Croix et calvaires de Bretagne

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Don de Martha Lindner
Chevaux devant un calvaire et une église

Par : Archives municipales de Sa

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Croix de Santé
Plan d'alignement de la Croix de Santé

Par : Archives municipales de Sa

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Le calvaire à la pointe de Penmarch : [photograph

Par : Gallica

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Croix monumentale
Emmarchement à trois degrés et base carrée en granite. Fût circulaire à écots, croix et Christ en croix en kersantite.Croix érigée dans la seconde moitié du 19e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Douard Christel ; Maillard Florent

Par : L'inventaire du patrimoine

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Gouezec, archives du chanoine Abgrall : calvaire e
Ce recueil numérique comprend 5 photographies issues des archives de Jean-Marie Abgrall représentant la chapelle Notre-Dame des trois fontaines avec son calvaire ainsi qu'une statue de Sainte-Anne.

Par : Médiathèques de Quimper

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Fondation du prieuré de Sainte-Croix de Chateaugi

Par : Gallica

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route de Ploudalmézeau à Lampaul - trois croix d

Par : Musée de Préhistoire de

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Palmarès du Petit séminaire de Pont-Croix 1950-1

Par : Diocèse de Quimper et Lé

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Palmarès du Petit séminaire de Pont-Croix 1920-1

Par : Diocèse de Quimper et Lé

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La croix de mi-lieue
La croix de mi-lieue, un objet insolite et mystérieux situé sur la grève quelque part entre Plestin-les-Grèves et Saint-Michel-en-Grève. Vous l'avez peut-être aperçue à marée basse, perdue au milieu (mi-lieue) de la baie. Mais connaissez vous son histoire ?… Ce document tente de lever une partie du mystère. Il a été réalisé en 1993 lors de la remise en place d'une nouvelle croix, l'ancienne ayant probablement été brisée lors du débarquement des alliés en 1944 sur la grève de Saint-Michel …

Par : TV Trégor

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Brest négatives. , Croix : [photographie sur plaq
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001

Par : Yroise - bibliothèque num

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Brest négatives. , Croix du Diry : [photographie
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001

Par : Yroise - bibliothèque num

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Vieux noms, vieux souvenirs : le prieuré de Kerni
Article de presse de la main de Louis Le Guennec au sujet du prieuré de Kernitron à Lanmeur dans le Trégor finistérien.

Par : Médiathèques de Quimper

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Pluzunet
Conférence de Guy Castel sur Marc’harit Fulup, passeuse de mémoire, et ses relations avec Le Bras, Luzel, Le Gofic, Vallée. Visite d’une partie du riche patrimoine de Pluzunet : les manoirs de Coat-Nizan (restes de l’ancien château-fort), de Kermenguy, de Runeubet et de Guermarquer, l’église St Pierre, la chapelle du Loc et celle de Saint Idunet (avec sa croix de 1743) et sa fontaine à la forme rarissime de calice.

