Croix et calvaires de Bretagne

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Croix de Santé
Plan d'alignement de la Croix de Santé

Par : Archives municipales de Sa

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Le calvaire de Plougastel Daoulas
Le calvaire de Plougastel Daoulas (Finistère), construit au XVIe siècle pour conjurer une épidémie de peste, a été restauré. Sa rénovation a été confiée à des sculpteurs et tailleurs de pierres, qui ont en partie gommé l'usure du temps des statues.

Par : INA

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Plougastel, mariés devant le [calvaire], 11-1-10

Par : Gallica

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Kroazioù Plougastell [Les croix de Plougastel]
Lucien Cras, eus Plogastell-Daoulas, a sav renabl ar c'hroazioù e kaver war ar gumun ha kont mojenn Kroaz ar vosenn ouzh mikro Daniel Jekel. [Au micro de Daniel Jequel, Lucien Cras, de Plougastel-Daoulas, évoque les nombreuses croix érigées sur la commune et raconte la légende de "la croix de la peste".]

Par : INA

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Le rocher ; la croix aux victimes du 8 octobre 187

Par : Musée de Préhistoire de

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La croix de la bataille d’Auray

Par : Musée de Préhistoire de

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Liffré (IetV) : Vue générale et calvaire de la

Par : Dastum

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Basilique Notre-Dame d'Espérance
Sujet représenté : scène (escalier ; calvaire monumental ; statue ; vitrail ; clocher ; basilique ; Saint-Brieuc ; femme) - N° d'inventaire : DOC 992.13.997 ; R992.13.997

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Croix d'autel 1

Par : L'inventaire du patrimoine

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Pont-Croix 1935

Par : Diocèse de Quimper et Lé

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Croix d'autel 2

Par : L'inventaire du patrimoine

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Les chemins de Croix de Xavier de Langlais
Xavier de Langlais (1906-1975) est un grand artiste breton protéiforme, membre des Seiz Breur et de l'Atelier Breton d'Art Chrétien. Sa foi intense apparaît dans ses neuf chemins de Croix tous peints en Bretagne. Les rapprocher permet d'étudier la genèse de son travail, son originalité et son évolution picturale. L'expressivité magistrale de celui de la chapelle Saint-Joseph à Lannion s'épanouit particulièrement dans un contexte architectural remarquable.

Par : L'ARSSAT

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Cartulaire de l'abbaye de Sainte-Croix de Quimperl

Par : Gallica

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Vivre en Bretagne - de Jean V à la Duchesse Anne
La mer, le sel, le vin. La terre. Les métiers de la ville. Des échanges à échelle modeste, mais une expansion marquée. La masse des paysans, une abondante petite noblesse, une aristocratie très puissante. Autant de notes concrètes, quotidiennes, que le film ordonne et insère dans une culture –exclusivement en breton pour la moitié de la population- dominée par la religion, par la très grande importance de la vie paroissiale, le culte des saints, les pèlerinages. L’Eglise y enseigne par l’image, celle des calvaires comme à Tronoën, celle des jubés comme à Saint-Fiacre du Faouët, celle des fresques comme à la chapelle de Kermaria en Plouha. Danse macabre, crainte de l’Enfer… La Bretagne du XVe siècle est celle de l’éclat de la puissance ducale (qu’a présentée un premier film, l’Etat breton de Jean V à la Duchesse Anne), celle d’une réelle prospérité économique, celle d’une paisible religion quotidienne, mais aussi une Bretagne de misère, de souffrance et de peurs.

Par : L'aire d'u

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La Tordue aux Rencontres Trans Musicales de Rennes
Issus des pavés et des troquets parisiens, La Tordue joue de la voix, du piano, avec et sans bretelles, de la contrebasse, de la guitare, du bandonéon, des mots et de la scie. Un doigt de mélo, un doigt d’humour et une grosse dose de poésie. Trio bohème aux chansons immédiatement accrocheuses, tant pour le sens (intelligent) que par le son (goût marqué pour la mélodie), La Tordue privilégie l’acoustique et la simplicité sans pour autant faire une croix sur les prestations électriques. Apaches ou poulbots, aura certaine et présence scénique garantie. En ouverture des Trans.

