Croix et calvaires de Bretagne

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Don de Martha Lindner
Chevaux devant un calvaire et une église

Par : Archives municipales de Sa

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Don de Martha Lindner
Calvaire de Comfort près de Douarnenez

Par : Archives municipales de Sa

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LOCQUIREC.- Le Clocher de l'Eglise et la Croix.
Locquirec.- Le clocher de l'église Saint-Jacques et le calvaire (détail).. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales

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Le calvaire de Plougastel Daoulas
Le calvaire de Plougastel Daoulas (Finistère), construit au XVIe siècle pour conjurer une épidémie de peste, a été restauré. Sa rénovation a été confiée à des sculpteurs et tailleurs de pierres, qui ont en partie gommé l'usure du temps des statues.

Par : INA

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Calvaire de GURUNHUEL (C.-du-N.)
Une particularité curieuse de ce calvaire, c'est que les larrons laissent échapper leur âme sous forme de petits démons tirés par des anges. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales

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Le calvaire à la pointe de Penmarch : [photograph

Par : Gallica

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Plougastel, mariés devant le [calvaire], 11-1-10

Par : Gallica

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Plougastel-Daoulas, 11 janvier 1910 [file de coupl

Par : Gallica

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Mariés de Plougastel, 11-1-10 [femmes et fillette

Par : Gallica

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Plougastel, un calvaire, 1-11-10 [i. e. 11-1-10, c

Par : Gallica

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LOQUEFFRET - Chapelle de la Croix Porte très rich
Loqueffret.- Le portail ouest de la chapelle Notre-Dame-de-la-Croix.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales

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Vue panoramique depuis le sommet du Tumulus Saint-

Par : Musée de Préhistoire de

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Balade à Trégastel
Pour les amateurs de sites naturels, de patrimoine religieux, voici quelques suggestions de randonnées à effectuer sur Trégastel... Calvaire Bouget - Trégastel bourg Cet édifice, à l'aspect original, a été édifié en 1872, à l'initiative du recteur Bouget. Au bas du calvaire, se trouve une chapelle-crypte dédiée à Notre-Dame de Pitié. Situation : le calvaire Bouget se trouve à environ 300 mètres au sud du bourg de Trégastel, en bordure de la route menant à Lannion. Château de Costaéres Le château de Costaéres, perché sur son île, uniquement accessible à marée basse. C'est là que Henryk Sienkiewicz acheva son roman Quo Vadis, qui a obtenu en 1905 le prix Nobel. D'ailleurs, le château se fait souvent appeler, depuis, « château de Quo Vadis » Grâce à son originalité, il est aujourd'hui l'emblème de la côte de Granit Rose. Le château ne peut pas être visité. Situation : l'île de Costaéres est située au large de la petite plage de Saint-Guirec, dans le village de Ploumanac'h (Perros-Guirec).

Par : TV Trégor

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Croix de chemin, près de la Villeneuve (Mont-Dol)
Une des croix les plus anciennes de la commune, qui peut dater de la deuxième moitié du 17e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Barbedor Isabelle ; Quillivic Claude

Par : L'inventaire du patrimoine

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La croix de mi-lieue
La croix de mi-lieue, un objet insolite et mystérieux situé sur la grève quelque part entre Plestin-les-Grèves et Saint-Michel-en-Grève. Vous l'avez peut-être aperçue à marée basse, perdue au milieu (mi-lieue) de la baie. Mais connaissez vous son histoire ?… Ce document tente de lever une partie du mystère. Il a été réalisé en 1993 lors de la remise en place d'une nouvelle croix, l'ancienne ayant probablement été brisée lors du débarquement des alliés en 1944 sur la grève de Saint-Michel …

Par : TV Trégor

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Pluzunet
Conférence de Guy Castel sur Marc’harit Fulup, passeuse de mémoire, et ses relations avec Le Bras, Luzel, Le Gofic, Vallée. Visite d’une partie du riche patrimoine de Pluzunet : les manoirs de Coat-Nizan (restes de l’ancien château-fort), de Kermenguy, de Runeubet et de Guermarquer, l’église St Pierre, la chapelle du Loc et celle de Saint Idunet (avec sa croix de 1743) et sa fontaine à la forme rarissime de calice.

Par : L'ARSSAT

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La Tordue aux Rencontres Trans Musicales de Rennes
Issus des pavés et des troquets parisiens, La Tordue joue de la voix, du piano, avec et sans bretelles, de la contrebasse, de la guitare, du bandonéon, des mots et de la scie. Un doigt de mélo, un doigt d’humour et une grosse dose de poésie. Trio bohème aux chansons immédiatement accrocheuses, tant pour le sens (intelligent) que par le son (goût marqué pour la mélodie), La Tordue privilégie l’acoustique et la simplicité sans pour autant faire une croix sur les prestations électriques. Apaches ou poulbots, aura certaine et présence scénique garantie. En ouverture des Trans.