Par : L'ARSSAT

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Chroniques de M. Faucou I
Ce film rassemble 5 bobinots montés le 29 juillet 1998. Tharon (44) 1934, pêcheries, bateaux de pêche, falaise près du Cormier (village de la Plaine sur Mer 44), rochers, plage cabine de plage, maisons de bord de mer, carrelet, église, M et Mme Gagné (06.03.23.00). Nantes, installations portuaires. Tharon Villa sainte Marie septembre 1938, en bord de mer, vache, amusement, course, église, automobile, vue sur la mer, La Turballe, (06.03.09.00), Pâques 1936 ou 1937 quai Saint Pierre à sec, pêcheurs et leurs filets séchant (François Lagrée marin pêcheur), port de pêche, port de pêche, pêcheurs préparant leurs filets pour la pêche, pompe à eau, église, café de la place (François Lagrée et Mme Lagrée, Édouard le Divina, le petit Édouard, Marie-Thérèse), port à marée basse. La Turballe, Pâques 1936 ou 1937, Le petit train à vapeur qui allait à Piriac, landau, grand-mère Lagrée et Édouard Lagrée (poissonnier au rond point de rennes à Nantes), Marie-Anne Lagrée à la lessive, Marcelle. Guérande, remparts vers 1936. La Turballe vers 1936, godille, embarquement de tonneaux, bateau « Croix du sud » départ pour la pêche sur la « Petite Jeannette », à côté les bateaux « La rose effeuillée », « La grotte de Masabielle », Nantes, pont Saint Mihiel, entrée du canal Saint Félix, autocar Brelet. Pontchâteau, calvaire. Sautron, église de Bongarant. Missillac, château de la Breteche. La Roche Bernard (56), pont provisoire et vue sur La Vilaine. Nantes, bateaux à renflouer dans le port de Nantes, quai François Mitterrand, panorama sur quai de la Fosse, grues, piles du pont transbordeur. Promenade en campagne (forêt). Nantes, quartier Sainte Anne, immeubles, musée Jules Verne, quai, grue, enseigne Lesage, quai des Antilles, panorama sur La Loire. Bécherel (Ille et Vilaine, 35) dans un jardin, chez les grands-parents, cousins (Guillard et Buette). Pléneuf Val André (Côtes d’Armor 22), Côte de granite rose, Aronde Simca, panorama.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Vivre en Bretagne - de Jean V à la Duchesse Anne
La mer, le sel, le vin. La terre. Les métiers de la ville. Des échanges à échelle modeste, mais une expansion marquée. La masse des paysans, une abondante petite noblesse, une aristocratie très puissante. Autant de notes concrètes, quotidiennes, que le film ordonne et insère dans une culture –exclusivement en breton pour la moitié de la population- dominée par la religion, par la très grande importance de la vie paroissiale, le culte des saints, les pèlerinages. L’Eglise y enseigne par l’image, celle des calvaires comme à Tronoën, celle des jubés comme à Saint-Fiacre du Faouët, celle des fresques comme à la chapelle de Kermaria en Plouha. Danse macabre, crainte de l’Enfer… La Bretagne du XVe siècle est celle de l’éclat de la puissance ducale (qu’a présentée un premier film, l’Etat breton de Jean V à la Duchesse Anne), celle d’une réelle prospérité économique, celle d’une paisible religion quotidienne, mais aussi une Bretagne de misère, de souffrance et de peurs.

Par : L'aire d'u

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L'Echo Râleur aux Rencontres Trans Musicales de R
Ils sont environ 60 choraleurs sans-culotte issus de la Mano Negra, des Bernadette Soubirou, des Endimanchés, des Chihuahua, des Satellites et autres Négresses Vertes qui chantent à capella. Alternatifs, ils sont passés par les terrains vagues et les pelouses interdites pour crier (chanter) haut et fort avec un aplomb de tous les diables. Ils sont à leur actif un album Sang Neuf en 89 avec les meilleurs groupes de la scène indépendante française. Une création inspirée de la Révolution qui remet à flot l'immortelle Carmagnole II y a eu les Petits Chanteurs à la Croix de Bois, aujourd'hui on a des petits keupons à la pêche d'enfer.

Par : Association Trans Musicale

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Franck II Louise aux Rencontres Trans Musicales de
Instinct Paradise Lorsque la première vague hip hop submerge la France au début des années 80, Franck Il Louise est encore adolescent. Immédiatement, il se plonge dans ce monde nouveau. Il apprend à danser, rencontre Afrika Bambaata, part à New York et, surtout, crée le premier groupe de breakdance d'ici, Paris City Breakers. La mode passe mais le jeune homme continue de vivre sa passion au jour le jour. Il s'initie à la technique de Di, se met à la musique. Aujourd'hui, il compose pour les compagnies de danse les plus prestigieuses de l'Hexagone, comme Kâfig (Récital) ou AktueI Force, alors qu'il reste un chorégraphe de croix, travaillant sur maints films publicitaires ou événements spécifiques. Avec Instinct Paradise, il crée sa première pièce chorégraphique, qui met en scène trois danseurs. Inspirée par la science-fiction des années 70, cette création pose le problème de l'identité - de son affirmation plutôt - dans un univers où tout semble dépersonnalisé, aussi bien dans le microcosme du rap que dans la société actuelle. À l'instar des œuvres kafkaïennes, Instinct Paradise montre du doigt cette absurdité et, surtout, prône la connaissance de soi, étape essentielle pour connaître l'ivresse de la liberté universelle.