Par : Association Trans Musicale

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Années 40
Vers 1938, maison rue Rosière d’Artois, Nantes, jardin, Mme Breton et le chien, jardin enneigé, Mme Breton assise sur un banc dans le jardin, plantes, petite cloche, maison de campagne près d’une rivière (La Sèvre ?). Bords de mer, pinède, terrasse d’un café, villa, phare. Excursion sur un bateau de pêche ; dans jardin, rue Rosière d’Artois, Nantes, chien. Observation avec jumelles des alentours, on fume, cueillette de fleurs, automobile (cabriolet). Vers 1939, Douarnenez,( scènes couleurs) , port de pêche, embarquement sur voilier, regard du cinéaste sous les jupes des femmes, sortie en mer, vue panoramique, baignade, vélo à la plage, Le Croisic, port, dames embarquant sur un voilier, portraits, maillots, trois officiers belges (avec brassards croix Rouge), déshabillage pour bain, jeu sur la plage, baignade avec bonnet de bain avec oreilles de Mickey. Vers 1941, France et Annick, quais et bords de l’Odet à Quimper pendant l’occupation allemande (scène de rue volée), soldats allemands près de l’autocar, préfecture avec la croix gammée (images en couleurs) ; en intérieur, monsieur âgé moud du café ; vue sur une ville à déterminer, place, rue avec drapeau à croix gammée. Vers 1947, Nice, excursion en mer du voilier « Martina », seins à l’air, petit phare, portrait, on fume, réveil, couple boit le café dans chambre, Boulevard des Anglais (très fréquenté) en hiver, voiture, pancarte Lido, sports d’hiver, hôtel, terrasse, neige. Excursion en bateau, vers 1947, portraits, , casse croûte, bateau du quartier maritime de Saint-Nazaire (SNC) « Haya », baignade, remise du maillot de bain en pleine mer, femme nue traînée par le bateau vers La Baule, port derrière. Vers 1947, Saint-Jean de Luz, vues intérieures, route de montagne, âne, automobile, pont, torrent, pont détruit et remplacé provisoirement par un bac, bateau « Harius », débarquement d’un camion ; dans chambre, homme se limant les ongles, femme dans le lit ; bords de mer, plage, station balnéaire (La Baule ?); réunion de famille, rue Rosière d’Artois, Nantes, homme filmant; tasse de café dans jardin, homme coupant l’herbe avec une faux, on s’amuse ; à la campagne, pêcheurs dans un ruisseau ( poissons jetés sur l’herbe avec épuisette), trois dames, appareil photographique, repas intérieur. Voyage pays basque, réalisé en août 1947, Miramar Hôtel, Biarritz, côte, rocher de la Vierge, tempête, promenade sur la plage, frontière franco-espagnole, cimetière, homme lisant, cigarettes, Pyrénées.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Franck II Louise aux Rencontres Trans Musicales de
Instinct Paradise Lorsque la première vague hip hop submerge la France au début des années 80, Franck Il Louise est encore adolescent. Immédiatement, il se plonge dans ce monde nouveau. Il apprend à danser, rencontre Afrika Bambaata, part à New York et, surtout, crée le premier groupe de breakdance d'ici, Paris City Breakers. La mode passe mais le jeune homme continue de vivre sa passion au jour le jour. Il s'initie à la technique de Di, se met à la musique. Aujourd'hui, il compose pour les compagnies de danse les plus prestigieuses de l'Hexagone, comme Kâfig (Récital) ou AktueI Force, alors qu'il reste un chorégraphe de croix, travaillant sur maints films publicitaires ou événements spécifiques. Avec Instinct Paradise, il crée sa première pièce chorégraphique, qui met en scène trois danseurs. Inspirée par la science-fiction des années 70, cette création pose le problème de l'identité - de son affirmation plutôt - dans un univers où tout semble dépersonnalisé, aussi bien dans le microcosme du rap que dans la société actuelle. À l'instar des œuvres kafkaïennes, Instinct Paradise montre du doigt cette absurdité et, surtout, prône la connaissance de soi, étape essentielle pour connaître l'ivresse de la liberté universelle.

Par : Association Trans Musicale

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Maisons, 25, 27 rue Saint-Guénael (Vannes)
Ensemble de deux petites maisons en pan de bois formant un plan allongé, établies sur un sous-sol et surmontées de 2 étages carrés. Ce sont des maisons en pan de bois avec un encorbellement en galandage sur le premier étage. Les façades postérieures sont en moellons recouvertes d'enduit. Les deuxièmes étages sont essentés d'ardoises. Les accès aux étages se font postérieurement par des escaliers droits. Les sous-sol sont accessibles depuis les boutiques par un escalier droit et un escalier en vis, en charpente. Les pans de bois s'organisent autour d'une fenêtre centrale avec une croix de Saint-André et une décharge reposant sur une structure au rez-de-chaussée composée pour le n°27 de trois poteaux de bois ornés de pilastres à cannelures. Seul celui de droite a conservé son pilastre classique à cannelures. Le pilastre de celui de gauche a été bûché. La sablière basse est décorée par un jeu de chanfreins à pans coupés et de pleins. Le n°27 montrent deux consoles en place sur les poteaux latéraux de l'étage.Ensemble de deux maisons anciennes construites au 15e siècle d'après leurs caractéristiques architecturales. Les deux maisons sont mentionnées dans le rentier de 1455 comme appartenant pour le 25 à Antoine Lepaticier et jehan Colunbel car elle est partagée par moitié et pour le 27 à Alain Loquemeren qui est drapier. Dans les archives de la réformation du domaine en 1677, elles appartiennent pour le 25, à Yves Le Corre marchand demeurant en la ville de Hennebont paroisse de Saint Caradec et pour le 27 à Jeanne Jahier veuve du défunt François Bonnami. Un dessin du milieu du 19e siècle de Charles de Lambilly montre que ces deux maisons ont été surélevées d'un étage après cette date. Les reprises de la maçonnerie à l'intérieur des maisons au niveau des rez-de-chaussées indiquent probablement un agrandissement postérieur sur la ruelle qui n'est pas tardif par rapport à la date de construction des maisons car une des portes d'entrée en façade postérieure peut remonter au 16e siècle. Les aménagements ultérieurs ont modifié les distributions d'origine et l'accès aux étages qui se fait pour chaque maison par des escaliers modernes accessibles depuis la ruelle de la Bienfaisance. Les maisons n'ont conservé que leur accès au sous-sol dont le plus ancien et, sans doute d'origine, l'escalier à vis en bois du n°27. Il est d'ailleurs possible que ce dernier ait servi d'accès aux étages pour l'autre maison.La sablière haute montre les vestiges d'un poteau du rez-de-chaussée qui a disparu avec le trou de mortaise et les deux chanfreins de part et d'autre. A signaler, la communication des n°27 et n°29 par une porte percée au premier étage dans le mur pignon dont on voit encore très bien les vestiges. A noter, la suppression de l'étal pour le n°25 en 1842 accordée pour la mise en place d'une devanture de boutique.
Auteur(s) du descriptif : Lainé Claire ; Toscer Catherine ; Danielo Julien ; Mauvais Marion

Par : L'inventaire du patrimoine

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