Par : Association Trans Musicale

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L'Echo Râleur aux Rencontres Trans Musicales de R
Ils sont environ 60 choraleurs sans-culotte issus de la Mano Negra, des Bernadette Soubirou, des Endimanchés, des Chihuahua, des Satellites et autres Négresses Vertes qui chantent à capella. Alternatifs, ils sont passés par les terrains vagues et les pelouses interdites pour crier (chanter) haut et fort avec un aplomb de tous les diables. Ils sont à leur actif un album Sang Neuf en 89 avec les meilleurs groupes de la scène indépendante française. Une création inspirée de la Révolution qui remet à flot l'immortelle Carmagnole II y a eu les Petits Chanteurs à la Croix de Bois, aujourd'hui on a des petits keupons à la pêche d'enfer.

Par : Association Trans Musicale

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Église paroissiale Saint-Pierre
Située au centre du bourg, dans un enclos surélevé, l'église paroissiale Saint-Pierre est un édifice à trois vaisseaux construit en moellons, moyen et grand appareil de granite sur un plan en croix latine. Elle est composée, d'ouest en est, d'une tour-porche de section carrée coiffée d'une flèche polygonale en maçonnerie, d'une nef de quatre travées, d'un transept et d'un choeur terminé par une abside à trois pans. La nef est flanquée de bas-côtés sur la longueur des deux premières travées et, sur la longueur des deux travées suivantes, au nord et au sud, d'une chapelle en retour d'équerre. Deux sacristies, dont une conserve une fenêtre à grille murée, sont situées dans l'angle du choeur et du transept au nord et au sud. Le couvrement de la nef, des bas-côtés, de la croisée de transept et du choeur est formé par une voûte sur croisée d'ogives, celui des chapelles et des bras du transept par une charpente en berceau lambrisée. Le décor de la tour et de la flèche, notamment du portail et de la balustrade, la forme des baies et les remplages en bois sont de style néogothique.L'aspect actuel de l'église et de son enclos résulte de travaux de reconstruction et de réaménagement réalisés entre 1844 et 1922. L'église paroissiale Saint-Pierre est un édifice du 18ème siècle, en grande partie reconstruit au cours du 2ème et du 3ème quart du 19ème siècle d'après les plans de Charles Kerleau (selon René Couffon). Benjamin Jollivet indique, au milieu du 19ème siècle, qu'il s'agit "d'un monument construit à nouveau presque tout entier". Il subsiste seulement de l'ancienne église les deux sacristies, les arcades de la nef et de la croisée du transept. La reconstruction de la majeure partie de l'édifice a débuté le 10 juin 1844 et s'est terminée le 10 novembre de la même année. Quant aux travaux de construction de la tour et de la flèche, ils ont été achevés en 1870. Enfin, le mur d'enceinte et l'ancien cimetière ont fait l'objet d'une opération de réaménagement en 1922 réalisée par l'entrepreneur Yves Offret d'après les plans de l'architecte Georges-Robert Lefort.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ville de Loudéac
Au début du 19e siècle, la ville est peu étendue et fortement centrée autour de son église : la place présente une configuration proche de l'actuelle avec cependant, au sud-est de l'église, deux constructions publiques (grisées sur le plan cadastral) disparues de nos jours, la plus grande pouvant être une halle (parcelle 374) ; au nord, on voit l'hôpital et sa chapelle (parcelles 129 et 130) ; à l'est de celui-ci est le presbytère (parc. 128) qui comprend deux corps en équerre ; au nord-est de l'hôpital, est citée la prison, disparue, (parc. 136), long corps de bâtiment avec avant-corps ; à l'extrémité de la rue Cadelac, en limite de section, est mentionnée une caserne, également disparue, donnant sur l'actuel rond-point Ker-Sainte-Anne. La ville était donc équipée d'un ensemble d'édifices publics parmi lesquels manque le tribunal : ce pouvait être la destination du 2ème bâtiment situé au sud-est de l'église. A l'est de l'église, la chapelle Notre-Dame est représentée, flanquée au nord d'une parcelle libre où on bâtira plus tard l'hôtel de ville. De même, rue de Moncontour, on voit l'emplacement libre où s'édifiera au milieu du 19e siècle le tribunal.A la fin du 19e siècle, un nouveau pôle de développement apparaît : la gare de chemin de fer, édifiée en 1875. La rue du Docteur Robin qui y mène montre à l'évidence un esprit nouveau dans la construction qui consiste en l'élaboration d'un programme préalable, un véritable plan d'alignement qui régit l'implantation de plusieurs maisons dans cette rue. Deux d'entre elles du reste sont des