Par : Association Trans Musicale

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Église paroissiale Saint-Marc
Le plan de cette église est en croix latine, elle possède un lambris de couvrement et un porche. L'intérieur est couvert à trois pans avec entraits et pièces de charpente visibles. Deux pierres tombales sont encore lisibles. Les statues de bois sont belles, ainsi qu'une vierge en calcaire.Le pignon ouest en granite appareillé, est orné de trois petites croix et percé d'une fenêtre flamboyante ; il est précédé d'un porche en pierre avec bancs et surmonté d'une grosse tour couverte en ardoise que terminent un clocher en carène et un campanile. Les armes des Le Prévost seigneurs de Saint-Mard se lisaient au-dessus de la grande porte. La sacristie située au nord, présente au-dessus de la fenêtre ouest un écusson frustre qui semble timbré d'une couronne et entouré de deux palmes. Une litre aux armes des seigneurs de Saint-Mard entourait autrefois l'église : il en subsiste encore quelques vestiges.L'intérieur renferme un arc triomphal en arc brisé reposant sur deux pans coupés. L'un d'eux porte à son sommet une tête humaine entre deux branches. Il faut citer aussi les fonts baptismaux doubles en granite (inscrits MH) sculptés de deux anges, de palmettes et de rinceaux et chargés de deux inscriptions en minuscules gothiques ; on lit sur celle du bas : en l'an mil VCC et V. On trouve enfin dans l'église une pierre tombale armoriée sculptée d'un lion et d'un calice, qui est attribuée au recteur Georges Le Prévost, mort en 1557. Un fragment d'une autre pierre chargée d'un écusson en bannière aux armes des premiers seigneurs de Lignières en Saint-Hilaire-des-Landes.Avec son large pied à huit lobes en accolade, sa tige richement ornée, le calice de Saint-Marc-sur-Couesnon s´affirme comme une oeuvre exceptionnelle. Les arcatures dont les fonds sont repercés contribuent à éviter malgré l´important volume de la tige tout effet de lourdeur. Les feuillages découpés et repoussés appliqués sur le sommet du pied et la base de la coupe, la largeur de la coupe elle-même dont la hauteur est réduite et le profil peu évasé, caractérisent une production de la première moitié du 16e siècle. Les boutons sont rehaussés d´émaux bleus rouges et verts alternés, en basse taille dont la couleur est mise en valeur par la dorure de la pièce. Le poinçon d´orfèvre, aux initiales I et P séparées par une hermine, n´est malheureusement pas identifié et l´objet ne porte pas de poinçon de communauté. Il faut y voir très probablement l´oeuvre d´un orfèvre haut breton de premier plan, sans doute à rattacher à la communauté de Rennes qui en ce début du 16e siècle comprend plusieurs praticiens de grand talent. Sur un des lobes du pied est gravé un écu au lion hissant couronné qui correspond aux armes de la famille Le Prévost, seigneurs de Saint-Marc entre le 14e et le 17e siècle. L´emploi de la gravure au tremblé pour le champ des armoiries, antérieur à la représentation conventionnelle adoptée à partir du 17e siècle, est conforme à l'époque de l´objet. L'église paroissiale, en partie reconstruite en 1517 par la même famille Le Prévost, conserve une pierre tombale ornée d´un calice et armoriée d´un lion qui serait celle de Georges le Prévost, recteur de Saint-Marc, décédé en 1557. Il est fort probable qu´il s´agit du commanditaire de cette belle oeuvre.L´église de Saint-Marc-sur-Couesnon est placée sous le vocable de saint Médard évêque de Noyon au 6e siècle, et à partir de la Révolution sous le patronage de Saint-Marc l´Evangéliste. Datée de 1517, l´église conserve des traces plus anciennes. En effet, on distingue encore l´emplacement d´une porte romane et de deux baies murées du même style. L'église de Saint-Marc-sur-Couesnon est donc à l'origine un édifice roman dont les structures générales subsistent dans la nef et dans le choeur (appareil et baies, traces de l'ancien mur roman dans le massif occidental). Des reprises eurent lieu au 14e siècle (arc diaphragme, charpente). La réutilisation d'une ancienne porte romane dans le bas du mur nord et dans la façade occidentale et la reprise du décor datent du début du 16e siècle. Les baies de la nef ont été agrandies dans la 1ère moitié du 18e siècle. La sacristie porte la date de 1725, tandis que la flèche fut construite au 19e siècle. La baie centrale du mur sud de la nef fut ouverte en 1930. Les seigneurs de Linières en Saint-Hilaire-des-Landes y avaient une chapelle prohibitive. L'édifice abrite une pierre tombale armoriée sculptée d'un lion et d'un calice, probablement celle d'un ecclésiastique. Plusieurs linteaux de l'église présentent les armes de seigneurs locaux, témoignage de leur participation financière à la construction de l'édifice, afin d'obtenir des Indulgences. La densité du granite explique le maintien des critères architecturaux romans : les voûtes d'ogives et d'importants espaces ajourés étant impossible à mettre en place, sous peine d'effondrement de l'édifice. Le bois sert donc souvent à l'édification des voûtes et les poutres sont très fréquemment travaillées, sculptées, comme ici les sablières, ou peintes.
Auteur(s) du descriptif : Bardel Stéphanie

