passant sous le cavalier. Les escarpes et contrescarpes sont en partie en maçonnerie, en partie taillées dans le roc. Les parapets des bastions et des courtines sont organisés pour le combat d'infanterie sous la forme de simples murs à bahut doublés d'une banquette en terre. La batterie haute est dotée d'un parapet terrassé placé en retrait d'un parapet d'infanterie muni de bretèches destinées à compenser l'absence de flanquement dû au tracé semi-circulaire. Les emplacements de pièces de la fin du 19e siècle sont en partie recouverts par des bâtiments postérieurs. Les pierres utilisées sont le micaschiste local issu du creusement des fossés pour les moellons et le granite importé du continent (granite de Trégunc) pour les pierres de taille. Présence d'ouvrages bétonnés de la première moitié du 20e siècle.Le fort Lacroix fait partie des ouvrages construits lors de la campagne de fortification des côtes de l'île de Groix entreprise en 1744. Il protège le mouillage et la plage orientaux de l'île. C'est alors une batterie semi-circulaire pour quatre canons de 24 livres, six de huit livres et un mortier fermée à la gorge par un mur crénelé organisé en front bastionné précédé d'une demi-lune terrassée. Un bâtiment en arc de cercle sert à la fois de magasin, de corps de garde et de réduit défensif. L'ouvrage est de nouveau occupé pendant la guerre de Sept Ans et les guerres de la Révolution et de l'Empire. En 1803 il est armé de trois canons de 24 livres, un mortier de 10 pouces et un mortier de 12 pouces. Un four à réverbère pour le tir à boulets rouges est construit en 1793. Dès la fin du 18e siècle, l'opportunité de doter l'île de Groix d'un grand fort lui servant de réduit est envisagée. La position occupée par le fort Lacroix est jugée plus favorable que les abords de Port-Tudy par le général de Marescot en 1808 et par la commission des côtes de 1811. Rien n'est entrepris avant la chute de l'Empire. Les commissions de défense de 1818 et 1835 se prononcent à nouveau pour la construction d'un réduit pour l'île de Groix. La seconde propose l'agrandissement du fort Lacroix. La "Commission d'armement des côtes de la France, de la Corse et des îles" de 1841 reprend cette proposition. Elle attribue au fort trois canons de 30 livres et huit obusiers de 22 cm pour interdire le mouillage et les plages de débarquement : huit dans une nouvelle batterie basse et trois (réduit à deux en 1863) dans une batterie haute - l'ancienne batterie du 18e siècle. Des pièces légères sont affectées à la défense rapprochée. Pour loger les 50 canonniers et 100 fantassins de la garnison, la commission demande la construction d'une nouvelle caserne. Après rejet des premiers projets présentés en 1845, le Comité des fortifications adopte le tracé d'un fort quadrangulaire intégrant l'ancienne batterie semi-circulaire comme l'un de ses bastions, et doté d'une caserne de gorge à l'épreuve. Les travaux commencent en 1846 par la construction de la batterie basse, la réorganisation de la batterie haute et l'excavation des fossés. L'enceinte et la caserne sont achevés en 1849. En 1851 les travaux prennent fin après la construction du magasin à poudre. Le fort est conservé comme ouvrage de côte par la commission de défense des côtes en 1874 et subit des travaux de modernisation vers 1880. De nouveaux projets de modernisation sont étudiés au début des années 1890 sans que leurs résultats soient connus. En 1900, le fort est armé de cinq canons de 24 cm modèle 1876 et deux canons de 16 cm sur affûts de côte, et 3 canons de 7 de Reffye et quatre canons de 95 mm sur affûts de campagne. Cet armement n'est plus en place en 1904. Gênant le champ de tir des pièces lourdes et menacé par leur souffle, le phare est supprimé en 1898.Pendant la Première Guerre mondiale, le fort sert de camp d'internement pour les ressortissants des Empires centraux. Un poste de défense contre les sous-marins (PDCSM) armé de deux canons de 95 mm sur affûts de côte est mentionné en 1918. Le fort est remis à la Marine en 1932. Un poste d'observation bétonné est construit dans l'entre-deux-guerres. En 1939-1940 un service de guet aérien est assuré au fort Lacroix. Les Allemands l'utilisent de nouveau comme camp de prisonniers et l'intègrent dans leur dispositif fortifié de la côte est de l'île de Groix. En 1945, des soldats allemands y sont internés. Le fort est actuellement propriété de la ville de Colombes qui l'utilise comme colonie de vacances depuis 1946.
Auteur(s) du descriptif : Jadé Patrick ; Duigou Lionel

Par : L'inventaire du patrimoine

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