maisons exactement identiques. On observe la même chose rue de Pontivy. La rue Henri Le Vezouet présente elle aussi une ordonnance qui est dans l'air du temps.Un habitat plus modeste se répand alors dans les années 20 et 30, habitat qu'on peut qualifier d'habitat de faubourg, parfois habitat de notable, non dénué d'inventivité architecturale et même de fantaisie comme le montrent les maisons de la place de l'Eglise (n° 11) et la maison du 38 rue Henri Le Vezouet, réellement de style fantaisiste. La maison au 11 rue de l'Eglise présente un décor de brique émaillée de couleur verte qu'on trouve aussi rue du Docteur Robin et rue Henri Le Vezouet, de manière bien discrète du reste. A cette même époque, l'architecte briochin Jean Fauny fait construire en centre ville trois édifices caractéristiques de son style résolumment moderne : le foyer rural, rue de Moncontour, l'ancien dispensaire aujourd'hui cabinet médical, avenue des Combattants et la maison à bon marché de la rue de la Chesnaie qui introduit à Loudéac un aspect social qui est nouveau dans l'architecture.En revanche, on n'a pas de nom d'architecte à placer sur les maisons de notable de la rue de Cadelac qui font référence à des styles divers mais toujours savant, en général un style nettement urbain, avec l'emploi de matériaux comme la brique comme pour le bâtiment de la recette des Impôts place de l'Eglise, style "balnéaire" également avenue de la Gare et rue Pasteur.Avant son contournement par des voies modernes, la ville était parcourue par de grands axes routiers vers Rennes et Carhaix dans le sens est/ouest, vers Saint-Brieuc et Pontivy, ville traditionnellement rivale de Loudéac, dans le sens nord/sud et vers des villes secondaires comme La Chèze et Uzel.La ville de Loudéac ne comporte pas, dans l'état actuel, d'éléments antérieurs au 17e siècle : une maison à pan de bois sur la place de l'Eglise et la croix de la rue de Saint-Cado datent de cette période. Le 18e siècle est la période principale marquant un réel essor de la ville, ceci étant dû à l'activité toilière dont Loudéac était un centre important associé à Quintin et Uzel. Cette activité connaît une période de grande prospérité au cours du 18e siècle, prospérité qui rejaillit logiquement sur le développement de la ville et la construction immobilière, tant religieuse (l'église et son mobilier) que domestique et publique (l'hôpital). Cette période déborde légèrement sur le siècle suivant et nombre de maisons assez typées stylistiquement datent des premières années du 19e siècle. Voir les maisons de la rue de Pontivy, de la place au Fil, de la rue Notre-Dame et de la rue de Moncontour. Ensuite l'activité toilière, sous l'effet de plusieurs facteurs politiques (le blocus anglais) et techniques (la concurrence des productions mécanisées du Nord de la France et d'autres pays étrangers), connaît un déclin brutal et quasiment définitif, plongeant nombre de tisserands et lavandières dans la misère. Cette chute provoque un déclin de même nature dans l'essor de la ville.Le cadastre ancien dressé en 1829 est à peu près contemporain de cette période et donne donc une image fidèle de la ville à l'issue de cette période faste de son histoire. Il faut attendre la fin du 19e siècle pour voir apparaître un nouveau cycle de développement, sans doute à la suite de la construction du chemin de fer inauguré en 1875. Le rôle de capitale locale de Loudéac s'affirme par la construction, après celle du tribunal au milieu du siècle, d'un hôtel de ville ambitieux, d'un hôtel des Impôts, d'un établissement d'enseignement privé et l'apparition au début du 20e siècle d'un nouvel habitat résolument moderne, largement inspiré stylistiquement par l'architecture balnéaire en vogue à cette époque sur plusieurs points de la côte nord de Bretagne. Les secteurs concernés, qui font l'objet de véritables lotissements et de plans d'alignement, sont la rue du Docteur Robin partant de la gare, le boulevard de la Gare, la rue de Cadelac et la rue Bigrel. Dans les années trente, l'architecte briochin Jean Fauny, actif à Saint-Brieuc mais aussi sur la côte, signe trois oeuvres à Loudéac : le Foyer rural rue de Moncontour, l'ancien dispensaire avenue des Combattants (1930) et une habitation à bon marché rue de la Chesnaie (1933).La place de l'Eglise a fait l'objet d'un reconditionnement récemment (voirie, réfection des sols) mais les maisons qui la bordent reflètent bien la diversité architecturale visible par ailleurs.
Auteur(s) du descriptif : Ducouret Jean-Pierre

Par : L'inventaire du patrimoine

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