Par : L'inventaire du patrimoine

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Monument aux morts de la guerre 1914-1918 dit "La
Sculpture de Francis Renaud réalisée en kersantite de Loperhet (carrière située près de Daoulas dans le Finistère) représentant une femme assise sur un banc de pierre. Vêtue d'une cape de deuil, elle pleure les morts. Sa tête est inclinée vers l'avant et le bas de son visage est en partie caché par un pan de la cape. Elle porte la "toukenn", coiffe paysanne en fil du Trégor. Sur la plaque de bronze située au sol, ornée d'une guirlande de laurier, d'une ancre de marine et d'un casque, on peut lire : "Aux / enfants de Tréguier / morts pour la France / 1914-1918".Le projet de monument aux morts par le sculpteur Francis RenaudDès le 11 décembre 1919, le conseil municipal de Tréguier a constitué un "comité du monument aux morts" (voir l'annexe intitulée "Liste des 20 membres du "comité du monument aux morts" de Tréguier) pour l'érection d'un monument aux "Morts pour la Patrie" de la Guerre 1914-1918. Le 19 février suivant, une subvention de 4000 francs est votée par le conseil municipal. Le conseil vote ensuite le 12 novembre 1920 "l'érection à titre d'hommage public, d'un monument à la mémoire de ces enfants morts pour la France". Si les archives communales de Tréguier sont très prolixes sur la réalisation de ce projet, nous ne connaissons malheureusement pas le détail qui a conduit au choix du sculpteur Francis Renaud par les édiles de Tréguier. Le 22 novembre 1920, Francis Renaud envoie de Paris, au secrétaire du comité du monument aux morts, la photographie (de la maquette en cours d'étude) et le devis du projet de monument auquel quelques modifications ont été apportées pour améliorer l'aspect général (voir l'annexe intitulée "Extrait du devis du projet de monument aux morts de Tréguier"). Dans ce courrier, le sculpteur nomme à deux reprises son projet "la Trécorroise" du gentilé des habitants de Tréguier. Francis Renaud décrit son projet ainsi : "monument en granite de Kersanton sur lequel reposerait une guirlande de laurier et un casque, en bronze. Une femme, dans une attitude recueillie et assise à droite. Ancre de marine et croix de guerre, sculptées dans la partie supérieure de la stèle ; l'épitaphe inscrite au dessous. Les noms des disparus inscrits sur les deux côtés de la stèle". Le monument doit avoisiner les 4,6 mètres de hauteur. Le devis arrive au montant "monument mis en place" de 23 000 francs (dans le détail : 22 544 francs). Pour la statue, le sculpteur détaille pour 5 000 francs, les frais de modèle, le travail de la maquette, le moulage et la sculpture. Le devis précise l'emplacement du monument : "le monument sera érigée place des Halles" (actuelle place Notre-Dame de Coatcolvézou).Le financement du monument se révèle difficile : en effet, si la subvention municipale s’élève à 4000 francs (somme votée en février 1920), la subvention de l'état est limitée, selon les barèmes en vigueur, à 520 francs (voir l'annexe sur la commission départementale). Le complément a été collecté grâce à une souscription publique qui a permis de lever 8000 francs. Or, le projet est désormais chiffré à 22 544 francs (somme arrêtée au 26 avril 1921 alors que le devis initial était de 18 000 francs). En conséquence, le comité du monument aux morts demande au sculpteur de revoir son devis à la baisse. Le 14 juin 1921, Francis Renaud s'adresse à Gustave de Kerguézec, sénateur-maire de Tréguier :"le comité ne paraissant pas s'associer entièrement à ma façon de voir, j'ai cru nécessaire de vous communiquer les coupures de journaux reçues après l'envoi de la statue au Salon des artistes français. […] J'ose espérer, néanmoins que le comité comprendra qu'il faut pour Tréguier un monument aux morts qui se dégage de toutes les banalités conçues pour commémorer les morts de la guerre et surtout en rapport avec le charme si prenant de votre jolie ville". Après discussion, Francis Renaud est finalement obligé de revoir son projet à la baisse afin de rentrer dans l'enveloppe financière fixée par la ville. Le 29 juillet, le sculpteur demande que l'on lui adresse la liste des morts afin qu'il puisse faire graver les noms des 94 enfants de Tréguier morts pour la patrie. De la place des Halles à un nouvel emplacementQuoique prévu pour être installé sur la place des Halles (actuelle place Notre-Dame-de-Coatcolvézou), le monument aux morts a finalement été érigé dans la cour d'honneur de l'ancien palais épiscopal - actuelle place du Général Leclerc. C'est en effet au même moment que le maire Gustave de Kerguézec envisage de faire de l'ancien palais épiscopal, le nouvel hôtel de ville de Tréguier. Une pétition est adressée en vain, au maire et aux conseillers municipaux de Tréguier, contre le choix d'une "partie des anciennes dépendances de l'église" pour implanter le monument, alors même que "le parlement, pour ne blesser aucune conscience a interdit les emblèmes religieux sur les monuments aux morts de la guerre". Les travaux sont déjà lancés : le boulevard Anatole Le Braz est créé en 1921 (il relie la rue Colvestre au Pont noir), le "passage des voûtes" élargi pour en faire une double voie de circulation longeant la placette choisie pour recevoir le monument.L'inauguration du monument aux morts de TréguierLe monument aux morts de Tréguier a été inauguré le dimanche 2 juillet 1922 par le sénateur-maire Gustave de Kerguézec en présence de Yves Le Trocquer, ministre des Travaux Publics, député des Côtes-du-Nord, membre du Conseil général et maire de Pontrieux. La cérémonie qui suit la "messe des Morts" est suivie d'un banquet : le même jour sont également inaugurés, le premier groupe d'habitations ouvrières, le dispensaire anti-tuberculeux et le nouveau stade des sports de Tréguier. Personnalités et élus locaux assistent nombreux aux festivités ; les militaires et responsables administratifs – avec leur personnels - sont également "convoqués" (le juge de paix, l'administrateur de l'Inscription maritime, le capitaine des Douanes, le receveur des Douanes, le percepteur, le receveur de l'enregistrement, le receveur des contributions indirectes, le receveur des postes, le conducteur des Ponts-et-Chaussées, l'agent divisionnaire des chemins de fer départementaux, le chef de gare des chemins de fer départementaux, le contrôleur des chemins de fer départementaux, la directrice de l'école primaire supérieure de filles avec les professeurs, le directeur de l'école primaire supérieure de garçons avec ses professeurs, la directrice de l'école communale de filles, le directeur de l'école communale de garçons. Pour l'anecdote, la fête d'inauguration du monument aux morts de Paimpol est décalée au 9 juillet en raison de celle de Tréguier.Deux nouvelles plaques commémorativesEn mars 1947, la ville de Tréguier traite de gré à gré avec Francis Renaud pour la fourniture d'une plaque de bronze portant le nom des 46 enfants de Tréguier morts lors de la seconde guerre mondiale. En 1976, est apposée sur le monument une nouvelle plaque par le marbrier Denmat de Tréguier à la mémoire des Français d'Outre-mer, morts pour la France.
Auteur(s) du descriptif : Lécuillier Guillaume

Par : L'inventaire du patrimoine

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